Unefemme enceinte a des droits et des devoirs vis-Ă -vis de son employeur. Le point sur les dĂ©marches Ă  effectuer et sur les avantages prĂ©vus par la loi pour les femmes enceintes salariĂ©es. Lorsqu’une grossesse est confirmĂ©e par le mĂ©decin, plusieurs dĂ©marches s’imposent. La premiĂšre : informer les organismes de santĂ© et de
Lové dans les bras de son père, Louis, 9 mois, mordille un canard en plastique jaune en lui souriant. "Les bébés nageurs, c’est une première pour nous", glisse Henri Carpentier, patron d’une pizzeria à Arras Pas-de-Calais, un peu déboussolé au milieu des bouées du parcours de psychomotricité tracé dans le bassin. Objectif de cette séance favoriser l’éveil sensoriel du bébé et renforcer le lien de confiance avec son parent. La séance a été organisée par la première Maison des 1000 jours, ouverte à Arras en septembre par l’association Ensemble pour l’éducation de la petite enfance Epepe. Cette initiative pilote est un lieu de rencontre qui organise des ateliers parents-bébés, animés plusieurs fois par mois par des "facilitateurs" sur des sujets aussi variés que le sommeil, la motricité ou le développement cérébral des tout-petits. Elle est dĂ©veloppĂ©e au sein du PĂŽle Ă©ducatif du Val de Scarpe du quartier populaire Saint-Michel, qui hĂ©berge sous le mĂȘme toit une crĂšche, une Ă©cole maternelle, une antenne des services de protection maternelle et infantile PMI, un kiosque d'information aux familles... "Lors de ces ateliers, on apprend beaucoup de choses, et personne n’est dans le jugement, témoigne, ravie, Marie, la mère du petit Louis... qui a appris sa grossesse le jour de son accouchement. On se sent moins seul et on se dit qu’on n’est pas trop mauvais finalement." Nathalie Casso-Vicarini, fondatrice de l’association, vogue d’une famille à l’autre en distribuant balles en plastique et conseils sur les jeux d’éveil. "Se voir régulièrement permet de tisser un lien de confiance, explique-t-elle. Nous partons des problématiques des familles, comme un déménagement ou la gestion des pleurs. L’objectif est de les outiller l'air de rien et de les rassurer." Cette approche, elle l’a découverte il y a quinze ans en Australie où elle était facilitatrice dans un "Cottage", des centres de rencontres entre parents. Des programmes similaires existent en Finlande et aux Etats-Unis. Financement limité à la garde Leur principe veiller au bon développement des bébés et agir sur les inégalités dès le berceau, en proposant aux parents qui en ont besoin un accompagnement soutenu. Car les scientifiques sont unanimes les premières années de vie sont déterminantes pour les apprentissages et la bonne santé psychique, la confiance en soi et la socialisation, qui seront un bagage ou un fardeau pour le reste de la vie. Mieux vaut prévenir que guérir, démontre le Prix Nobel d’économie américain James Heckman, qui a calculé que 1 dollar investi en faveur de la petite enfance permettait d’en économiser plus de 7 dix ou vingt ans plus tard, dans la lutte contre l’échec scolaire, les plans de requalification professionnelle, les prestations sociales, etc. "Une puéricultrice a plus d’impact social qu’un professeur d’université", conclut-il. Nathalie Casso-Vicarini ne le démentira pas au vu de la "transformation extraordinaire" du petit Louis, au début mutique et renfermé, un comportement fréquent chez les bébés nés après un déni de grossesse. "Lors d’un atelier, en lui parlant de son histoire particulière, ses parents ont débloqué quelque chose. Aujourd’hui, il rit, interagit. On sent qu’il a trouvé sa place", se réjouit la professionnelle. En France, cette période préscolaire est un angle mort. L’Etat se contente de financer une partie du coût de la garde crèche, assistante maternelle, dans le souci de permettre aux parents de reprendre le travail plus que pour s’assurer de la réussite future des bébés. Il investit ainsi l'Ă©quivalent d'un peu moins de 15 milliards d'euros par an dans la prise en charge de ces modes d'accueil. Mais la construction et le fonctionnement des crèches sont gĂ©nĂ©ralement pris en charge par les communes, qui peuvent aussi s'appuyer sur le secteur privé. Or, contrairement aux Ă©coles, la gestion des crĂšches n’est pas une compĂ©tence obligatoire des villes. Pour ces gestionnaires, la facture est devenue trop lourde Ă  supporter. "Un exemple pour une ville comme Nancy, une place en crĂšche coĂ»te jusqu’à euros par an. Or, les subventions de l'Etat et les contributions des parents ne suffisent pas Ă  couvrir ces frais. Le reste Ă  charge peut grimper jusqu’à 40% pour la commune. Lorsque vous administrez plus de 400 berceaux, c’est Ă©norme!", pointe Elisabeth Laithier, ex-adjointe au maire de Nancy, qui vient d’ĂȘtre nommĂ©e prĂ©sidente du nouveau comitĂ© de filiĂšre Petite enfance par le gouvernement. Ce comitĂ© doit formuler des recommandations d’actions. RĂ©sultat, nombre d’élus de petites communes bottent en touche, au prix de fortes disparitĂ©s territoriales. Avec Ă  la clĂ©, un manque de places criant et des critères d’attribution, opaques, qui écartent les familles les plus modestes, dont les enfants bénéficieraient pourtant le plus d’un cadre stimulant. Seuls 5% des enfants les plus pauvres ont accès aux crèches, contre 22% des plus aisés. L’Hexagone est donc loin derrière la Corée, où 65% de tous les bébés sont dans une structure d’accueil, voire de l’Allemagne 39% qui a investi massivement ces dernières années. Emmanuel Macron a certes créé une Commission des 1000 jours, prĂ©sidĂ©e par le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, qui lui a remis un rapport en 2020. Ses propositions mieux soutenir les parents aménagement des congés parentaux, accompagnement personnalisé jusqu’aux 2 ans de l’enfant, déploiement de Maisons des 1000 jours et construire des crèches avec priorité aux enfants de milieu défavorisé. Cependant, aujourd’hui, hormis un allongement du congé paternité, un meilleur financement de la PMI protection maternelle et infantile et le lancement d’une appli "1000 premiers jours" d’infos utiles, l’essentiel des recommandations est passé à la trappe. Certaines mesures du plan pauvretĂ© de 2018 a aussi dĂ©bouchĂ© sur quelques avancĂ©es bonus "territoire" pour encourager la crĂ©ation de crĂšches, "bonus mixitĂ© sociale", formation de professionnelles, dont beaucoup ont Ă©tĂ© stoppĂ©es par la crise sanitaire. "Le systĂšme est Ă  bout de souffle", a lui-mĂȘme reconnu le chef de l’Etat dĂ©but janvier, regrettant que "prĂšs de 20% des parents n'obtiennent pas de mode d'accueil". places de crĂšche nécessaires "L’objectif du gouvernement de créer places de crèches supplémentaires sur cinq ans, n’était déjà pas très ambitieux et il ne sera pas réalisé de moitié", déplore Florent de Bodman, auteur d’une note pour le think tank Terra Nova sur la politique de la petite enfance. Pour lui, il faudrait places supplémentaires d’ici dix ans, dont réservées aux enfants les plus pauvres. Et pour que ces crèches aient une action efficace, il faut aussi mieux former et motiver les professionnels. Auxiliaires de puériculture, éducateurs de jeunes enfants, ils sont peu qualifiés, payés au smic. Et il y a pénurie. "Ces métiers sont pénibles et en constant sous-effectif. Nous ne sommes pas là que pour changer les couches, mais nous manquons de temps et de moyens pour donner toute sa place à l’épanouissement des enfants", raconte Emilie Philippe, porte-parole du collectif Pas de bébés à la consigne. La situation n’est pas meilleure du cĂŽtĂ© des assistantes maternelles, qui reprĂ©sentent en dehors des parents, le principal mode de garde des moins de trois ans en France leur nombre chute et dĂ©parts Ă  la retraite sont prĂ©vus d’ici Ă  2030, soit 48% des effectifs. "DĂ©jĂ  Ă©levĂ© avant la crise sanitaire, le turnover a explosĂ© et bloque tous les projets. Il est urgent de former davantage et de revaloriser les salaires des professionnels de la petite enfance", appelle Jérôme Obry, président de la Fédération française des entreprises de crèches. C’est en partie ce fort turnover qui a plombé l’expérimentation Parler Bambin, estime le chercheur Quentin Daviot, co-auteur d’une note d’évaluation de l’Institut des politiques publiques très mitigée sur ce programme. Déployé dans 94 crèches, il a pour ambition de renforcer l’apprentissage du langage chez les enfants de 18 à 30 mois en stimulant les "petits parleurs". Les professionnels sont formés à des postures précises poser des questions ouvertes, se mettre à la hauteur de l’enfant.... Mais s’il y a trop de changements de postes, cette formation se perd. Résultat au bout de trois ans, ces enfants ne semblent pas avoir réalisé de progrès notoires. Mécénat privé D’autres initiatives fleurissent. Comme "Accompagne-moi", un projet porté par l’association Epepe, l’Inserm et l’université de Bordeaux, dans 24 crèches, focalisé sur l’empathie des tout-petits, clé du développement socio-affectif. Des ateliers utilisant deux marionnettes sont montés autour de règles de vie en collectivité par exemple attendre son tour, exprimer une demande. Les parents aussi sont impliqués. "Ils restent les premiers éducateurs", insiste Nathalie Casso-Vicarini. C’est d’ailleurs eux que cible l’association 1001 mots, cofondĂ©e par Florent de Bodman, Ă©galement auteur du livre A portĂ©e de mots Ed. Autrement. Son programme envoie gratuitement des livres pour bébés en plastique pour le bain, en tissu, qui émettent des sons... à des foyers modestes volontaires, qui reçoivent également des SMS de conseils et d’idées d’activités avec leurs enfants cuisiner, chanter, ranger.... "Le défi est de s’adresser aux familles qui bénéficieraient le plus de cette aide, celles dont les enfants ne vont pas en crèche", explique Florent de Bodman dont l'association s'appuie notamment sur les PMI pour repĂ©rer les foyers les plus en besoin d'accompagnement. Les mécènes suivent. 1001 mots est soutenue par les fondations ADP et Generali. Historiquement engagée pour la mobilité sociale, notamment à travers le tutorat de lycéens, la Fondation de la société d’investissement Ardian, vient dernièrement d’annoncer se recentrer sur la petite enfance "Après audit, nous avons été convaincus que c’est là le meilleur moyen de maximiser notre impact", déclare sa présidente Carole Barnay. Premier projet financé le déploiement du concept des Maisons des 1000 jours... qui peine pour le moment à décrocher des financements publics. L'expérimentation Abecedarian qui fait rêver Stimuler l’éveil des bĂ©bĂ©s double leurs chances d’entrer Ă  l’universitĂ© et de rĂ©ussir dans la vie. C'est la conclusion du programme de recherche "Carolina Abecedarian project", dĂ©ployĂ© sur plus de 40 ans. InitiĂ©e dĂšs 1971 par Craig Ramey, psychologue du jeune enfant, et Joseph Sparling, ancien instituteur, l’expĂ©rimentation a Ă©tĂ© menĂ©e auprĂšs de 110 bĂ©bĂ©s issus d’un quartier pauvre de Chapel Hill Caroline du Nord. Pendant cinq ans, la moitiĂ© de ces enfants a Ă©tĂ© accueillie Ă  temps plein dans une crĂšche pilote appliquant une approche pĂ©dagogique spĂ©cifique jeux Ă©ducatifs, temps de lectures interactifs, conversations
 et un accompagnement des parents sur-mesure. L’autre moitiĂ© des tout-petits n’intĂšgre pas la crĂšche mais est suivie. Les rĂ©sultats sont spectaculaires Ă  quatre ans le QI des enfants placĂ©s est supĂ©rieur de 50% par rapport au groupe tĂ©moin. A huit ans, les premiers lisent et comptent mieux. Ils sont ensuite 36% Ă  Ă©tudier Ă  l’universitĂ© contre 14% pour les autres. Moins touchĂ©s par les addictions, ils dĂ©veloppent une meilleure santĂ© physique Ă  30 ans, et des IRM Ă©tablissent aussi que leur cerveau est plus dĂ©veloppĂ©. Cette expĂ©rimentation est devenue célèbre. Mais elle porte sur une cohorte très restreinte d’enfants de milieu ultra-précaire, dans un certain contexte –l’Amérique des années 1970. "Cela limite sa reproductibilité à plus grande échelle, reconnaît le chercheur chef de projet au bureau Europe de J-Pal, Quentin Daviot, expert de l'Ă©conomie de l'Ă©ducation. Mais ne doit pas freiner d’autres expérimentations. La plasticité du cerveau des bébés est telle qu’elle nous offre d’immenses possibilités pour agir."
Ouverturede 2 micro-crÚche bio aux alentour d'AVIGNON,Sorgues & MoriÚre Présentation. Création Ouverture des Micro-crÚche bio le 17 octobre 2011 Adresse 5,alleé de bouleaux, 84000 Avignon, France. MiCRO-CRECHE BIO Toute l'équipe de LES P'TIT LOU est à votre disposition pour tout renseignement. LES P'TIT LOU. 5, allée des Bouleaux 84 000 AVIGNON Description Les

NEW YORK CITY LIFE Archives CorbeillePartagez Aller Ă  la page 1, 2AuteurMessageInvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Sam 26 DĂ©c - 613 Stella Ă©tait assise sur le fauteuil, le regard vide. Matthew s'Ă©tait approchĂ© d'elle, en guise d'aide, sĂ»rement. Ce qu'elle traversait en ce moment Ă©tait pire que difficile, mais tout le monde ne fait pas de dĂ©sintoxication. Tout le monde n'est pas aussi droguĂ© qu'elle, non plus. Elle avait croisĂ© ses jambes, et attendait. Comme si cet instant Ă©tait une scĂšne de torture. Pourtant... pourtant, elle aimait bien, Candice. Mais c'Ă©tait plus fort qu'elle. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait rencontrĂ© personne, et le contact Ă©tait devenu difficile. Disons qu'elle avait du mal Ă  se socialiser avec n'importe quoi, elle ne s'attachait particuliĂšrement Ă  personne, sauf Ă  celle Ă  qui elle l'Ă©tait dĂ©jĂ . Mais bon, l'effet de la drogue y Ă©tait pour quelque chose, Ă©videment. Si ça ne tenait qu'Ă  elle, elle serait dĂ©jĂ  partie dans un autre monde avec Candice. En plus, elle avait une sacrĂ©e bonne tĂȘte et avait l'air charmant. Et pourtant... elle n'arrivait pas Ă  ĂȘtre plus sensible que ça Ă  son Ă©gard. Mais bon, ça irait sĂ»rement mieux dans quelques jours, le temps qu'elle redevienne "normale". Sobre, du jeune femme sentit le main de Matthew effleurer son Ă©paule. Elle leva son regard pour observer l'homme, s'apprĂȘtant Ă  dĂ©poser sa main sur la sienne. Sauf que, il dĂ©cida qu'il en avait assez fait, et la retira de suite. Hm, d'accord... Stella redescendit son bras, l'air déçu au visage. Tant pis... Soudain, Candice, un air contrariĂ© au visage, fit une drĂŽle de grimace, avant d'interroger les deux jeune gens. Stella n'avait pas forcĂ©ment envie que New-York entier soit au courant de sa mauvaise pĂ©riode... Elle afficha un sourire affectĂ© mais tout de mĂȘme rĂ©sistant, et se leva brusquement. Un peu comme dans les films, quand ça se voit que le personnage va dire un mensonge, et qu'il le fait, et que malgrĂ© tout la personne en face de le croit. Stella jouait avec la pointe de ses cheveux du bout de ses doigts, fuyant l'autre femme du regard, pire que gĂȘnĂ©e. Un faux sourire s'afficha sur ses lĂšvres. Elle savait qu'elle mentirait trĂšs mal, mais bon, il valait sĂ»rement mieux prendre le risque. Parce que franchement, elle n'avait aucune envie que quelqu'un soit au courant de ça, et sĂ»rement pas un fille qu'elle ne connaissait que depuis.. 30 minutes. Non pas qu'elle avait quelque chose contre elle, au contraire, mais qu'elle ne se voyait pas se confier Ă  elle, simplement. Non, non. Rien du tout. »Stella Ă©tait toujours l'air bĂȘte. Elle se rassit lourdement sur son fauteuil, un sourire trĂšs gĂȘnĂ© aux lĂšvres. Elle savait que comme ça, Candice penserait qu'elle ne l'aimait pas. Et cela la dĂ©solait, malheureusement. Mais elle ne pouvait tout de mĂȘme pas lui dire tous se secrets, comme ça wouhou badamoum Cendrillon ! Il lui fallait un peu de temps, la connaĂźtre et tralala. C'est vrai qu'elle ne faisait pas d'effort non plus, et ça risquerait d'affecter Matthew mais, elle n'y arrivait pas, voilĂ  tout. N'allez pas chercher midi Ă  quatorze heures...Un drĂŽle de bruit rĂ©sonna dans le salon, qui Ă©tait pourtant silencieux. Matthew porta son regard sur Stella, qui elle n'avait fait aucun bruit et... il posa son regard sur Candice, puis Ă©clata de rire. Elle avait l'air gĂȘnĂ©, la pauvre. Stella ne put se retenir, et Ă©clata Ă  son tour de rire. Que c'Ă©tait bon, de rire un peu. Rien qu'un peu... rire sans mentir, rire pour de vrai. AprĂšs quelques minutes de bonne rigolade, Stella s'excusa auprĂšs de Candice pour lui avoir rit au nez. La pauvre, n'empĂȘche. Celle-ci prit alors une pomme, et croqua Ă  pleine dents dedans. Soudain, quelque toqua Ă  la porte. Encore un imprĂ©vu ?! Stella Ă©tait presque frustrĂ©e par tout ce qui s'Ă©tait passĂ© dans cette journĂ©e, rien que d'y penser elle en avait mal au ventre. D'ailleurs, elle sentait la fatigue monter. Matthew demande aux deux femmes si elles attendaient du monde. La brune ne dit rien, se contenta de le regarder genre "tu crois franchement que j'aurais invitĂ© du monde chez toi, sachant que je ne savais mĂȘme pas moi que je me retrouverais ici ?". Heu oui, un peu long, mais c'est ce qu'elle voulait dire par ce regard. Ses yeux se fermaient doucement, ils la brĂ»laient et ses paupiĂšres se faisaient lourdes. Le sommeil arrivait peu Ă  peu, et sa posa commençait Ă  se poser sur le dossier, lourde. Elle allait mettre un pied au pays des rĂȘves quand..."BONNE ANNÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉE!!"Une espĂšce de tarĂ© en caleçon ouvrit brusquement la porte, une bouteille d'alcool Ă  la main et l'air tout content. Connard ! Connard ! Connard ! Conaaaaaaaaaaard ! Stella sursauta brusquement, sĂ»rement plus que les autres, Ă©tait donnĂ© qu'elle Ă©tait en Ă©tat de somnolence complet. Ses yeux Ă©taient rouges, et d'horribles cernes se formaient sous ses yeux. Elle en pouvait plus, de ces connards qui s'amusaient Ă  dĂ©ranger les gens. Elle Ă©tait plus Ă©nervĂ©e qu'autre chose lĂ . Une envie de frapper cet homme lui prit soudain. Et si elle n'Ă©tait pas si fatiguĂ©e, elle lui aurait facilement couru aprĂšs, un couteau de cuisine Ă  la main pour le tuer un peu. La jeune femme ria intĂ©rieurement, imaginant la scĂšne. La brune vit les deux autres rire Ă  tue-tĂȘte. Comment faisaient-ils ? Elle, elle n'en pouvait plus, bon sang ! Pourquoi, pourquoi tant d'idiots sur Terre ? Si il n'Ă©tait pas intervenu, elle serait dĂ©jĂ  paisiblement endormie, sĂ»rement en train de faire un horrible cauchemar, mais endormie. La rage monta doucement Ă  la tĂȘte de Stella, essayait malgrĂ© tout de rester calme, et de ne montrer aucun signe de faiblesse. MĂȘme si cette petite plaisanterie ne l'avait pas du tout jeune brune regarda Matthew qui Ă©tait assis sur le truc pour poser le bras du fauteuil. Elle le regardait, le contemplait, et posa sa tĂȘte sur ses genoux, fermant doucement les yeux. Elle Ă©tait pire que crevĂ©e. Si ça continuait, elle s'Ă©vanouirait une secondes fois !Candice rĂ©capitula l'adresse de Stella, qui ne s'Ă©tait pas rendu compte que c'Ă©tait Ă  elle qu'elle parlait. Elle sursauta une seconde fois, et ouvrit grand les yeux, pour ne pas les refermer. C'Ă©tait atroce de rĂ©sister. Ses yeux la brulaient, c'Ă©tait... atroce, ouais. Elle se redressa doucement et adressa un sourire Ă  Candice pour lui confirmer qu'elle ne s'Ă©tait pas trompĂ©e. C'est bien ça. »Puis, lourdement, elle s'avachit sur le dossier du fauteuil, manquant de pousser un cri d'agacement. Un sourire se dessina sur ses lĂšvres quand elle vit la lampe par terre, maintenant en mille morceaux. Pauvre lampe, elle ne l'avait pas mĂ©ritĂ©. En mĂȘme temps, quelle idĂ©e de la mettre ici...DerniĂšre Ă©dition par Stella J. Smith le Jeu 31 DĂ©c - 755, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Sam 26 DĂ©c - 1638 Il posa sa main sur la joue de Stella, dĂ©gageant une mĂšche de cheveux bruns qui lui tombaient devant les yeux. Les deux filles regardaient la lampe, par terre en plusieurs morceaux, en souriant, l'air de penser "Mais quelle idĂ©e aussi ?!". Il leva les yeux au ciel en soupirant. Il l'aimait bien, cette lampe, en plus. D'oĂč elle venait, dĂ©jĂ  ? Il rĂ©flĂ©chit pendant un moment, puis regarda Candice avec un grand C'est pas la lampe que t'avais volĂ©e Ă  la fĂȘte de Tom, ya un an, quand j'ai Ă©tĂ© obligĂ© de venir te chercher parce que tu tenais plus debout Ă  une heure du mat' ? Boh, et puis de toute façon elle Ă©tait moche. Bon, elle Ă©clairait bien hein, mais on va pas en faire un pataquĂšs. Matt se leva, puis ramassa les morceaux un par un, prĂ©cautionneusement, en faisant attention Ă  ne pas se couper, ce dont il aurait Ă©tĂ© tout Ă  fait capable. Ah, oui, il aurait eu l'air fin, la main en sang. GĂ©nial. Le silence, encore et toujours le silence, brisĂ© par Candice croquant dans sa pomme, et les morceaux de lampe qui tintaient en se cognant les uns aux autres. Il alla dans la cuisine dĂ©poser les bouts dans la pourquoi il ne racontait que des dĂ©bilitĂ©s depuis que Candice Ă©tait arrivĂ©e ? Aucune idĂ©e. [HJ Si, je sais, j'ai juste la connerie, une fois de plus...] VoilĂ , c'est ça, elle avait une mauvaise influence sur lui. Il retourna s'asseoir sur l'accoudoir de la chaise. Il devait sĂ»rement avoir avalĂ© un cacheton par hasard sans s'en rendre compte, c'Ă©tait pas possible autrement qu'il soit hyperactif comme ça. Il se leva Ă  nouveau, et se hissa sur le buffet pour s'y asseoir. Allez pas croire qu'il s'asseyait sur tous les meubles chez lui, hein. Fallait qu'il se calme. Ca vous arrive jamais d'avoir la connerie, d'avoir envie de sauter partout en criant des trucs bidons, de sauter sur votre lit, ou un truc du genre ? Ben Parlez pas toutes les deux Ă  la fois, jcomprends rien de c'que vous vraiment qu'il arrĂȘte, ca devenait grave, lĂ . On aurait pu croire que c'Ă©tait lui, le droguĂ©. Soudain, il repensa Ă  Stella pleurant de rage et criant dans la chambre, tout Ă  l'heure, et tout son enthousiasme fut douchĂ©. Il la chercha des yeux. Elle paraissait complĂštement... crevĂ©e. Bon, en mĂȘme temps elle n'avait dormi que trois heures cette nuit. Lui aussi d'ailleurs, mais apparemment il tenait mieux la fatigue. Ce qui Ă©tait plutĂŽt rassurant, Ă©tant donnĂ© l'Ă©tat physique et mental de Stella. Lui n'Ă©tait pas rĂ©ellement fatiguĂ©. Bien sĂ»r, il sentait bien qu'il n'avait pas beaucoup dormi, mais Ă©tant donnĂ© qu'il pouvait aller en cours avec deux heures de sommeil Ă  son actif, il pouvait bien tenir debout chez lui avec trois heures, quand mĂȘme.[HJ C'est tout pourri, mais j'ai pas osĂ© mettre Candice dehors xD] InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Mer 30 DĂ©c - 1801 [J’ai enfin rĂ©pondue ! DĂ©solĂ©e de l’attente, vous savez pourquoi x Il est nul Ă  chier a]Candice, au milieu de la piĂšce fixait les deux jeunes gens. Stella lui rĂ©pondit que rien, il n’y avait rien. Mhum. Elle regarda Matt qui resta silencieux. Etrange, lui qui parlait toujours. Rien. Il n’y avait rien. Il y avait certainement tout sauf rien. Aux vues de la façon dont Stella se tenait Ă©loignĂ© d’elle. Elle ne pouvait pas voir Candice ou quoi ? Elle lui avait fait quelque chose de mal ? Mais alors pourquoi aurait-elle acceptĂ© que Cand’ s’introduise chez elle ? .ça, c’était une question sans rĂ©ponse. Mais peut-ĂȘtre que ça n’avait Ă  voir. Il ne fallait pas voir le mauvais cĂŽtĂ© des choses. Elle ne comprenait rien, et c’était normal. On ne lui disait pas tout. Mais aprĂšs tout, est-ce que Candice disait tout, est-ce que seulement une fois, elle dĂ©ballait tout ? Non, jamais il fallait toujours insister. Candice Ă©tait des personnes qui ne se confiaient pas facilement
 Stella avait l’air anĂ©antit aussi. Et ça, ça faisait de la peine Ă  Candice. Ça lui rappelait des choses, des choses auxquels elle ne devrait pas penser. La musicienne chassa ses souvenirs. Elle les enfuit lĂ  oĂč elle les enfuyait toujours, mais oĂč a chaque fois ils en ressortaient comme si de rien n’était. C’était si simple pour eux de toute maniĂšre
 fallait dire aussi que Candice Ă©tait arrivĂ©e le cheveu sur la soupe. Peut-ĂȘtre qu’avant son arrivĂ©e Matt et Stella parlaient de.. Choses importantes ? Et jamais Candice n’aurait pensait que Matt Ă©tait accompagnĂ© Ă  cette heure lĂ  de la nuit. Mhum. Elle toisa Matt puis Stella et sourit. Fallait dire qu’ils iraient ou vont –qui sait ?- bien ensemble. La jeune femme fut Ă©tonnĂ©e de voir Matt et Stella Ă©clater de rire lorsque son ventre gargouilla. Elle soupira. Mais au moins, y’avait un point positif, elle avait fait rire Stella. C’était dĂ©jĂ  ça, et c’était pas mal. Candice voyait bien qu’elle n’avait pas l’air.. en Ă©tat de sourire Ă  la vie. Et le fait de l’avoir vu rire avec Matt Ă  cause d’elle la rendait joyeuse. Elle arrivait Ă  faire rire quelqu’un, si c’était pas gĂ©nial
La brunette se cala contre la chaise. Elle repensa au gars complĂštement fĂȘlĂ©e. C’était grave quand mĂȘme. D’ĂȘtre bourrĂ© a ce point. AprĂšs on disait qu’il y avait des accidents de la route. Pas Ă©tonnant, vu le spĂ©cimen. Mais comme par hasard, c’était toujours les cas les plus dangereux qui ne se faisait pas prendre ; injustice. M’enfin, on ne va pas citer toutes les injustices du monde, par ce que sinon, on n’en aurait pas fini avant
pas mal de approuva d’un hochement de tĂȘte. C’était bien ça. Candice lui adressa un sourire. Au moins, elle n’avait pas dĂ©jĂ  oubliĂ©e. Le seaside Street se situait juste derriĂšre les appartements. Donc a deux rues peut-ĂȘtre de l’appartement de posa son regard sur les dĂ©bris de verres. Il n’avait pas l’air déçu de ne plus avoir de lampe dans son couloir. Quand il leva les yeux au ciel, Candice sourit. Il avait bien compris ce qu’elle lui reprochait depuis le dĂ©but. Stella aussi le regardait d’un air de dire mais quelle idĂ©e. Au moins, Cand n’était pas seule Ă  penser qu’il aurait pu ĂȘtre plus prudent, dans la maniĂšre de placer sa lampe. Il ramassa les bouts de verre. Elle se leva pour aller l’aider, mais il fit un signe de main qui voulait dire laisse moi m’en occuper. La brune soupira. Comme si elle allait se couper ou autre chose. Comme si elle Ă©tait une enfant inconsciente
 n’importe quoi
 Quel protecteur se Matt. Elle croqua a nouveau dans sa pomme en se demandant si finalement elle devait aller a la fĂȘte.. il Ă©tait dĂ©jĂ  une heure du matin. Et puis, on ne l’avait pas appelĂ© afin de savoir si oui ou non elle allait venir
. Non, finalement elle n’irait pas. Ce n’était que superflu de toute façon. Et le temps qu’elle parte de chez Matt et qu’elle retourne au District of beaches. Elle mettra une demi-heure voire une heure
La soirĂ©e de Tom
 ça remontait Ă  loin ça ; trĂšs loin mĂȘme. Au dĂ©but de l’annĂ©e en fait, quand elle Ă©tait arrivĂ©e Ă  New York peu de temps aprĂšs avoir rencontrĂ© Matt. C’était une des fameuses soirĂ©es ou Candice finissait en piteuse Ă©tat. Le genre de soirĂ©e ou l’on ne sait pas oĂč on est, ce qu’on fait et pourquoi on est lĂ . Une soirĂ©e banale pour bon nombre de personnes finalement. Il y a un an lors de cette fĂȘte, Candice n’avait plus l’habitude d’autant boire. Et c’était pour ça qu’on avait du appeler quelqu’un pour venir la chercher. Elle aurait Ă©tĂ© un danger public lampe qu’elle avait volĂ©e chez Tom ? Elle, voler une lampe ? Mhum certainement pas. Qu’aurait-elle fait d’une lampe ? Enfin bon, peut-ĂȘtre, vu qu’elle n’était pas dans son Ă©tat habituel. Mais les chances sont minces. La seule chose dont elle se souvenait parfaitement, c’était que le lendemain, elle s’était rĂ©veillĂ©e chez Matt et en prenant un paquet de clope dans son sac, elle avait dĂ©couvert la lampe. Et elle n’avait aucune idĂ©e de la façon dont cet objet c’était retrouvĂ© dans son sac. Etrange hein ? C’est rare de dĂ©couvrir le lendemain d’une fĂȘte un objet dans ses affaires et dont on n’a aucun souvenir. Peut-ĂȘtre que c’était un invitĂ© qui lui avait mit la lampe dedans ou alors quelqu’un qui c’était trompĂ© de sac ? C’est idiot ! Candice rit intĂ©rieurement. Personne ne savait rĂ©ellement ce qui s’était passĂ© ce soir. Et c’était certainement mieux ainsi. D’ailleurs personne n’avait rĂ©clamĂ© son bien
Matt affichait un grand sourire aux lĂšvres, ça l’amusait de lui rappeler ses conneries en plus. Candice soupira. -Celle que j’ai volĂ©e ? HĂ© mais non, je l’ai trouvĂ©e a mon rĂ©veil dans mon sac, c’est tout. Et puis qu’est ce que j’en aurais fait hein ? Je n’avais aucune raison de la voler. Et puis, t’étais pas obligĂ© de venir me chercher. C’était juste une proposition. Enfin bref, j’garde un mauvais souvenir enfin des souvenirs qui me restent de cette soirĂ©e et j’en suis pas trĂšs fiĂšre.. j’te rachĂšterai une lampe, t’éviteras juste de la mettre dans des endroits a risque. »Elle sourit finalement. C’était pas trĂšs grave, elle avait l’habitude que Matt lui dĂ©ballait l’un aprĂšs l’autre chacun de ses dĂ©rapages heureusement qu’il ne savait pas tout. Hum, la vengeance est un plat qui se mange froid dit-on. Eh bien chez Candice, ça sera glacĂ©e. Elle allait pas tarder Ă  se noter tous les petits coups bas que Matt lui faisait pour n’en oublier aucuns. Elle en avait pas mal Ă  rattraper du coup la petite Candice. C’était pour ça qu’elle aimait Matt, parce qu’il lui faisait oublier ses soucis et que du coup, ils passaient leur temps Ă  se chamailler affectueusement. Candice croqua encore dans sa pomme. Elle n’allait pas tarder Ă  partir. Elle se tourna vers Stella. Elle avait l’air si fatiguĂ©e. Elle se tourna vers Matt, lui aussi semblait fatiguĂ©... Candice les avaient rĂ©veillĂ©s ? Elle Ă©tait gĂȘnĂ©e maintenant. -Parlez pas toutes les deux Ă  la fois, jcomprends rien de c'que vous se leva, regarda Matt en souriant et se dirigea vers la cuisine. - Je vous laisse moi de toute façon. »Candice jeta son trognon de pomme dans la petite poubelle situĂ© sous levier. - Je reviens dans 30 minutes ou plus si je me perds. »Elle sourit. Parce que oui, elle en serait capable. Il suffisait de peu d’attention, une rue loupĂ©e et voilĂ . Elle tournerait en rond. Ça lui Ă©tait dĂ©jĂ  arrivĂ©. - Reposez vous. Vous avez vraiment l’air crevĂ©. J’sais pas si je vous ai rĂ©veillĂ©. Si c’est le cas dĂ©solĂ©. »Candice reprit son sac et la veste qu’elle Ă©tait venue chercher. Elle vĂ©rifia si elle avait bien les clefs de Stella dans sa poche. - A tout Ă  l’heure. »Elle leur adressa un dernier petit sourire avant de sortir sur le pallier. Et de se diriger vers seaside street. DerniĂšre Ă©dition par Candice Heartner le Jeu 31 DĂ©c - 1657, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Jeu 31 DĂ©c - 723 L’ambiance Ă©tait pire que tendue. Candice avait l’air d'essayer tant bien que mal de dĂ©tendre l’atmosphĂšre, ce qui semblait ĂȘtre sans succĂšs. Mais bon, il faut avouer qu’à une heure du matin, les gens sont souvent en train de dormir. Ou bien font des choses pas nettes avec leurs partenaires, mais en gĂ©nĂ©ral ne sont pas affalĂ©s dans un fauteuil au milieu d’un salon, Ă  cotĂ© d’un blond et en face d’une brune, ne sachant quoi faire et se retenant de s’endormir. A ce moment prĂ©cis, Stella Ă©tait d’assez mauvaise humeur. On ne vous a jamais dit de toujours laisser une brune dormir quand elle en a besoin ? A vrai dire, je viens de l’inventer
 Mais bon, elle en avait besoin. C’était plutĂŽt son propre caractĂšre qui faisait qu’elle Ă©tait de mauvaise humeur. La brunette est constamment en colĂšre lorsqu’elle manque de sommeil. Surtout que, il y a quelques heures, elle aurait tout tentĂ© pour s’endormir. Et maintenant elle priait pour qu’on la laisse dormir, c’était tout ce qu’elle demandait
 Maintenant qu’elle Ă©tait bien crevĂ©e, elle ne pouvait pas aller dormir. Enfin, c’était elle qui se l’interdisait. Question de politesse. Ce n’est pas parce que c’est une droguĂ©e qu’elle n’a aucune classe, et qu’elle n’est pas polie. Il faut trouver les mots qui riment avec "droguĂ©e". Et pas les piocher au hasard. La jeune femme avait les yeux Ă  moitiĂ© fermĂ©s, et la tĂȘte qui tanguait. Elle devait ĂȘtre ridicule, ainsi. Mais bon, Ă  vrai dire, elle se souciait plus du nombre d’heures de sommeil qu’elle risquait de sauter durant la nuit que de l’image qu’elle se donnait. AprĂšs tout, c’était Matthew, il l’avait dĂ©jĂ  vu dans tous ses Ă©tats, alors elle ne risquait pas d’ĂȘtre ridicule ainsi. Et Candice
 et bien, elles ne se connaissaient qu'Ă  peine, alors pourquoi la jugerait-elle ? Et puis, quelque chose lui disait qu'elle n'avait pas Ă  s'inquiĂ©ter de ce cotĂ© lĂ . MalgrĂ© le fait qu'elle ait Ă©tĂ© froide avec Candice, elle sentait que cette fille Ă©tait... bien ? De toute façon, elle Ă©tait crevĂ©e et c’était son centre d’intĂ©rĂȘts du moment. Elle se remĂ©mora alors l’épisode qui venait de se passer. Cet abruti qui avait surgit de nulle part, agaçant tous les habitants de l’immeuble. A cette pensĂ©e, Stella s’agrippa inconsciemment Ă  la main de Matthew, qui n’aurait pas dĂ»t ĂȘtre là
 Elle regarda l’homme innocemment, et dĂ©tourna son regard tout en lĂąchant la pauvre main griffĂ©e. Elle ses yeux Ă©taient vides d'Ă©motion, un regard presque paniquĂ© au visage. Si ça continuait ainsi, elle tomberait une seconde fois dans lespommes. Et elle y resterait Un sourire suspect s'afficha sur les lĂšvres de Candice, ce qui intrigua la jeune Stella. Pourquoi souriait-elle... ? Enfin, rien de particuliĂšrement drĂŽle ne venait de se passer. Avait-elle des sauts d'humeur constamment, comme cela ? Était-ce frĂ©quent ? Parce que dans un sens c'est sympa, mais dans un autre sens ça l'est moins. Je veux dire que quand quelqu'un passe du silence Ă  une joie soudaine, c'est cool. Mais il passe de la joie soudaine Ă  la colĂšre profonde, c'est moins cool...Stella leva le regard sur son ami, avant qu'il se dirige vers la cuisine. Il avait emportĂ© avec lui une pelle remplie de dĂ©bris de verre. Pauvre lampe... l'avait-elle mĂ©ritĂ© ? Comme si j'allais me mettre en deuil d'une lampe. Mais le propriĂ©taire de l'objet n'avait pas l'air si peinĂ© que cela. Il avait mĂȘme un sourire aux lĂšvres. Aimait-il rĂ©ellement cette lampe ? Parce que vu sa rĂ©action, on n'aurait pas dit. Bon, il fallait avouer que cet objet n'Ă©tait pas de trĂšs bon goĂ»t. Elle Ă©tait mĂȘme moche. Si ça se trouve, il l'avait placĂ©e Ă  cet endroit exprĂšs pour que cet accident arrive Ă  un moment ou Ă  un autre. Si ça se trouve, il avait tout prĂ©vu. Le petit vicieux...Stella observait attentivement la scĂšne. Matthew qui jetait les morceaux de verre cassĂ©, Candice qui se lĂšve pour l'aider, l'homme qui refuse. Tout cela Ă©tait... fascinant. De voir Ă  quel point ils se comprenaient, Ă  quel point ils se connaissaient. Comment ils arrivaient Ă  communiquer sans pour autant Ă©mettre un quelconque son. Cette façon si particuliĂšre de se sourire, de rigoler ensemble. Ils Ă©taient complices. Ils Ă©taient pareils, au fond. Un frĂšre et une sƓur, un peu comme Rox et Rouky. Leur relation Ă©tait magique. Ils Ă©taient plus que de simples amis... et ça se sentait. C'Ă©tait bien plus approfondi, plus recherchĂ©. Plus aprĂšs mĂ»res rĂ©flexions, Stella comprit un peu pourquoi elle avait eut du mal avec Candice, au premier contact. Elle la jalousait. La garce. Elle aurait aimĂ© elle aussi, le connaĂźtre aussi bien, savoir le faire rire, sourire, pleurer. Être sa complice, l'avoir vu tout faire. Dans tous ses Ă©tats. Elle aurait tant aimĂ©...Un sourire amusĂ© prit place sur le visage de la brune lorsque Candice prit sa dĂ©fense face Ă  l'attaque de Matthew. Ils Ă©taient drĂŽles, tous les deux. Un coup c'Ă©tait chien et chat, et l'autre coup l'amour profond. C'est bien ce que je disais, ils avaient une relation fraternel. C'Ă©tait rare, de voir cela aussi sincĂšrement de nos jours. Aujourd'hui, les jeunes se foutent du monde, leurs amis sont ceux qui leurs filent la beuh et la coke. La sincĂ©ritĂ© se fait de moins en moins prĂ©sente, et c'en est dĂ©solant. Candice afficha un sourire attendrit en regardant Matthew. A ce moment, Stella lui jeta un regard noir sans qu'elle puisse le voir. Elle avait la chair de poule sur tout le corps. Ah, ce Matthew. Un ange tombĂ© du ciel ? Un sauveteur pour toutes les damoiselles en dĂ©tresse. Un blond au cƓur gros comme ça. Un Apollon venu de nulle part. Injustement parfaite, hein. Qui Ă©tait-il rĂ©ellement ? Et qui connait la rĂ©ponse Ă  cette question...La jeune adulte regarda l'homme blond Ă  sa remarque. Pourquoi voulait-il qu'elles parlent ? Tout le monde n'est pas d'humeur Ă  faire la fĂȘte, Ă  une heure du matin... du moins, ça n'Ă©tait pas le cas des deux jeunes femmes. De Stella, plus prĂ©cisĂ©ment. En ce qui la concernait, elle ne comptait pas spĂ©cialement faire un monologue de droguĂ©e lĂ , maintenant. Disons que ça n'Ă©tait pas vraiment le moment. Mais bon, aprĂšs tout "Chacun ses kiffs". Stella regarda alors Candice s'en aller, sans mot dire. MĂȘme Ă  une heure du matin, elle Ă©tait resplendissante. Ça aussi, elle le lui jalousait. Cette femme avait dĂ©cidĂ©ment tout ce que Stella dĂ©sirait. Et tout pour se faire dĂ©tester. Du moins par Stella, qui a un caractĂšre de garce et de sale jalouse. se contenta de lui adresser un sourire fatiguĂ©, lorsqu'elle leur dit "A toute Ă  l'heure". "Clac". La porte du salon se referma bruyamment derriĂšre Candice. On entendit ensuite ses pas brutaux et les craquements de bois sur le plancher peu solide. Stella, Ă©puisĂ©e, poussa un cri de soulagement. Enfin ! Enfin, elle pouvait aller dormir ! La brune se leva lourdement et avec difficultĂ© de son cher fauteuil, dont une envie soudaine lui prit de le baptiser "Bob", et se dirigea vers la cuisine. Elle rejoint Matthew qui y Ă©tait encore debout, en face de la poubelle, sa pelle encore dans la main gauche. Ce qui fit lĂ©gĂšrement sourire la brunette. Son visage Ă©tait angĂ©lique. Elle le prit doucement dans ses bras, le serrant contre elle. Les yeux fermĂ©s, elle profita de chaque seconde que cet instant lui apportait. Cet instant de bonheur, de bontĂ©. Ce pur instant. Ce genre d'instant dont elle se souviendrait toute sa vie. AprĂšs avoir passĂ© une demi-dizaine de minutes dans les bras du beau blond, Stella dĂ©posa un tendre baiser sur sa joue brĂ»lante. Elle le regarda dans les yeux, presque provocatrice. Un sourire au coin, la peau blanche et les yeux attendris. Ses pommettes Ă©taient haussĂ©es et son sourire laissait apparaĂźtre de petites dents blanches. Je vais me coucher... Bonne nuit »Elle lui adressa un dernier regard avant de tourner les femme se dirigea jusqu'Ă  la chambre, s'affalant grossiĂšrement sur le lit. Elle colla l'oreiller de Matt contre son visage, respirant profondĂ©ment sa miraculeuse odeur. AprĂšs cela, il ne lui fallu que quelques secondes pour fermer les yeux et s'en aller au pays des rĂȘves...[Elle est pas mieux, cette couleur lĂ  ? C'est plus reposant pour les yeux... Non ? xD] InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Dim 10 Jan - 1729 Matt ne put retenir un baillement. Bon, en mĂȘme temps, il Ă©tait une heure du matin passĂ©e, et Ă  part Candice qui avait l'air plutĂŽt bien, ils Ă©taient explosĂ©s. Ses yeux le piquaient, et ses paupiĂšres se fermaient malgrĂ© lui. Quelques minutes auparavant, il tenait le coup, l'adrĂ©naline, surement, mais la... Les ongles qui s'enfoncĂšrent dans le dos de sa main le firent sursauter et froncer les sourcils. Il y a d'autres moyens de rĂ©veiller les gens, non ? A moins que Stella ne montre une tendance sadique... Ce qui devenait plutĂŽt inquiĂ©tant. Il afficha un sourire fatiguĂ© quand Candice parla de lui racheter une lampe. Non mais jamais il n'avait Ă©tĂ© crevĂ© comme ca, mĂȘme quand il faisait des nuits blanches et Ă©tait obligĂ© de somnoler en cours pour rĂ©cupĂ©rer, il n'Ă©tait pas aussi mort. Encore un baillement. Il tourna la tĂȘte vers Stella. Si on ne la voyait pas respirer, on aurait pu se demander si elle Ă©tait vivante, en fait. Tellement pĂąle. Peut ĂȘtre qu'elle l'Ă©tait dĂ©ja en arrivant, aussi. Matt avait vraiment, vraiment les idĂ©es brouillĂ©es. Il secoua la tĂȘte de gauche Ă  droite pour se rĂ©veiller, et se leva lourdement pour ramasser les morceaux de la dĂ©funte minutes plus tard, Candice dĂ©cida qu'il Ă©tait temps pour elle d'y aller, et le blond lui adressa un signe de la main surmontĂ© d'un petit sourire, toujours dans la cuisine.. Petit, le sourire, hein. Une genre de variante d'un sourire en coin. Le soulĂšvement d'un coin de ses lĂšvres. Quelques secondes aprĂšs que sa meilleure amie ait refermĂ© la porte sans mĂȘme essayer d'ĂȘtre discrĂšte, Stella apparut dans la cuisine, et fixa la main gauche de Matt, qui suivit son regard et s'aperçut qu'il tenait entre les doigts la pelle bleue en plastique trop moche. Qu'il balanca sur le plan de travail. Il s'attendait Ă  plus de bruit que ca, en fait. Il serra Stella dans ses bras, humant son odeur agrĂ©able, mĂȘme perceptible dans ses cheveux. Il sentit son sourire mĂȘme sans le voir. On progressait, quand mĂȘme. Il tressaillit lĂ©gĂšrement au contact de sa joue contre les lĂšvres glacĂ©es de rĂ©pondit Ă  Stella par le mĂȘme au revoir qu'elle lui avait adressĂ©. Bon, il faisait quoi, maintenant ? Aller se coucher ? Hem, pas la peine, si c'Ă©tait pour se rĂ©veiller trente minutes plus tard au retour de Candice encore plus mort, ou mĂȘme ne pas rĂ©ussir Ă  se rĂ©veiller. Non, autant mettre son temps Ă  profit, hem. Le blond se dirigea vers la table du salon, rapprocha son ordinateur portable du bord de la table, releva l'Ă©cran, et ferma les yeux le temps qu'il s'allume. PitiĂ©, qu'aucun de sa classe ne lui ait envoyĂ© les devoirs Ă  rendre, pitiĂ©... Bip, vous avez 3 messages non lus. Et merde. Deux publicitĂ©s, une pour gagner un voyage aux Seychelles, et l'autre annoncant qu'il avait gagnĂ© un million de dollars. Il envoya les deux Ă  la poubelle sns y prĂȘter attention. Le troisiĂšme message lui, Ă©tait beaucoup moins... publicitaire. C'Ă©tait un message de son prof de philo, qui avait pris l'habitude d'envoyer les devoirs aux Ă©lĂšves par bordel. Oui, ca lui faisait toujours comme ca, l'annonce d'un devoir de philo. Il commencait par jurer, se demander comment le prof pouvait avoir eu une idĂ©e pareille, puis finissait par se prendre au jeu. Il ouvrit l'Ă©diteur de textes, et retapa le sujet du devoir. Il le fixa pendant plus d'une minute. Des taches blanches commençaient Ă  tourner devant ses yeux, Ă  force de fixer la lumiĂšre blanche de la page. Deux minutes plus tard, il repoussa l'ordinateur, et posa sa tĂȘte dans ses bras avant de sombrer dans un sommeil sans rĂȘve.[HJ Jme fais pitiĂ© toute seule xDD] InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Mer 13 Jan - 1900 ArrivĂ©e dans le district of beaches, Candice, comme elle l’avait prĂ©vu tourna en rond pendant 10 bonnes minutes. Il ne fallait pas rĂ©flĂ©chir plus loin, elle s’était trompĂ©e de rue. Mais c’était pas facile aussi, il faisait froid, il y avait de la neige et c’était la nuit ! On voyait que dalle. Non mais c’était amusant quand on regardait bien la façon dont les choses Ă©voluaient. Candice avait prĂ©vu de sortir, elle avait oubliĂ© son briquet et est montĂ© chez Matt. Et finalement, elle se retrouve lĂ , non loin de chez Stella. A se dire que finalement elle n’irait pas a cette fĂȘte. Enfin, c’était pas trĂšs grave. Et puis elle avait l’air de ne manquer Ă  personne. Parce que si ça avait Ă©tĂ© le cas, on l’aurait dĂ©jĂ  appeler au moins 10 fois pour lui faire des tas de reproches
 Enfin, c’est bon Candice n’allait pas dĂ©primer
 AprĂšs maintes et maintes allĂ©e et retour, elle arriva devant la maison de Stella, enfin d’aprĂšs les indications qu’elle avait retenues. La brunette sortit les clefs, monta les trois marches qui la sĂ©paraient de la porte d’entrĂ©e et ouvrit difficilement la porte. C’est qu’elle Ă©tait lourde comparĂ© a la petite porte de 5 millimĂštres de largeur que Candice avait Ă  l’entrĂ©e de son appartement. Elle s’avança dans le hall et alluma la lumiĂšre en appuyant un peu au hasard sur le premier interrupteur qu’elle pu trouvĂ© et qui dieu soit louĂ© Ă©tait le bon. Une fois l’étage du bas Ă©clairĂ©, Candice observa avec Ă©tonnement les piĂšces, les unes aprĂšs les autres.. C’était
 grand. Et magnifique. On ne pouvait pas dĂ©crire autrement. Stella avait une belle maison
 Enfin bon. Candice ne trouvant pas de chambre au rez de chaussĂ©e se dirigea Ă  l’étage. Encore une fois, pour pouvoir voir quelque chose, elle appuya sur le premier bouton venu. Qui Ă©tait encore une fois le bon. Ça changeait un peu de d’habitude. Il fallait bien que ça change de temps en temps. La brunette s’aventura dans le couloir s’arrĂȘtant devant chaque porte pour dĂ©couvrir la chambre de Stella
 C’était la derniĂšre salle. Elle entra et alluma la lumiĂšre. DeuxiĂšme choc, le mĂȘme que quand elle Ă©tait entrĂ©e dans la maison il y a quelques minutes. C’était grand. On ne pouvait pas dĂ©crire autrement. MĂȘme Ă©tant petite, Candice n’avait jamais eu de chambre aussi grande. Enfin, elle n’avait jamais eu besoin de plus grand que ce qu’elle avait eu d’ailleurs
 Et dire que Stella l’autorisait a fouiller dans ses affaires. Elle lui faisait sacrĂ©ment confiance, pour quelqu’un qu’elle connaissait Ă  peine. Huum, peut ĂȘtre que Matt lui avait parlĂ©e de Candice.. ouais, mais qu’est ce qu’il aurait dit ? La musicienne avait quelques idĂ©es. Mais c’était peut-ĂȘtre pas que du positif.. enfin, pas du nĂ©gatif au point d’ĂȘtre mĂ©chant, mais ça serait plutĂŽt du nĂ©gatif moqueur. Ça se dit ça du nĂ©gatif moqueur ? Passons, parce que parler de positif et de nĂ©gatif, c’est pas intĂ©ressent. Candice chercha tout d’abord une valise, c’est plus pratique pour transporter des affaires quand mĂȘme. OĂč est-ce que Stella pouvait-elle ranger une valise ? Dans une armoire, un placard, un endroit ou on entasse toutes sortes d’objets ? Soudainement, pendant qu’elle cherchait, elle se rendit compte qu’en fait, elle ne savait pas pourquoi elle Ă©tait lĂ . C’était Ă©trange, d’habitude, elle ne faisait pas les choses avant de savoir pourquoi. En temps normal, elle demandait toujours des explications ou n’importe quoi. Mais là
 pourquoi devait-elle chercher quelques affaires de Stella ? Enfin, pourquoi elle ? Matthew pouvait y aller. Stella aussi. C’était bizarre tout ça. Comme l’histoire de la cigarette. C’était d’ailleurs peut-ĂȘtre pour ça qu’elle avait acceptĂ© sans demander d’explications, parce qu’elle Ă©tait en manque de ces produits destructeurs
 Oh mais aprĂšs tout, pourquoi se cassait-elle la tĂȘte ? Elle n’avait cas faire plus attention a l’avenir
 La seule chose qu’elle avait remarquĂ© et dont elle Ă©tait sĂ»re, c’était que Stella n’allait pas bien mais pour quelle raison ? Aucunes idĂ©es
Mettant enfin la main sur une valise, elle l’ouvrit et l’étala par terre. Candice ouvrit enfin le dressing de l’amie de Matthew. Elle sourit en voyant des rangĂ©s de pulls, jeans, t-shirts, pantalons entassĂ© les uns sur les autres, ce qui prouvait qu’il y avait un manque de place. C’était semblable chez Candice, sauf que chez elle les vĂȘtements ne tenaient pas les uns sur les autres et qu’à chaque ouverture de porte, la moitiĂ© de sa garde robe s’écrasait lamentablement par terre. La jeune femme s’empara de quelques pulls chauds qu’elle trouvait beaux et les rangea dans la valise, mĂȘme action pour les jeans et les jupes
 Ensuite, Candice partit Ă  la recherche de la salle de bain afin de rajouter quelques affaires de toilettes dans le bien » qu’elle devait apporter. Quelques minutes plus tard, la valise prĂȘte, elle descendit les marches pour la dĂ©poser dans l’entrĂ©e et se prĂ©parer psychologiquement Ă  faire face au froid de dehors. C’est qu’elle elle ouvrit la porte pour mettre le nez dehors qu’elle remarqua qu’elle avait oublier de prendre la guitare de Stella. La chose la plus importante d’ailleurs. Puisque pour tout guitariste, ne pas avoir sa guitare avec soi lorsqu’on en a le plus besoin, ça peut ĂȘtre dĂ©concertant. Enfin, c’est ce que pensait Candice. Elle remonta donc en vitesse et retourna dans la chambre de la petite Stella. Miraculeusement, ce fut la premiĂšre chose que Candice aperçut en rouvrant la porte. Elle s’avança donc, vĂ©rifiant que l’instrument et toutes les choses primordiales pour pouvoir jouer dans de bonnes conditions Ă©taient bien dans la housse. La brune mit enfin l’instrument sur son dos et descendit en veillant Ă  ce qu’elle n’ait pas laissĂ© de lumiĂšre allumĂ©e derriĂšre elle. Deux minutes plus tard, Candice Ă©tait dehors sur le pallier, venant de fermer la porte, s’apprĂȘtant Ă  retourner chez Matt. Elle aurait bien prit le mĂ©tro, enfin, le mĂ©tro le plus proche.. Et s’il y en avait un, parce qu’à cette heure, c’est vrai que rien n’est dit. C’était quasiment sĂ»r qu’il n’y en ait pas d’ailleurs. Et puis, c’était certainement plus sage d’y retourner Ă  pied. Parce qu’on ne savait pas toujours ce qu’il y avait dans le mĂ©tro Ă  cette demi heure plus tard, Candice se trouvait en bas de chez son meilleur ami. Elle avait mit beaucoup plus de temps que prĂ©vu, mais vous vous y voyez vous entrer dans une maison ou vous n’avez jamais mis les pieds et faire une valise comme celle qu’on fait pour partir en vacances, vous voyez, celle qu’on fait -en connaissant par cƓur sa maison- en 1 heure ou moins ? Et ensuite traverser la moitiĂ© de New York Ă  pied, Ă  une heure du matin tenant une valise, alors qu’il neige comme jesaispasquoi ? Non, vous ne vous y voyez pas. Faut ĂȘtre fou quand mĂȘme
 ArrivĂ© a nouveau au quatriĂšme Ă©tage, devant l’appartement de Matt, elle ouvrit doucement la porte qu’elle avait laissĂ© ouverte plus tard pour ne pas rĂ©veiller les deux jeunes gens. Quand elle eut franchi la porte, elle aperçut son meilleur ami sur le canapĂ© la fixant. Punaise, il ne dormait toujours pas celui lĂ  ?Elle posa la valise et la guitare dans le couloir et retourna dans le salon pour chuchoter Ă  l’oreille de son ami - T’as pas dormi ? Ou alors
 Ah, laisse moi deviner, tu m’as entendu monter mĂȘme si pour une fois, consciente qu’il Ă©tait tard et que j’avais dĂ©jĂ  fait assez de bruit, je me suis faite aussi discrĂšte qu’une souris
 Ouais, ça doit ĂȘtre ça. DĂ©solĂ©e. »Elle lui adressa un petit sourire suivit d’un relu, et un peu bidon x InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Dim 17 Jan - 2205 C'Ă©tait une grande piĂšce, vaste. Une piĂšce entiĂšrement blanche, dont on n'arrivait pas Ă  distinguer les limites. Aucune porte, aucune fenĂȘtre. Des miroirs. Il y avait des miroirs par centaines. Ils Ă©taient lĂ , semblaient se dĂ©placer, reflĂ©taient des ombres, des formes Ă©tranges. Stella Ă©tait au milieu de tout ça, et une drĂŽle de sensation l'envahit. Elle ignorait totalement oĂč elle se trouvait, et pourtant Ă©tait presque sereine. MĂȘme si l'angoisse Ă©tait lĂ , son sang froid ne la lĂąchait pas. Plus rien ne semblait concret ou rĂ©el, tout n'Ă©tait qu'illusion. Les murs commençaient Ă  se refermer sur elle, lentement. Le blanc vira au rouge, puis au bleu. La piĂšce devint comme une discothĂšque, oĂč les lumiĂšres n'en finissaient pas. L'endroit se renfermait de plus en plus. Elle serait bientĂŽt complĂštement Ă©crasĂ©e. Son habituelle sensation de claustrophobie s’installa, et la panique prit le dessus. La brune essayait de stopper les parois, ce qui semblait ĂȘtre sans succĂšs. Elle tentait de pousser des cris de panique, mais rien ne sortait de sa bouche. Elle Ă©tait incapable de faire ou produire un quelconque bruit, tout lui Ă©tait impossible. Soudain, un rire perçant lui brisa les tympans. Un rire qui lui Ă©tait familier. Tant familier. Le rire qu'elle aimait le plus au monde. Un rire moqueur, un rire mesquin. Son rire Ă  lui. Le rire de Matthew... Les murs se rapprochaient de plus en plus, et Stella rĂ©ussit finalement Ă  pousser un cri si perçant qu'il aurait rĂ©veillĂ© le monde entier. Un cri de panique, de terreur et de dĂ©sespoir. Mais que se passait-il ?La piĂšce explosa totalement, laissant indemne la jeune fille qui s’y trouvait. Tout sembla s'arrĂȘter. Plus rien. Le rire, la piĂšce, la claustrophobie, la panique, plus rien. C'Ă©tait comme un vide, comme si elle tombait mais qu'elle n'atterrirait jamais. Rien ne se trouvait Ă  cotĂ© d'elle, tout s'Ă©tait comme... envolĂ©. Et puis... Ça arriva comme une claque. Elle finit par atterrir sur un sol dur. Il faisait sombre, trĂšs sombre. Elle Ă©tait entourĂ©e d'arbres plus immenses les uns que les autres. On aurait dit qu'ils Ă©taient vivants, qu'ils se murmuraient des choses, des secrets. Stella se releva, complĂštement paniquĂ©e. Bordel, oĂč est-ce qu'elle Ă©tait ? Des racines sortaient du sol, la faisant trĂ©bucher Ă  chaque pas qu'elle faisait. C'Ă©tait horrible, vraiment horrible. La "forĂȘt" n'avait pas de fin, et Ă©tait Ă©clairĂ©e d'on ne sait oĂč. Soudain, une lumiĂšre au loin Ă©blouit la jeune femme. Dieu ? Qu'est-ce que ça pouvait bien ĂȘtre. Un homme se trouvait dans cet halo, Ă©blouissant. Sans aucun doute le plus bel ĂȘtre qui puisse exister. Enfin, existait-il rĂ©ellement ? Bonne question... L'homme blond se mit alors Ă  rire. Un rire presque diabolique, faisant ressortir sa beautĂ© d'Apollon. Son sourire Ă©tait simplement parfait, son torse musclĂ© Ă  point et son visage angĂ©lique. Mais son rire Ă©tait mauvais. Le mĂȘme rire qu'elle avait entendu quelques minutes plus tĂŽt, dans la piĂšce blanche. C'Ă©tait atroce, c'Ă©tait un rire moqueur. Mais, cet homme au loin, Ă©tait-il Matthew ? Non, impossible...La jeune femme se mit Ă  courir, le plus vite qu'elle pouvait. Les racines la faisaient tomber Ă  terre, misĂ©rablement. Mais elle continuait, voulant Ă  tout prix rejoindre son idylle. Mais rien ne se passait. Elle courrait, encore et encore, mais n'arrivait pas Ă  se rapprocher de la silhouette lumineuse. C'Ă©tait un cauchemar. La rĂ©alitĂ© ? Qui sait...L'homme se trouvait aux cotĂ©s d'une jeune femme, brune. Elle avait le regard noir, et Ă  la fois satisfait. Elle Ă©tait toute aussi magnifique. Il la serrait dans ses bras musclĂ©s, rassurants. Ils Ă©taient beaux tous les deux, mais cette images ne plaisait en aucun cas Ă  Stella. Elle poussait des cris dĂ©sespĂ©rĂ©s, elle criait son nom. Elle ne voulait pas. Finalement, les lĂšvres des deux jeunes gens se joignirent en un baiser fougueux et la forĂȘt sombre s'Ă©claircit. Plus aucun arbre. Une prairie verdoyante, des fleurs, des oiseaux. Et plus de Ă©tait allongĂ© sur le dos, contemplant les nuages. Une ombre s'approcha, la laissant suspecte. Qui Ă©tait-ce ? Un homme qu'elle connaissait par cƓur. Matthias. Il Ă©tait lĂ , devant elle. Un sourire narquois aux lĂšvres. Il lui tendait la main, comme pour lui dire de se relever. Elle accepta, et lui prit donc la main. Mais l'homme la relĂącha, et elle tomba dans un gouffre profond, seule. Elle Ă©tait complĂštement seule, personne ne pouvait l'aider, lui porter secours. Le visage angĂ©lique de Matthew apparaissait comme des illusions. Elle voulait qu'il soit lĂ , avec elle. Qu'il la serre dans ses bras, qu'il l' quelque chose attira la jeune femme. Un... joint. AllumĂ©, et parfaitement roulĂ©. Il Ă©tait lĂ , et semblait mĂȘme l'appeler, murmurer son prĂ©nom. Elle se laissa tenter, et l'empoigna pour le porter Ă  sa bouche. Elle aspira une bouffĂ©e, et tout changea. Le dĂ©cor, les couleurs. Elle se retrouvait au milieu de douze Ă©lĂ©phants roses en tutus qui dansaient un ballet, et deux d'entre eux Ă©taient montĂ©s par Matthew et Matthias. Les dix autres partirent, laissant les deux rivaux s'affronter. Ils se battaient, Ă  feu et Ă  sang. Stella poussait des cris de terreurs, elle ne comprenait plus faisait encore nuit, quand la jeune femme ouvrit brusquement les yeux. Au mon Dieu. De quoi venait-elle de rĂȘver ? C'Ă©tait tellement Ă©trange... Stella fĂ»t surprise de se trouver dans le lit de Matthew. Un sourire prit place au coin de ses lĂšvres, effaçant tout soupçon. Elle prit en main l'oreiller de l'homme, et le serra fort contre sa poitrine. Elle sentait son odeur, s'en imbibait. Elle Ă©tait heureuse de s'ĂȘtre rendu compte que ça n'Ă©tait qu'un vilain cauchemar. Mais maintenant qu'elle Ă©tait rĂ©veillĂ©e, elle n'arriverait plus Ă  se rendormir. Stella se leva du lit, et fit quelques pas dans la chambre. Elle se permit de regarder un peu partout. Elle scruta un long moment la fenĂȘtre qui Ă©tait ouverte, et la ferma. Cette fameuse fenĂȘtre...La brune, un sourire aux lĂšvres, commença Ă  fouiller dans les affaires du beau blond. Elle commença par son armoire, et alla directement au tiroir des caleçons. Elle en prit un et l'observa un moment. Trop mignon. Elle admira ensuite ses vĂȘtements. AprĂšs 10 bonnes minutes de curiositĂ©, Stella se rassit sur le lit, pensive. Quand est-ce que Candice arriverait ? Elle commençait Ă  avoir un terrible manque de musique, et avait besoin de sa guitare. Un petit appareil brillant attira l'attention de la jeune femme, qui se leva pour s'y conduire. Elle prit en main un iPod noir, qui appartenait sans doute Ă  Matthew. Elle mit les Ă©couteurs, et se rallongea sur le lit, l'oreiller sur le ventre, le volume de la musique Ă  son maximum. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Mar 19 Jan - 2219 Le bruit des pas de Candice montant les escaliers de l'immeuble le rĂ©veilla en sursaut. D'habitude, il avait plutĂŽt le sommeil lĂ©ger, mais la ca en devenait affolant. Le blond se frotta les yeux, ensommeillĂ©, puis s'Ă©tira, son dos laissant Ă©chapper quelques craquements. Il regarda sa montre. Il avait dormi environ quarante-cinq minutes. Il se leva, et s'installa sur le canapĂ©. Candice allait bien Ă©videmment rĂąler, dire quelque chose du genre "Mais qu'est ce que tu fais encore la, je t'avais dit d'aller dormir !". A tous les coups. C'est pas comme si il ne la connaissait pas par coeur...Quelques secondes plus tard, comme prĂ©vu, Candice poussa la porte, et Ă©carquilla les yeux Ă  la vision de Matt assit sur le canapĂ© qui la fixait en souriant. Elle s'approcha et devina Ă©videmment ce qui l'avait rĂ©veillĂ©. MĂȘme pas drĂŽle. Bon, en mĂȘme temps c'Ă©tait plutĂŽt un avantage, vu qu'ils n'avaient mĂȘme pas besoin de parler pour se Trop lĂ©ger sourire aux lĂšvres, il posa la tĂȘte sur l'Ă©paule de la brune. - Merci. Beaucoup. Jt'expliquerais, quand la situation sera arrangĂ©e. Il rĂ©flĂ©chit. Aller rĂ©veiller Stella pour lui montrer sa guitare ou la laisser profiter de quelques heures de sommeil bien mĂ©ritĂ©es. La laisser dormir. Ca valait mieux pour tout le monde, ca faisait passer les heures pour elle, Matt pouvait se reposer, et elle aurait une bonne surprise au rĂ©veil, mĂȘme si elle s'y attendait, ce qui n'est pas vraiment le principe d'une surprise, mais blond tourna la tĂȘte vers Va y, je te retiens pas plus. Pas que je te vire d'ici hein, t'es toujours la bienvenue, mais je pense que la fĂȘte oĂč tu avais prĂ©vu d'aller manque d'ambiance tant que t'es pas dizaine de minutes plus tard, Candice partit, Matt se leva, attrapa Ă  l'entrĂ©e du couloir le sac, ou plutĂŽt la valise qui contenait les affaires de Stella, ainsi que la housse de sa guitare, et les posa devant la porte de sa chambre, avant de la pousser, justement, la porte. Il pensait, et Ă©tait mĂȘme sĂ»r que Stella dormait profondĂ©ment, sauf que non, la brune se contentait de somnoler en fixant le plafond, puis de tourner la tĂȘte vers lui en voyant le mouvement de la porte. Un sourire Ă©panoui naquit sur ses lĂšvres. Il disparut le temps d'attraper la housse, puis rĂ©apparut, posa la guitare devant Stella. Il sourit de nouveau devant ses yeux plein d'Ă©toiles, et s'assit en tailleur Ă  cĂŽtĂ© d'elle sur le Tu me joues un morceau ?Le tout accompagnĂ© d'un grand sourire Ă©clatant. C'est pas comme si elle pouvait dire non...[HJ Je maintiens ma rĂ©putation question nombre de lignes et qualitĂ© xDD Et choisis bien le morceau, pas un truc genre Au clair de la lune a Oui, je t'en sais capable xD] InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Mer 20 Jan - 351 [HJ Bon, je te conseil d'Ă©couter la musique au moment oĂč elle chante, sinon ça risque de tout casser. Explications elle va jouer deux morceaux, complĂštement diffĂ©rents, donc vaudrait mieux pour toi que tu les Ă©coutes au bon moment Et puis pourquoi pas de "Au Clair de la Lune" ?!]Il faisait sombre. TrĂšs sombre. Pas un rayon de lune qui venait Ă©clairer la piĂšce, pourtant ouverte et aĂ©rĂ©e par la fenĂȘtre. Le ciel Ă©tait d'un noir profond, ça faisait presque peur. Aucune Ă©toile ne brillait dans le ciel, et pourtant, cette situation Ă©tait presque rassurante. RĂ©confortante, c'Ă©tait cool. Le calme de la nuit avait tendance Ă  envahir les oreilles, et dĂ©rangeait pratiquement. A deux heures du matin, un lundi soir, New-York est complĂštement vide. Étrange, pour une ville qui est censĂ©e ĂȘtre vivante 24 heures/24. Stella Ă©tait allĂšgrement allongĂ©e sur le lit, complĂštement de travers. Elle Ă©tait en diagonale et prenait toute la place, sans gĂȘne. Ses yeux Ă©taient fermĂ©s, tout comme sa bouche et ses poings. Elle inspirait et expirait lentement par le nez sentant la le rythme de la musique l'envahir lentement. Elle sentait son cƓur battre Ă  mille Ă  l'heure Ă  chaque grattement de guitare, des frissons Ă  chaque intonation de la voix du chanteur. Tout un univers si... magique. Cette sensation d'Ă©vasion, de libertĂ©. N'avez-vous jamais eu cette impression, lorsque que vous enfilez vos Ă©couteurs, d'entrer dans un monde diffĂ©rent de celui de tous les jours ? Un monde meilleur, un monde parfait. Un monde que tout ĂȘtre censĂ© rĂȘverait de visiter au moins une fois dans sa jeune femme avait le regard complĂštement vide. Ses yeux Ă©taient fixĂ©s au plafond, et aucune Ă©motion ne sortait. Seules ses lĂšvres bougeaient lĂ©gĂšrement en fonction des paroles de la musique, qu'elle arrivait Ă  reproduire parfaitement. Son attention Ă©tait portĂ©e Ă  la peinture Ă©caillĂ©e du plafond. De lĂ©gĂšres fissures ornaient les murs, ce qui dĂ©montrait l'Ăąge de l'appartement. Entre la cuisine pas trĂšs High-Tech, la poussiĂšres dans les coins et la peinture Ă©caillĂ©e, Matthew ne devait pas vraiment se soucier de la l'Ă©tat de son habitation. De toute façon, qu'est-ce que cela pouvait bien apporter. Du moment qu'il s'y sentait bien Ă  l'aise, -ce qui semblait ĂȘtre le cas- le reste avait bien moins d'importance. Et puis, ce petit cotĂ© nĂ©gligĂ© donnait un certain charme Ă  l'habitat. Un cotĂ© "pas comme les autres", qui se reflĂ©tait dans le caractĂšre du blond. En fait, il Ă©tait comme son appartement ! Enfin... pas pour le cotĂ© vieillot et nĂ©gligĂ©, mais plutĂŽt le cotĂ© "je suis comme je suis et peu m'importe l'avis des autres". Disons que Matt avait l'air de faire ce qu'il voulait, du moment qu'il le voulait. Pas Stella se leva du lit, Ă©jectant les Ă©couteurs de ses oreilles. Un petit sourire se forma au coin de ses lĂšvres, et son regard redevint plus intense. Elle se traĂźna jusqu'Ă  la fenĂȘtre, et s'y accouda. Les Ă©toiles Ă©taient rares dans le ciel, il fallait vraiment les chercher pour les trouver. Surtout que le peu qu'il y avait n'Ă©tait pas trĂšs clair, et donc elles ne brillaient pas beaucoup. Et le plus drĂŽle, c'est qu'il n'y avait non plus aucun nuage. Rien ne couvrait le ciel noir, seul lui-mĂȘme. La lune Ă©tait cachĂ©e et en fin croissant. Son plein avait Ă©tĂ© la veille, et Stella ne l'avait pas remarquĂ©. De toute façon, elle se fichait royalement que la lune soit pleine ou pas. Il y a des gens que ça intĂ©resse, sur Terre. Des gens un peu obsĂ©dĂ©s par n'importe quoi. Bref, aprĂšs deux ou trois minutes d'observation et de nostalgie, la jolie brune rebroussa chemin et se rassit sur le lit. Elle ne pĂ»t s'empĂȘcher de reprendre l'oreiller entre ses bras et de le serrer fort, trĂšs fort. Elle s'imbibait de l'odeur de l'homme qui l'hĂ©bergeait, devenant de plus en plus folle de son sourire. Elle s'imaginait des scĂšnes, plus farfelues les unes que les autres. Et bien, soyons rĂ©alistes. Je ne mentirai pas...1... 2... 3... Le temps passait si lentement. Les yeux de Stella Ă©taient moins fatiguĂ©s que toute Ă  l'heure, et ils lui brĂ»laient beaucoup moins. Voire plus du tout. Cette sensation d'ĂȘtre reposĂ©e Ă©tait quand mĂȘme gĂ©niale. MĂȘme si elle n'Ă©tait pas reposĂ©e du tout, dans son cas. C'est vrai quoi, elle n'avait dormi maximum 4 heures. Pour une nuit ! C'est rien. Et pourtant, elle n'Ă©tait plus fatiguĂ©e. Bon, elle n'Ă©tait pas non plus d'humeur Ă  aller se bourrer la gueule et faire la fĂȘte jusqu'Ă  7 heures du matin. Ça, oubliez carrĂ©ment. Mais ça ne la dĂ©rangerait pas de rester Ă©veillĂ©e tout le restant de la nuit, calmement Ă  jouer de la guitare jusqu'Ă  n'en plus pouvoir. Non, ça ne la dĂ©rangerait pas du tout. Et vous savez ce qui la dĂ©rangerait encore moins ? Hum, la porte de la chambre grinça, et une tĂȘte blonde en sortir. Les yeux de Stella s'ouvrir en grand, et elle se redressa immĂ©diatement. Il Ă©tait debout dans la piĂšce, une housse de guitare Ă  la main et une valise dans l'autre. Le jeune homme ne tarda pas Ă  dĂ©poser l'objet prĂ©cieux sur le lit, ne se gĂȘnant pas de demander Ă  la brune de lui jouer un morceau. Hum... T'es sĂ»r de toi ? Parce que franchement je suis nulle. »Genre. Comme si elle ne mourait pas d'envie de lui jouer le morceau le plus balĂšze qu'elle n'ai jamais jouĂ©. Comme si elle ne voulait pas qu'il la complimente, encore et encore. Mais elle savait malheureusement trĂšs bien qu'elle n'Ă©tait pas douĂ©e, et que ça serait presque une perte de temps pour l'homme. Tout d'un coup, un bruit louche interpella la jeune femme. Un bruit trĂšs, trĂšs louche. Comme... deux animaux qui s'accouplaient. On entendait une femme crier de bonheur, et exprimer son contentement. Un sourire moqueur s'afficha sur les lĂšvres de la jeune femme, qui ne tarda pas Ă  exploser de rire. Elle Ă©tait pliĂ©e en deux, et son sourire allait lui dĂ©boiter la mĂąchoire. Ses dents blanches contrastaient avec la pĂ©nombre, et ses yeux brillants rayonnaient tels deux petites reprit son sĂ©rieux Ă  peu prĂšs cinq minutes plus tard. Elle Ă©tait sereine, et son visage Ă©tait retombĂ©. Bon allez, gardons notre calme, restons brune prit soigneusement sa guitare, y faisant pire qu'attention. Un dĂ©nommĂ© "Owen" l'avait dĂ©jĂ  faite tomber, et il connaissait les colĂšres noires de Stella en ce qui concerne Mme la guitare. Alors conseil n'y touchez pas, ou alors faites-y attention comme Ă  la prunelle de vos yeux. Non, plus encore. Hm, avait son bijou entre les mains, elle en Ă©tait presque Ă©merveillĂ©e. Elle lui avait manquĂ©, sa chĂ©rie. Un sourire sournois fit alors son apparition, et Stella prit en main son objet prĂ©cieux. Bon allez. Si c'est pour toi... premiĂšre chansonLa jolie brune commença Ă  jouer des notes, et s'empressa de chantonner des paroles grotesques, un sourire aux lĂšvres. "I wanna fuck a dog in the ass..." Haha, charmant. Et trĂšs drĂŽle. Elle arrĂȘta son Ă©lan aprĂšs trois phrases. Elle ne pouvait pas continuer, c'Ă©tait un peu... dĂ©placĂ©. Et pas trĂšs rire franc sortit alors de sa bouche, ses yeux pĂ©tillants montrant son humeur. Un sourire aux lĂšvres, elle reprit calmement ses esprit, avant de se re concentrer. Elle voulait lui jouer un morceau qui lui montrerait ses sentiments, qui lui ferait ressentir ce qu'elle commença Ă  jouer des notes calmes, douces. Elle Ă©tait concentrĂ©e dans ce qu'elle faisait et Ă  la fois Ă©mue. Son doigts s'entremĂȘlaient aux cordes, on comprenait Ă  peine les gestes qu'elle faisait. C'Ă©tait incroyable la vitesse Ă  laquelle elle enchaĂźnait les notes. C'est alors que sa voix vint se mĂȘler au jeu. Sa voix mĂ©lancolique, douce et expressive. Sa voix d'ange et Ă  la fois de martyr. Sa voix dĂ©licate et enjouĂ©e, sa si belle voix.DeuxiĂšme chanson Don't you cry tonight I still love you babyDon't you cry tonight Don't you cry tonight There's a heaven above you baby And don't you cry tonight »C'est archi nul, j'ai fais que blablater pour rien... Et j'ai pas relu =SDerniĂšre Ă©dition par Stella J. Smith le Ven 22 Jan - 2047, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Ven 22 Jan - 1857 Le blond lui adressa un grand sourire quand elle lui demanda si il Ă©tait sĂ»r. Le genre de question Ă  la con que tout le monde pose quand mĂȘme. C'est vrai quoi, si il Ă©tait pas sĂ»r, il ne lui aurait probablement pas demandĂ© ! Il fronca les sourcils en entendant les bruits suspects provenants de l'appartement du dessus. Sympa les gens, vraiment. Et Stella qui Ă©tait toujours Ă  moitiĂ© morte de rire. Il lui adressa une grimace dĂ©solĂ©e.... C'Ă©tait quoi, ce sourire narquois la ?! Le genre de sourire qu'on fait avant de faire une bĂȘtise, ou de dire une idiotie, ou quelque chose du genre. Tout s'expliqua quand Stella commença Ă  jouer les premiĂšre notes de I Wanna Fuck A Dog In The Ass, et ils Ă©clatĂšrent de rire au mĂȘme moment. Charmant. Pour une fois depuis quelques heures, il oubliait que la brune Ă©tait en manque de drogue et au bord de la crise de nerfs. Aucun doute, elle allait mieux. Les sourires et rigolades en tĂ©moignaient. Ce qui Ă©tait trĂšs, trĂšs rassurant. Ca prendrait peut ĂȘtre beaucoup moins de temps que prĂ©vu. Elle parut alors se concentrer, rĂ©flĂ©chir Ă  quelle chanson rĂ©ellement lui jouer. Et quand ses mains commencĂšrent Ă  glisser sur les cordes de sa prĂ©cieuse guitare, Matt retrouva la Stella d'avant. Celle de qui il Ă©tait tombĂ© sous le charme Ă  leur premiĂšre rencontre, et tombĂ© amoureux aprĂšs l'avoir entendue jouer dans le parc. La Stella qu'il avait cru perdue, sans jamais perdre ses sentiments. Sans la quitter des yeux, il regroupa ses jambes en tailleur, posa son coude dessus, et son menton dans sa main. Drogue ou pas drogue, elle avait toujours une aussi belle voix, qui allait parfaitement avec la aurait dit que ses doigts volaient au dessus des cordes sans les toucher, ou en les effleurant Ă  peine, alors qu'elle enchainait les notes avec une facilitĂ© sans pareille. Il prononca les paroles du refrain sans un son, juste en faisant bouger ses lĂšvres. Une fois la chanson terminĂ©e, un silence lĂ©ger s'Ă©tait installĂ© dans la piĂšce, c'Ă©tait Ă  celui ou celle qui oserait le briser le premier, ou la premiĂšre. Il ferma les yeux quelques secondes, et secoua la tĂȘte. SĂ©rieusement, il Ă©tait le seul Ă  trouver Stella hallucinante ? Non, en fait non. Le nombre de gars qui lui tournaient autour Ă©tait plutĂŽt consĂ©quent, on pouvait sĂ»rement faire une liste. Alors pourquoi elle Ă©tait la ? Ah, c'est vrai que c'est lui qui l'avait ramenĂ©e ici environ huit heures avant. Il jeta un coup d'oeil Ă  sa montre. Trois heures trente. Et ben, heureusement qu'il allait pas en cours le C'Ă©tait gĂ©nial. l'avait enfin brisĂ©, ce silence. 1-0, avantage Matty. Non, ca, ca a aucun rapport. - Tu veux faire quoi ?Question Ă  la con, Ă  laquelle la brune rĂ©pondrait sĂ»rement par un genre de "Ce que tu veux."[HJ DĂ©solĂ©e j'ai Ă©tĂ© coupĂ©e dans mon Ă©lan fanstastique, et on se retrouve Ă  cette longueur... Pour savoir ce qui m'a coupĂ©, va voir sur mon FB ce que mon entraineur, actuellement dans mon salon, vient de m'annoncer...] InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Ven 22 Jan - 2146 Le temps s'Ă©coulait assez lentement, et le soleil ne pointait toujours pas le bout de son nez. La nuit Ă©tait vraiment noire, pas une seule Ă©toile n'ornait le ciel si vaste. On aurait put s'attendre Ă  ce que de nombreux nuages couvrent l'Ă©tendue noire, surtout Ă  New-York. Pollution, vous dites ? Et bien non, par le plus grand des hasards ? ni d'Ă©toile ni de nuage ne se manifestait. Et malgrĂ© ce que l'on pourrait penser, c'Ă©tait assez... beau. Enfin, cela dĂ©pend bien entendu des goĂ»ts de chacun. Pour un personne en pleine "dĂ©pression" qui se fou du noir en masse autour des yeux et qui Ă©coute de la musique glauque Ă  longueur de journĂ©e, c'est magnifique, un ciel tout noir. Alors que pour une personne heureuse de vivre et qui porte du rose et du bleu ciel, c'est un peu... sombre, morbide. Ce genre de personnes aurait certainement prĂ©fĂ©rĂ© un arc-en-ciel multicolore avec des poneys magiques qui en descendent. Hum, je Ă©tait assise en tailleur sur le lit, sa guitare dans les bras. Un sourire rayonnait sur son visage, Ă©loignant toutes quelconques tĂ©nĂšbres de la piĂšce. A vrai dire, la seule chose qui lui important vraiment en ce moment mĂȘme Ă©tait simplement la personne qui se trouvait en face d'elle. La brune Ă©tait quelque peu heureuse, Ă  cet instant. Elle Ă©tait Ă  la fois fiĂšre, satisfaite, et un peu angoissĂ©e. Pourquoi ? SĂ»rement parce qu'elle paniquait Ă  l'idĂ©e que Matthew n'ait peut-ĂȘtre pas aimĂ© la prestation qu'elle venait de faire. Peut-ĂȘtre l'avait-il trouvĂ© absolument ringarde et nulle ? De toute façon, c'est comme tel qu'elle se considĂ©rait. Nulle. Mais quel artiste digne de ce nom aurait le culot que se trouver douĂ© ? Aucun, c'est tout simplement une question de classe, de modestie. Mais bon, voilĂ  quoi. MalgrĂ© le fait qu'elle se trouve mauvaise, elle aurait voulu Ă©pater son compagnon. Chose qu'elle n'avait peut-ĂȘtre pas jeune femme sourit aux mots du beau blond. Apparemment, ça lui avait un peu plus. Il n'aurait pas dis ça, sinon. Bref. Elle souriait, et Ă©tait heureuse. C'Ă©tait gĂ©nial. Sauf que la fatigue recommençait petit Ă  petit Ă  prendre le dessus, et si elle ne bougeait pas elle s'endormirait sur place. Stella dĂ©plia ses jambes et les allongea sur le lit, s'Ă©tirant de tous les cotĂ©s. Elle Ă©tait habillĂ©e un peu trop lĂ©gĂšrement, et son dĂ©bardeur commençait Ă  ne pas suffire. La fenĂȘtre Ă©tait grande ouverte, et un courant d'air frais vint les dĂ©ranger. La brune frissonna lĂ©gĂšrement au contact du vent sur sa peau nue et un peu trop blanche. Yurk, on aurait dit un cadavre. Plus ça allait, et plus elle se rendait compte qu'elle Ă©tait affreuse, avec cette soi-disant "dĂ©pression". Ce truc la rendait vraiment atroce, aussi physique que mentalement ! Ça la tuait Ă  petit feu, comment avait-elle put se laisser aller Ă  ce point ? Et le pire c'est qu'elle Ă©tait maigre comme un petit doigt. Bon, elle n'aurait tout de mĂȘme pas prĂ©fĂ©rĂ© devenir obĂšse et peser 120 kilos, mais si elle continuait ainsi elle finirait anorexique ! Une chance qu'elle ne se fasse pas vomir. De toute façon, elle Ă©tait dĂ©cidĂ©e Ă  reprendre un minimum de poids. C'est pas bien d'ĂȘtre trop ronde, mais c'est pas bien d'ĂȘtre trop maigre non plus. Elle qui avait eu tant l'habitude de se priver de nourriture pour essayer de ressembler Ă  n'importe quel mannequin, aujourd'hui elle faisait le contraire. Ça doit ĂȘtre horrible, n'empĂȘche, une vie de mannequin. Ne rien pouvoir avaler juste pour rentrer dans une taille 32 et ressembler Ă  un squelette. Beurk. Heuu, revenons-en Ă  notre sujet de dĂ©part. La femme Ă©tait ravie que sa chanson ait plu au blond, le sourire aux lĂšvres. Bin... Merci. »Stella se leva brusquement du lit, faisant sursauter Matthew. Un sourire taquin s'afficha alors au coin de ses lĂšvres. Il Ă©tait dĂ©cidĂ©ment craquant. Et encore plus lorsqu'il Ă©tait surprit. Sans gĂȘne particulier, elle ouvrit le placard du blond et en sortit un sweat-shirt gris. DĂ©cidant qu'il Ă©tait Ă  son goĂ»t, la jeune femme l'enfila et huma son odeur en cachette pendant quelques secondes. Elle sourit innocemment Ă  Matthew, ses dents blanches Ă©clatantes. Hm, elle avait bien moins froid maintenant. Bon, le vĂȘtement Ă©tait d'un genre trop grand pour elle, mais ça la rassurait. Rien que le fait de porter les vĂȘtements de ce garçon la rendait folle. Et si en plus ce vĂȘtement sentait Ă  plein nez l'odeur de ce garçon, c'Ă©tait 1000 fois mieux. Et si en plusÂČ ce garçon Ă©tait avec elle, en ce moment mĂȘme, mais c'Ă©tait tout simplement parfait !La jolie brune se rassit sur le lit, son sourire toujours innocent aux lĂšvres. J'te l'emprunte, tu veux bien pas vrai ? »Sourire d'ange, et air d'ange. Sa bouille ne se ferait rien refusĂ©. N'attendant mĂȘme pas la rĂ©ponse de Matt, Stella s'allongea sur le lit. Elle Ă©tait tellement bien, en ce moment mĂȘme. Elle se sentait bien, Ă©tait incroyablement heureuse. Elle voudrait que cet instant dure des siĂšcles et des siĂšcles. Elle voudrait pouvoir le revivre quand il serait terminĂ©. Elle voudrait qu'il ne se termine la jeune femme s'allongea sur le blond. Elle commençait prendre ses aises, la Stella. Une vraie lionne. Et plus elle se sentirait bien, plus elle marquerait son territoire. Au mon Dieu, je suis en train de parler d'animaux lĂ  ? qu'elle voulait faire ? Et bien mon gars, il est 3 heures du matin, donc... dormir ? La brune Ă©tait toujours allongĂ©e sur son compagne, les yeux fermĂ©s. Elle profitait de chaque seconde, chaque micro seconde, ou tout ce que vous voulez. Le corps de Matthew Ă©tait incroyablement chaud, comparĂ© au sien qui Ă©tait... glacĂ©. Bah oui, elle mourait un peu de froid. Doucement, elle prit la parole. Demain, je t'apprendrai des trucs. Pour l'instant, bonne nuit. »Doucement, Stella s'endormit comme un petit bĂ©bĂ©. Elle Ă©tait accablĂ©e par la fatigue, et espĂ©rant de tout cƓur de ne pas refaire le rĂȘve qu'elle avait fait il y a environ 1 heure. Ce rĂȘve avait Ă©tĂ© abominablement atroce. __________________________________Quelques rayons de soleil Ă©blouissaient le visage angĂ©lique de Stella. Les yeux pourtant toujours fermĂ©s, la brune se rĂ©veilla progressivement. AprĂšs quelques secondes de rĂ©flexion, elle finit par ouvrir les yeux, et sursauter. Elle avait complĂštement oubliĂ© qu'elle se trouvait Ă  l'appartement de Matthew. La fenĂȘtre Ă©tait ouverte, et les rideaux virevoltaient devant. Le soleil Ă©tait Ă  son zĂ©nith. Quoi ? Non, il n'Ă©tait tout de mĂȘme pas dĂ©jĂ  midi ? La jeune femme se leva brusquement, et fut déçue de ne pas trouver le blond allongĂ© sur le lit. Elle se prĂ©cipita dans le salon, oĂč elle dĂ©couvrit Matthew, devant la tĂ©lĂ©vision. Elle regarda son poignet, et sa montre ne s'y trouvait pas. Lentement, elle alla s'assoir Ă  cotĂ© de lui, le visage encore un peu endormi. Quelle heure il est ? » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Sam 23 Jan - 2023 Stella se leva, se servit dans son placard, et lui adressa un sourire angĂ©lique avant d'enfiler son sweat. Comme si elle savait oĂč tout Ă©tait rangĂ©. Euh... Elle n'avait pas fouillĂ©, si ? Pas qu'il avait des choses Ă  cacher, mais c'Ă©tait pas un genre de trucs qu'on fait normalement quand on dort chez les gens. Avant que le blond ait le temps de rĂ©pondre quoi que ce soit -comme si il allait lui dire "Bin, oui, ca me gĂȘne, repose le"...-, Stella s'allongea sur son torse, rĂ©pliqua un "Bonne nuit", et ferma les yeux. Elle Ă©tait pas narcoleptique, un peu ? Parce que bon, autant des fois elle avait l'air de mettre des heures Ă  s'endormir, autant la... M'enfin, il allait pas se plaindre. Il avait maintenant une bonne raison de dormir avec elle sans que ca paraisse... dĂ©placĂ©, vu qu'elle Ă©tait carrĂ©ment allongĂ©e sur lui !Posant un bras autour de la taille de la brune, il ferma les yeux et s'endormit presque aussi tĂŽt. Qui parlait de narcolepsie ?__________________________________Quand il souleva les paupiĂšres, il faisait bien Ă©videmment jour. Evidemment, vu l'heure Ă  laquelle ils s'Ă©taient endormis... En penchant la tĂȘte vers la gauche, il s'aperçut que Stella Ă©tait toujours Ă  moitiĂ© allongĂ©e sur lui, et sourit. Elle avait si... fragile, quand elle dormait. Il contempla son visage pĂąle pendant de longues minutes, replacant Ă  l'occasion une mĂšche brune rebelle qui retombait devant ses yeux clos, toujours un sourire au coin des lĂšvres. Puis, lentement, il se dĂ©gagea centimĂštre par centimĂštre, veillant Ă  ne pas la rĂ©veiller, posa ses lĂšvres contre sa joue glacĂ©e, puis se leva du lit, et se dirigea dans la cuisine. Le blond attrapa une pomme qui trĂŽnait sur le... bol Ă  fruits ? et croqua dedans, avant de se diriger vers le salon et de s'installer devant la tĂ©lĂ© en attendant le rĂ©veil de Stella. Il avait toujours eu cette... capacitĂ© Ă  Ă©merger rapidement le matin, mĂȘme gamin, contrairement Ă  d'autres. Quelques minutes plus tard, une silhouette avança sans bruit vers lui, et Stella s'avanca vers le canapĂ© avant de s'installer Ă  cĂŽtĂ© de lui. Quelle heure il Ă©tait ? Il regarda sa montre. Enfin, la ou il pensait avoir sa montre. Qui n'y Ă©tait Euh... Aucune idĂ©e. Il jeta un oeil vers la tĂ©lĂ©, oĂč un pseudo-rappeur, avec capuche sur la tĂȘte, et colliers dorĂ©s bien clinquants, alignait tous les gros mots possibles et inimaginables dans une pseudo-chanson. Dans le coin supĂ©rieur droit, magique, il trouva l'heure. - Dix heures quarante huit. Donc, soit on mange le ptit dej. Soit on mange le repas. Soit les deux. Soit aucun. Like you want. Enfin, perso, j'Ă©limine la derniĂšre tourna la tĂȘte vers elle, attendant sa Et puis, faudra aussi que tu m'apprennes les trucs que tu as Ă  m'apprendre ! InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Dim 24 Jan - 454 La lumiĂšre Ă©blouissante du soleil avait la fĂącheuse tendance de rentrer dans ses yeux. Les rideaux Ă©taient grossiĂšrement Ă©talĂ©s devant les vitres, et ne couvraient pas grand chose. New-York Ă©tait dĂ©jĂ  en activitĂ©, et on entendait des bruits venant de dehors. Le moteur des voitures, des scooters. Les piĂ©tons qui criaient aprĂšs les chauffards dĂ©jĂ  saouls. C'est fou, quand mĂȘme. Les gens qui prennent l'appero dĂšs le matin. Hahaha ><. La circulation, toujours et encore. Les bruits Ă©taient-ils un avantage ou plutĂŽt un inconvĂ©nient ? Et bien, disons que ce n'est pas toujours agrĂ©able d'entendre des bruits de fond 24 heures/24, mais ce lĂ©ger marmonnement pouvait avoir un certain charme. Il fallait le chercher, bien Ă©videmment. Mais il Ă©tait lĂ . Qui ne rĂȘverait pas de possĂ©der un appartement Ă  New-York ? LA ville dont tout le monde au moins Ă  dĂ©jĂ  entendu parler ? Oui, oui. On parle bien du mĂȘme endroit. La ville la plus peuplĂ©e d'AmĂ©rique, la statue de la LibertĂ© et tout et tout. La cĂ©lĂšbre chanson de Lisa Minelli " Start spreadin' the news, I'm leaving today I want to be a part of it New York, New York !" Ces quelques paroles vous mettent sans doute sur une piste, n'est-ce pas. Bon, et bien quoi qu'il en soit, New-York reste tout de mĂȘme une ville oĂč n'importe quel individu susceptible d'avoir un cerveau qui fonctionne correctement rĂȘverait de visiter au moins une fois dans sa vie. Non, non. Je n'exagĂšre tout cela pour dire que les rayons du soleil Ă©blouissaient Stella. Et ça l' brune Ă©tait affalĂ©e sur le canapĂ©, la tĂȘte posĂ©e sur l'Ă©paule de Matthew. Un joli sourire se dessinait au coin de ses lĂšvres, un sourire dont elle n'aurait pu contrer l'apparition. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il Ă©tait purement sincĂšre. Qui serait assez bĂȘte pour ne pas vouloir admirer un sourire sincĂšre ? Ils Ă©taient de moins en moins nombreux, sur Terre. Ne soyez pas naĂŻfs. Mais plutĂŽt vigilants, et guettez la vĂ©ritĂ© oĂč que vous soyez. Car il se pourrait qu'elle vous perde un jour, et la retrouver est chose bien difficile, entreprit de changer de position, jusqu'Ă  ce que son dos craque, fasse un bruit sourd et en lui laisse un souvenir douloureux. FigĂ©e, elle dĂ©cida que de fermer les yeux ferait tout aussi bien l'affaire. Parce que maintenant qu'elle Ă©tait bloquĂ©e dans cette position, elle n'en sortirait pas de si tĂŽt. Et puis, pourquoi vouloir bouger ? Elle Ă©tait appuyĂ©e contre Matthew, aprĂšs tout. Et c'Ă©tait plutĂŽt agrĂ©able. Tant que son dos n'en faisait pas des siennes, elle ne bougerait pas, voilĂ . La jeune femme sourit Ă  la rĂ©ponse du blond. Elle sourit Ă©galement lorsqu'elle remarqua le bonhomme qui dansait Ă  la tĂ©lĂ©. On aurait dit un croisement entre un asticot et un poisson qu'on sort de l'eau. Il se tortillait dans tous les sens, et sortait des injures les unes aprĂšs les autres. C'Ă©tait carrĂ©ment automatique, comme un robot. Au mon Dieu, pathĂ©tique. C'Ă©tait plutĂŽt cet artiste pas du tout artiste qu'on avait envie d'insulter. Lui jeter des tomates pourries Ă  la figure lui rendrait service, parce que franchement ce qu'il faisait n'avait rien de sensĂ©. Il se ridiculisait devant pas mal de spectateurs... bref. C'est fou le nombre de gens qui se croit intĂ©ressant et douĂ©, alors qu'il ne vaut rien. Ahurissant, flippant. Ouais, c'Ă©tait flippant. Et pas trĂšs utile. On s'en passerait bien, de cette musique d'abrutis. Oh. J'ignorais que tu Ă©coutais ce genre de musique. Remarque, la casquette Ă  l'envers, les chaĂźnes, et les dents en or t'iraient Ă  merveille ! J'te vois bien en Matt du 38. »Grand silence. Puis rigolade comme pas possible. Stella Ă©tait comme possĂ©dĂ©e par un Ă©lan d'humour, et son ventre commençait Ă  souffrir de crampes. Son rire cristallin rayonnait dans la piĂšce, ainsi que celui de son compagne. AprĂšs s'ĂȘtre un peu calmĂ©e, Stella reprit progressivement ses esprits. Elle colla un bisou sur la joue chaude de Matthew, avant de lui adresser un sourire des plus rayonnants. Bonjour, au fait. »Soudain, plus rien. Ça arriva comme une claque en pleine gueule. Vous savez, quand, par exemple, vous ĂȘtes tout content et joyeux, et lĂ , vous Ă©coutez une musique un peu triste, et bam le moral retombe. Ça ne vous ait jamais arrivĂ© ? Comme un saut d'humeur assez brusque. De toute façon, c'est ce qu'il vint de se passer, pour la jeune femme. Sauf qu'elle n'avait eu besoin d'aucune musique. Doucement, elle se dĂ©gagea de l'Ă©treinte du blond, le visage perdu. Comme si elle Ă©tait en train de revenir Ă  la rĂ©alitĂ©. Mais... enfin, c'Ă©tait si Ă©trange, comme sensation. Tout sourire avait disparu, ses sourcils Ă©taient lĂ©gĂšrement froncĂ©s au dĂ©pourvu. Comme si elle Ă©tait dĂ©boussolĂ©e, qu'elle venait de se rĂ©veiller au milieu de nulle part. Tellement bizarre...La brune ne rĂ©agit pas aux paroles de l'homme, muette. Cela faisait exactement 18 heures qu'elle n'avait avalĂ© aucune substance illicite. Et tout lui revint en tĂȘte. Pourquoi elle Ă©tait lĂ ... la veille, l'Ă©vanouissement, les vomissements. D'ailleurs, cette pensĂ©e lui fit tourner la tĂȘte. Son estomac Ă©tait au bord de ses lĂšvres, et elle ne tarderait pas Ă  vomir. Elle avait besoin de mĂ©dicaments, de fumer un joint et de s'enfiler deux bouteilles de whisky. Stella se leva brusquement du canapĂ©, limite elle bouscula Matt. Sa bonne humeur s'Ă©tait Ă©vadĂ©e, et la femme Ă©tait redevenue triste et fade. Hum. Non, ça va. Je n’ai pas heu... je t'apprendrai ce que tu voudras. »Quelques mots, et puis plus rien. Comme si c'Ă©tait une corvĂ©e que d'ouvrir sa bouche et d'en laisser sortir quelques sons. Comme si tout la saoulait, qu'elle voulait rentrer chez elle. On y est. Encore une crise ? La jeune brune tourna les talons, et partit froidement. Elle se dirigea vers la chambre de l'homme, pour y prendre des affaires. Elle s'empara d'un jean et d'un pull, ainsi que de sa brosse Ă  dents, Ă  cheveux et sa trousse Ă  maquillage, et partit dans la salle de bain en elle se dĂ©shabilla et se regarda longuement dans le miroir, nue. Son corps ne lui plaisait pas. Elle se trouvait bien trop grosse. Elle se mettait de profil, de face, et se regardait. La porte Ă©tait verrouillĂ©e, bien entendu. Elle n'aurait pas supportĂ© l'idĂ©e que Matt puisse entrer Ă  n'importe quel moment. Il ne devait pas la voir sans vĂȘtement, cela va de soit. Elle avait bien trop quelques minutes Ă  s'auto critiquer devant le miroir, Stella entra dans la douche. Son mal de dos avait complĂštement disparu, et elle en avait oubliĂ© l'existence, d'ailleurs. Elle tourna difficilement le robinet d'eau chaude. A croire qu'il ne se douchait qu'Ă  l'eau froide. La jeune femme se glissa alors sous l'eau brĂ»lante, n'ayant mĂȘme pas tournĂ© ne serait-ce qu'un tout petit peu le robinet d'eau froide. Elle Ă©tait lĂ , misĂ©rablement postĂ©e. Une jambe tendue, l'autre pliĂ©e, et elle attendait. Petit Ă  petit, elle se laissa glisser le long du mur, jusqu'Ă  se retrouver accroupie. L'eau coulait fortement sur ses longs cheveux noirs. C'Ă©tait si difficile, de rĂ©sister. RĂ©sister Ă  l'envie de se tuer Ă  n'importe quel moment, avec n'importe quoi. C'Ă©tait si difficile de vivre. Soudain, une lame attira l'attention de la brune. Le rasoir de Matthew se trouvait Ă  cotĂ© du lavabo. Elle n'en utilisait pas, elle, elle prĂ©fĂ©rait s'Ă©piler Ă  la cire. Plus efficace. Bref, elle se leva brusquement, pour attraper du bout des doigts l'instrument. Il avait l'air neuf, et brillait hĂ©sitait. VoilĂ , elle devait faire quoi, maintenant ? Se trancher la gorge, les artĂšres ? S'entailler les jambes et les bras et finir par les lĂšvres ? Mourir en souffrant, lentement, rapidement ? Tant de questions trottaient dans sa tĂȘte, et inconsciemment elle avait dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  s'entailler le poignet. Son sang coulait Ă  flot et se mĂ©langeait Ă  l'eau de la douche. AprĂšs cinq ou six coups de lame au poignet au droit, elle commença Ă  amocher le gauche. Elle avait plus de mal, Ă©tant donnĂ© qu'elle Ă©tait gauchĂšre. Ses doigts frĂŽlaient l'outil, et elle se coupait volontairement, patiente. Silencieuse. Ça ne lui faisait pas mal. Elle attendrait sagement de se vider de son sang, et de mourir dans la douche de l'homme qu'elle aimait. Quelle belle mort. IdĂ©ale, non ?Soudain, Stella se mit Ă  chanter. Comme ça, pour rien. SĂ»rement une façon de faire passer le temps. Vous savez, comme dans les films d'horreur oĂč le mĂ©chant chante hyper bizarrement, et que ça fait... peur. Elle fredonnait les paroles d'une chanson bien connue. La fameuse Hymne Ă  l'Amour. Les plus belles paroles jamais entendues. Les plus touchantes, celles que seules les amoureux peuvent se dire. Le genre de paroles que seul quelqu'un de profondĂ©ment sincĂšre Ă  le droit de prononcer. J'irais jusqu'au bout du monde, je me ferais teindre en blonde si tu me le demandais... J'irais dĂ©crocher la lune, j'irais voler la fortune si tu me le demandais... Je renierais ma patrie, je renierais mes amis si tu me le demandais... On peut bien rire de moi, je ferais n'importe quoi si tu me le demandais. » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Mar 26 Jan - 2011 Matt du 38. ChaĂźnes en or, dents assorties, et casquette. La classe. Il Ă©clata de rire. Stella croyait vraiment qu'il Ă©coutait ces musiques bidons ? Fallait bien Ă©videmment qu'elle arrive dans le salon quand il venait Ă  peine de changer de chaĂźne, elle devait se faire des idĂ©es sur ce qu'il Ă©coutait, alors qu'il lui avait dĂ©ja dit qu'il prenait ça pour de la torture sonore. Soit elle disait ça en plaisantant, soit elle pensait qu'il lui avait menti, au choix. Comme si le blond Ă©tait capable de lui mentir sur un truc aussi peu important et aussi inintĂ©ressant que du avait juste envie de la serrer dans ses bras, et de lui dire que non, il n'Ă©coutait pas de musique aussi nulle, mais que si elle Ă©coutait ça, il Ă©tait prĂȘt Ă  le supporter. Un grand sourire, encore un, se dessina sur ses Ă  coup, Stella se figea, comme prise par une prĂ©monition ou une crampe, les yeux Ă©carquillĂ©s. Toute trace de sourire avait disparu de son visage, tout comme de celui de Matt qui fronça les sourcils. La rĂ©ponse de la brune rĂ©pandit un froid inquiĂ©tant dans tout son corps. Lui qui d'habitude avait une tempĂ©rature corporelle plus Ă©levĂ©e que la moyenne avait maintenant les doigts gelĂ©s. La peur ? L'inquiĂ©tude ? Quelque chose comme ça, en tout cas. Elle le bouscula, et d'aprĂšs les bruits, il devina qu'elle Ă©tait dans sa chambre ? Besoin d'ĂȘtre seule, sĂ»rement. Mais, aussi brusquement... Mais quelques heures auparavant, pendant sa crise, alors qu'elle Ă©tait dans la chambre, elle n'avait rien trouvĂ© d'"assez" dangereux et avait "juste" voulu sauter par la fenĂȘtre. FenĂȘtre que Matt avait ensuite verrouillĂ©, et que mĂȘme lui avait du mal Ă  dĂ©verrouiller. Donc logiquement, il n'y avait pas de souci. Il se contenta de fixer le mur blanc d'en face, attentif au moindre bruit. Rien d'inquiĂ©tant. Quelques minutes plus tard, le bruit de la douche s'intĂ©gra en fond sonore. Le blond passa rapidement au crible, dans son esprit, les moindres objets prĂ©sents dans la salle de bain. Douche, lavabo, armoire, miroir qui n'en Ă©tait mĂȘme pas un, mais un sticker rĂ©flĂ©chissant, tapis, brosse Ă  dents, dentifrice, savon, rasoir, mousse Ă  raser, eau de toilette... Une minute ! RASOIR ?! Il bondit du canapĂ© et se prĂ©cipita vers la salle de bain. Porte fermĂ©e, bien Ă©videmment. A clĂ© ? Il posa la main sur la Stella ?Pas de rĂ©ponse. Il pressa la poignĂ©e mĂ©tallique, elle n'avait mĂȘme pas pris la peine de fermer la porte Ă  clĂ©. Bon ou mauvais signe ? En entrant, il l'appela de nouveau, toujours pas de rĂ©ponse. Pourtant, elle Ă©tait la, il distinguait sa silhouette dans le bas de la douche, l'eau coulait, et l'humiditĂ© remplissait l'air, le rendant presque irrespirable de chaleur. Il se promit de l'appeler une derniĂšre fois avant de s' Stella ?!C'en Ă©tait trop. S'interdisant de porter un quelconque regard sur son corps nu, il ouvrit brusquement la porte de la douche, et ses pires craintes se matĂ©rialisĂšrent devant ses yeux. Stella, Ă  moitiĂ© allongĂ©e contre le carrelage de la douche, le sang coulant de ses poignets et se mĂȘlant Ă  l'eau brĂ»lante. Il coupa le robinet, se pencha sur elle et chercha son pouls par dessus ses plaies. En regardant Stella, une seule phrase tournait en boucle dans son esprit. C'est pas possible. C'est pas possible. C'est pas possible. C'est pas possible. C'est pas possible. En boucle, toujours. Il l'entendit brusquement chantonner dans un accĂšs de luciditĂ©, et reprit une miette d'espoir. Qui sait combien de sang elle avait perdu. Le blond la souleva aussi facilement qu'on soulĂšve un chaton, l'enveloppa dans la premiĂšre serviette qui traĂźnait, et l'allongea par terre. Il ouvrit la double porte de l'armoire, et fouilla Ă  toute vitesse Ă  l'intĂ©rieur dans l'espoir de trouver quelque chose pour arrĂȘter l'hĂ©morragie. Renversant au passage des objets divers, il attrapa un rouleau de bandes et de quoi lui faire un pansement, puis lui banda les poignets Ă  une vitesse qu'il pensait ne jamais atteindre. Il pouvait faire quoi, maintenant, Ă  part attendre ? Il lui avait promis de ne pas appeler les pompiers, quelques heures avant, et considĂ©ra que la promesse tenait toujours. Les yeux brillants, il attrapa sa main Je t'en prie, Stella, tu as promis, rĂ©veille toi... Tu m'as promis d'essayer.[HJ Pour une fois, je suis pas trop déçue de mon boulot a MĂȘme si les dialogues font trĂšs... "Wall - E ? - Eve ? - Wall-E ? - Eeeeeve" xD] InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Ven 29 Jan - 2241 "La mort est paisible, simple. C'est beaucoup plus difficile de vivre."Certes. Qu'est-ce qui n'est pas vrai, dans cette phrase ? Qu'est-ce qui est difficile, dans la mort ? Rien. Absolument rien. Certains croient au paradis, Ă  l'enfer. Qu'est-ce que le paradis ? Une prairie sans fin oĂč il fait bon et chaud, oĂč il y a des fleurs multicolores, des licornes magiques, Ă  manger et Ă  boire Ă  volontĂ©, oĂč les gens sont heureux et oĂč le mal ne rĂ©gnera jamais ? Peut-ĂȘtre, cela dĂ©pend de la vision des choses de chacun. Peut-ĂȘtre que pour certains, le paradis reprĂ©sentait simplement une immense piĂšce remplie de chocolat, oĂč une piscine de limonade. Et l'enfer ? Un endroit sombre, sinistre, rouge et noir oĂč le feu et le mal rĂšgnent ensemble ? Peut-ĂȘtre Ă©galement. Jamais il ne faut nier une quelconque possibilitĂ©. Et Dieu, et Satan ? Existaient-ils rĂ©ellement ? C'est ça, que tout le monde veut savoir. Seuls les morts peuvent y rĂ©pondre. Et malheureusement, ils ne peuvent pas revenir sur Terre pour faire passer le message. La mort avait rĂ©ponse Ă  tout, c'Ă©tait gĂ©nial ! Fallait-il mourir pour comprendre le sens de la vie ?En revanche, la vie est rĂ©ellement plus compliquĂ©e. Cette garce est toujours remplie de pĂ©ripĂ©ties, plus folles les unes que les autres. Plus dures Ă  accepter et accablantes. C'est si difficile, de vivre. Beaucoup de gens sont fatalistes, pensent que leur destin est Ă©crit sur un immense parchemin comme celui de tout le monde. Que ce qui se passe devait arriver, et qu'il ne sert Ă  rien d'y Ă©chapper. C'est complĂštement insensĂ©. Pourquoi ne pas vouloir ĂȘtre maĂźtre de son destin ? Pourquoi ne pas vouloir tracer soi-mĂȘme son propre chemin ? Pourquoi devoir Ă©ternellement suivre les rĂšgles, sans jamais dire quoi que ce soit... Et puis ce Dieu, Ă  quoi servait-il vraiment ? Ce n'est qu'un escroc parmi tant d'autre, en qui les plus naĂŻfs d'entre nous ont dĂ©cidĂ© de croire. Les plus inutiles sur Terre, ceux qui font ralentir le mouvement. Car franchement, vous croyez vraiment d'un homme nommĂ© JĂ©sus est mort et s'est ressuscitĂ© ? Qu'il s'est laissĂ© transpercĂ© le corps, crachĂ© dessus, sans dire mot ? Tout ça pour ses soi-disant "souverains" qu'il ne connaissait mĂȘme pas ? Ses putains de souverains qui n'ont en rien Ă  foutre de lui, aujourd'hui. Du gros n'importe quoi. Bref, je m'emporte. Tout ça pour dire qu'en ce moment mĂȘme, Stella Ă©tait entre la vie et la mort. C'Ă©tait en quelques sortes Ă  elle de choisir, si elle voulait mourir ou non. Son sort Ă©tait entre ses propres mains. Et elle le savait trĂšs bien. Du moins, elle commençait Ă  le comprendre. Et dans son Ă©tat mental, les idĂ©es se bousculaient. Elle ignorait ce qu'elle devait faire, et pourquoi elle le Ă©tait grossiĂšrement allongĂ©e sur le sol, enroulĂ©e dans une serviette imbibĂ©e de sang. Matthew lui avait fait un bandage Ă  chaque poignet. Heureusement les coupures n'Ă©taient que trĂšs superficielles, mais il s'agissait tout de mĂȘme des artĂšres. MĂȘme si elle ne s'Ă©tait fait cela qu'avec de minables lames de rasoir, il ne fallait pas nĂ©gliger l'endroit de la blessure. Elle avait espĂ©rer pouvoir s'achever comme ça, genre c'est un chirurgien qui sait tout. Alors que bon, rares sont les gens qui arrivent Ă  se suicider en se coupant les artĂšres. Il faut beaucoup de patience, le corps contient malgrĂ© tout une bonne quantitĂ© de sang. Une chance qu'elle n'avait pas pensĂ© aux artĂšres de la cuisse, le blond aurait Ă©tĂ© dans la bouse pour les bandages...Mais bon, malgrĂ© tout, Stella Ă©tait Ă  moitiĂ© inconsciente. Un peu dans les vapes, en fait. Elle entendait parfaitement tout ce qui se passait autour d'elle, mais Ă©tait incapable d'y rĂ©flĂ©chir et de formuler une rĂ©ponse qui tiendrait la route. Disons que sa partie gauche du cerveau Ă©tait Ă  moitiĂ© active, et la partie droite complĂštement HS. Elle avait les yeux fermĂ©s, et poussait de lĂ©gers gĂ©missements. Au moins pour montrer qu'elle entendait ce qu'il lui disait, pour lui prouver qu'elle n'Ă©tait pas morte. Mais aussi pour lui dire qu'elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© qu'il la laisse mourir tranquillement, comme ça il ne l'aurait plus sur le dos. C'est vrai quoi, en quoi pouvait-il se rĂ©jouir d'avoir une toxico chez lui qui essaie de mourir toutes les deux minutes ? C'est hard quand un effort surhumain, la brune ouvrit les yeux. Elle voyait complĂštement flou, et devinait que Matthew se trouvait en face d'elle. Elle devina Ă©galement son regard paniquĂ© et Ă  la fois fou de rage. C'est Ă  cet instant qu'elle comprit qu'elle venait de faire une connerie. Elle avait promit d'essayer... et c'est ce qu'elle faisait. Mais son caractĂšre ne lui permettait pas d'atteindre des attentes trop importantes, elle avait beaucoup trop de mal. Et elle savait presque qu'elle n'y arriverait jamais. Essayez, vous, de sortir d'une dĂ©pression. C'est pratiquement impossible, et encore moins quand on est seule. Elle, elle avait la chance d'avoir un soutient. Et pas n'importe quel soutient. Le sien. Celui de la personne qui, depuis quelques jours comptait le plus Ă  ses yeux. AprĂšs quelques minutes Ă  le regarder bĂȘtement, Stella referma les yeux, et tomba dans un profond jours passaient, plus longs les uns que les autres. Stella avait rĂ©ussit Ă  s'en sortir, et commençait Ă  aller mieux. Elle portait un bandage Ă  chaque poignet, et s'Ă©tait interdit de toucher Ă  n'importe quel objet coupant. Un soir, elle faillit cĂ©der Ă  la tentation, mais son moral durcissait et elle arrivait Ă  combattre sa volontĂ© de mourir. Elle avait de plus en plus de repĂšres, et arrivait presque Ă  aimer la vie. Je dis bien presque, car on ne guĂ©rit pas en une semaine. MalgrĂ© sa bonne humeur qui commençait Ă  revenir, elle gardait un sale dĂ©goĂ»t de la vie. Elle se nourrissait mieux. Peu, mais elle le faisait. Et c'Ă©tait un sacrĂ© effort de sa part, alors pas de commentaire. Chaque soir, elle jouait un morceau de guitare Ă  Matthew. Et chaque soir, elle priait pour qu'il vienne la rejoindre dans le lit, ce qu'il ne faisait jamais. Malheureusement. Le jeune blond avait prit des prĂ©cautions, et avait cachĂ© son rasoir. La brune n'avait donc aucun moyen de se couper lorsqu'elle se lavait. Tous les matins et tous les soirs elle changeait ses bandages Ă  l'air du blond. A force, ses plaies commençaient Ă  cicatriser. Cela faisait maintenant pile une semaine. Une semaine que Stella vivait chez Matthew et n'avait avalĂ© aucune drogue. Et qu'elle Ă©tait enfermĂ©e. GĂ©niale, pour une claustrophobe. Les premiers jours, elle n'avait rien fait savoir. Mais aujourd'hui, elle n'allait vraiment pas bien. Et si ça continuait comme ça, elle ferait une brune s'Ă©tait levĂ©e du pied gauche, ce jour lĂ . MĂȘme pas un bonjour, qu'elle s'allongea directement sur le canapĂ©, essayant de se calmer. Matthew Ă©tait debout dans la cuisine, et ne comprenait sans doute rien de son saut d'humeur. Il ne devait pas ĂȘtre au courant de la claustrophobie de la jeune femme. Celle-ci ne tarderait pas Ă  craquer et Ă  pousser un cri de fureur. Il fallait qu'elle prenne l'air, qu'elle sorte. Elle avait l'impression que les murs de l'appartement se refermaient doucement sur elle, et qu'elle ne tarderait pas Ă  se faire aplatir comme une crĂȘpe. C'en Ă©tait Stella se leva du canapĂ©, Ă©nervĂ©e. Elle portait un long tee-shirt qui lui servait de pyjama, et un boxer lĂ©gĂšrement trop grand. Elle se prĂ©cipitĂ© vers la porte d'entrĂ©e, et la referma en claquant, sans rien dire. Elle se prĂ©cipita dans les escaliers, manquant de tomber Ă  plusieurs reprises. Une fois dehors, elle respira un grand coup. Enfin. Enfin, elle voyait quelque chose d'autre d'une tĂ©lĂ© ou une pomme. L'odeur qui se dĂ©gageait du pot d'Ă©chappement des voitures lui avait manquĂ©e, ainsi que les piĂ©tons en fureur, les feux, les stops. La brune inspira un bon coup, essayant de se calmer. Elle avait l'air complĂštement tarĂ©, en pyjama au bout milieu de New-York. Mais elle s'en foutait lĂ©gĂšrement, en fait. La tension commençait Ă  redescendre, et son humeur commençait Ă  redevenir bonne. Elle ne voulait pas pourrir la journĂ©e de Matthew. VoilĂ  qu'aprĂšs de nombreuses "crises" de "dĂ©pression" elle faisait une crise de claustrophobie. Était-elle invivable ? En tous cas, le jour oĂč quelqu'un vivrait avec elle, ce serait une personne extrĂȘmement patiente et courageuse. Comme Matthew, qui l'avait hĂ©bergĂ©e durant une semaine entiĂšre sans ronchonner Ă  son vieux caractĂšre de cochon. Qu'est-ce qu'il pouvait ĂȘtre adorable, lui, Ă©dition par Stella J. Smith le Ven 12 FĂ©v - 1904, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Ven 12 FĂ©v - 1837 Les jours passaient, plus longs les uns que les autres. Souvent dans un silence qui durait des heures. Pas qu'ils n'avaient pas envie de parler, mais comme si ils n'avaient pas besoin de dĂ©blatĂ©rer des romans pour se comprendre. Matt aurait pu passer des annĂ©es sans parler, rien qu'en vivant avec elle il nageait dans le bonheur le plus complet. Enfin, pas tellement complet, peut ĂȘtre, vu qu'elle Ă©tait encore en dĂ©pression, mais les progrĂšs Ă©taient quand mĂȘme flagrants. Elle mangeait plus, retrouvait sa bonne humeur, redevenant la Stella "d'avant", petit Ă  petit, Ă©tapes aprĂšs Ă©tapes. Une sorte de routine s'Ă©tait installĂ©e, un emploi du temps pas prĂ©vu. Lever, petit dĂ©jeuner, Stella regardant la tĂ©lĂ© pendant que Matt bossait Ă  cĂŽtĂ©, lavage-habillage-et-tout-ce-qui-va-avec, repas, tĂ©lĂ©, le blond contemplant la brune, aprĂšs midi d'ennui, repas, morceau de guitare par Stella, tout le monde au lit bonne nuit les enfants. Rien de trĂšs palpitant, en fait. Vraiment aurait mieux fait de se taire. Qui a dit "trop d'ennui tue l'ennui" ? Ce matin lĂ , Stella s'Ă©tait levĂ©e Ă©nervĂ©e, avait mangĂ© Ă©nervĂ©e, s'Ă©tait habillĂ©e, puis installĂ©e sur le canapĂ©, toujours Ă©nervĂ©e. Et le pauvre Matty n'y comprenait rien, se contentant de ranger la cuisine et de la laisser ruminer. SĂ©rieux, Ă  quoi ca sert d'aller emmerder quelqu'un d'Ă©nervĂ©, sinon Ă  se faire remballer ?Il l'entendit se lever, puis la porte claqua. Quelques secondes passĂšrent avant qu'il ne rĂ©agisse. Stella est partie, lĂ , rĂ©veille toi Blondie !Le blond en question laissa tomber la fourchette qu'il tenait dans la main dans l'Ă©vier, puis se prĂ©cipita Ă  la suite de Stella sans mĂȘme prendre la peine de refermer la en bas, le bruit effarant de la ville s'insinua dans son cerveau. C'est dingue comment rester enfermĂ© dans un appartement pendant des jours fait oublier les choses habituelles. Parce que, par exemple, ce bruit, tout le monde l'entend. Mais il fait tellement partie du quotidien que personne n'y prĂȘte attention. Alors que la, il avait l'impression que sa tĂȘte allait exploser. Il regarda autour de lui, Ă©vitant les passants qui le bousculaient en maugrĂ©ant des insultes. Sympa, les gens, il l'aperçut. SĂ©rieusement, c'Ă©tait son cerveau qui disjonctait, ou elle Ă©tait mĂȘme belle en pyjama, et complĂštement Ă©bouriffĂ©e ? Il ferma les yeux, puis les rouvrit. Non, aucun court-circuit dans son cerveau, pourtant. s'avanca dans son dos, ayant une chance sur deux de lui faire peur, et lui attrapa la main gauche. Elle se Tu vas repartir, hein ?Le genre de phrases que disent les enfants de maternelle quand leur maman les amĂšne Ă  la crĂšche. Minable, vraiment minable. Enfin, en mĂȘme temps, elle n'allait pas repartir comme ça, en pyjama, quoi qu'elle en serait capable, mais l'idĂ©e, malgrĂ© qu'elle soit assez comique, n'effleura mĂȘme pas l'esprit du blond. Peut ĂȘtre parce qu'il Ă©tait blond, justement. Enfin bref, le fait est qu'il Ă©tait persuadĂ© qu'elle allait s'en Avant que tu partes, mmh...Parle, crĂ©tin, parle !- Tu sais, l'autre jour, quand tu m'as demandĂ© pourquoi je faisais tout ça pour toi. Il y a une autre raison que mes parents. Plus importante le regardait avec l'air de dire "mais accouche mon gars, on va pas y passer la nuit !" Et lui avait l'impression d'ĂȘtre le pire crĂ©tin du monde, vous savez, celui dans les sĂ©ries, qui va dĂ©clarer sa flamme Ă  la pompom girl -pas suicidaire, elle-, se fait remballer, mais retourne la voir tous les dix jours, comme si elle allait subitement trouver qu'il Ă©tait canon, alors qu'en fait c'est un geek boutonneux Ă  lunettes. Moi je dis, vive les clichĂ©s de la au blond, paralysĂ© des neurones, sur le point de dĂ©clarer sa flamme, mais incapable d'ouvrir la bouche pour dire quelque chose d'intelligent, autre que "non, rien, oublie". RĂ©agis, bouge avant qu'elle s'en aille !Il avança d'un pas, et avant d'ĂȘtre complĂštement paralysĂ© du bout des cheveux jusqu'au bout des ongles des orteils, pressa ses lĂšvres contre celles gelĂ©es de la brune, posant une main sur sa taille. Woaw, depuis combien de temps il avait attendu ca... Puis, ils devaient avoir l'air fins, Ă  s'embrasser sur un trottoir. Et Stella en pyjama ! Oh, et puis, il s'en fichait, ce qu'il faisait Ă  ce moment prĂ©cis Ă©tait bien plus intĂ©ressant !Il s'Ă©carta lĂ©gĂšrement d'elle, le visage neutre, hĂ©sitant entre un grand sourire qu'elle ne prendrait pas au sĂ©rieux et un visage grave. Ouais, le visage neutre Ă©tait bien plus Je pense que c'est clair. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Ven 12 FĂ©v - 2009 Son regard Ă©tait vide d'Ă©motion, et les voitures dĂ©filaient devant elle. Les gens marchaient plus pressĂ©s les uns que les autres. Une cigarette Ă  moitiĂ© finie et encore allumĂ©e trĂŽnait sur le trottoir, attirant son attention. Elle se demandait si elle arriverait Ă  tenir, sans Matthew. Elle se demandait s’il ne lui manquerait pas Ă  en mourir, si elle rentrait chez elle. Seule, dans sa grande maison au bord de la plage. Elle avait du mal Ă  imaginer la solitude qui l'attendait si elle partait de chez le blond. Elle ressentait, au plus profond d'elle, le besoin de le garder Ă  ses cĂŽtĂ©s, pour toujours. Stella ne savait pas vraiment ce qu'elle ressentait pour Matthew. Elle ne savait plus, elle Ă©tait perdue. La premiĂšre fois qu'elle l'avait vu, c'eut Ă©tĂ© comme un coup de foudre, le genre de chose qu'on ne peut empĂȘcher d'arriver. Le genre de sentiment qu'on ne peut nier. Puis... Matthias Ă  refait surface, et elle ne pouvait le nĂ©gliger. Elle ne pouvait confirmer qu'elle n'Ă©tait plus amoureuse de lui, ce qui la poussa Ă  retomber dans ses bras, oubliant pratiquement Matthew. Et cet homme ignoble eut le culot de lui briser le cƓur une seconde fois. Ce... non, rien. Et puis le blond a rĂ©apparut, et ce fut comme une Ă©vidence pour la brune. Elle Ă©tait persuadĂ©e d'ĂȘtre tombĂ© amoureuse de lui, comme elle ne l'avait jamais Ă©tĂ©. A chaque fois qu'elle croisait son regard bleutĂ©, son petit cƓur battait la chamade. A chaque fois qu'il lui adressait un sourire, des frissons parcouraient sa peau, faisant dresser ses poils. A chaque fois qu'il lui parlait, elle voulait qu'il continu des heures et des heures, qu'elle puisse se nourrir de sa voix angĂ©lique. Et Ă  chaque fois qu'elle sentait son odeur, elle voulait le garder prĂšs d'elle Ă  jamais, pour se dĂ©lecter de son parfum enivrant. Il lui faisait tourner la tĂȘte, il la rendait complĂštement folle... de aprĂšs s'ĂȘtre fait brisĂ© le cƓur par Matthias, Stella hĂ©sitait. Elle avait peur. Quelque chose la retenait, lui disant de rester prudente. Elle avait dĂ©jĂ  tant souffert. Le genre de blessure irrĂ©parable, incurable. MalgrĂ© tout ce qu'il lui avait fait endurer, elle avait aimĂ© cet homme. Elle avait Ă©tĂ© amoureuse de lui, complĂštement. Mais depuis qu'elle s'Ă©tait rapprochĂ©e de Matthew rien d'autre ne comptait Ă  ses yeux. Il la hantait nuit et jour, sa voix, son odeur, son regard. Elle y pensait constamment, elle devenait obsĂ©dĂ©e, il la rendait adicte. La rendait dĂ©pendante de lui. C'Ă©tait incroyable, le contrĂŽle qu'il pouvait avoir sur elle. Mais s'en rendait-il seulement compte ? Comptait-elle pour lui aurait qu'il comptait pour elle ? Ou bien avait-il fait cela uniquement par pitiĂ©, par compassion. Par simple amitiĂ©. PitiĂ©, faites que quelque chose de froid frĂŽla le bras de la jeune femme et la fit sursauter. Elle se retourna, et tomba en face de Matthew. Il avait eut une chance sur deux de lui faire peur, et lui avait finalement bien fait peur. Quand on parle du loup...Il Ă©tait lĂ , posĂ© devant elle, un sourire suspect aux lĂšvres. La jeune femme sentait son parfum, s'en dĂ©lectant. Ses narines dilatĂ©es humaient la meilleure odeur qui puisse ĂȘtre sur terre. Alors qu'elle, elle Ă©tait en pyjama, grossiĂšrement coiffĂ©e et complĂštement nĂ©gligĂ©e. On voit la diffĂ©rence. Sauf que l'une Ă©tait en dĂ©pression et avait des bandages autour des poignets, et l'autre ne faisait que l'aider. On la pardonne, la Stella, n'est-ce pas... ? Ils Ă©taient beaux tous les deux. Et malgrĂ© l'absurditĂ© du "couple" qu'ils formaient en ce moment mĂȘme, personne ne faisaient attention Ă  eux deux. Tant mieux, mais de toute façon, Stella commençait Ă  comprendre que ce que pensent les gens n'est pas trĂšs important, dans la vie. Alors, Matthew lui posa cette fameuse question. Elle-mĂȘme ne savait pas quoi rĂ©pondre. Elle n'avait aucune envie de rentrer chez elle, et de se retrouver seule. Mais elle ne se voyait pas non plus rester dans ce petit appartement encore longtemps. Le choix Ă©tait dur, mais dans un cas elle Ă©tait avec Matthew et dans l'autre non. Mais bon, en mĂȘme temps, il lui fallait de l'espace. Le blond avait du comprendre que la jeunette Ă©tait claustrophobe, sinon bin il Ă©tait un peu attardĂ©. Enfin, je veux dire que d'aprĂšs la crise qu'elle venait de faire, ça n'Ă©tait plus trop difficile Ă  elle posa son doux regard dans celui de son compagnon. Que devait-elle dire ? Elle lui adressa un sourire radieux, pour Ă©viter qu'il ne lui en veuille pas trop pour sa rĂ©ponse. Je... je sais pas. Je sais pas si j'arriverai Ă  rester plus longtemps enfermĂ©e dans un appartement. C'est... difficile, pour moi. DĂ©solĂ©e. »Elle n'avait pas voulu le contrarier, en disant cela. Mais c'Ă©tait vrai. Pas qu'elle ait quelque chose contre son appartement, loin de lĂ . Elle le trouvait mĂȘme plutĂŽt charmant, mais le fait est qu'elle ne supportait pas de rester enfermĂ©e, et encore moins dans un appartement. Cela n'avait rien contre Matthew. Si elle ne traĂźnait pas cette "maladie", elle aurait carrĂ©ment emmĂ©nagĂ© chez lui sans mĂȘme lui demande la permission ! Mais bon, la vie a voulu que la sƓur de la brune meure, et qu'elle devienne claustrophobe. La vie est belle, disiez-vous ? Ouais, et mon cul c'est du poulet ? La vie n'est qu'une chienne qui choisit des pions minables pour jouer dans son jeu. Sans vous demander votre avis. Fuck. Sauf que, Stella avait rĂ©ussi Ă  trouver, malgrĂ© tout, quelque chose de positif Ă  la vie. Au fond, elle savait de quoi il s'agissait, mais refusait presque de l'admettre. Allez chercher pourquoi...N'attendant mĂȘme pas la rĂ©ponse de la jeune femme, Matthew s'empressa de continuer de parler. Cette rĂ©action Ă©tonna Stella. Alors il savait qu'elle partirait. Il la connaissait bien. Mais, la rĂ©ponse du blond intriguait profondĂ©ment la brune. Que voulait-il dire par lĂ  ? Il avait un cadeau Ă  lui donner, quelque chose d'important Ă  lui dire ? Les yeux de Stella se mirent Ă  briller de milles feux, attendant impatiemment ce qu'il lui dirait. Son regard Ă©tait tendre, presque se regardaient, tous les deux. Il finit par lui dire autre chose. Quelque chose qui fit accĂ©lĂ©rer le battement de son cƓur. Elle attendait, encore et encore. Les secondes qui s'Ă©coulaient semblaient plus longues que des siĂšcles entiers. Elle ne pouvait plus attendre, elle voulait savoir. Il avait l'air sĂ©rieux quand il avait dit ça... puis, plus bruit, juste le visage pĂ©trifiĂ© de Matthew contemplant celui de Stella. Elle faillit le quitter des yeux, mais quelque chose l'en empĂȘcha. Le blond posa ses douces lĂšvres contre celles de la jeune femme, Ă©veillant tous ses sens. Depuis le temps... depuis le temps qu'elle rĂȘvait de cet instant ! Tout s'arrĂȘta aussi vite que ça s'Ă©tait commencĂ©. Stella Ă©tait Ă©bahie, ne savait quoi dire. Son cƓur allait dĂ©chirer sa poitrine, ses lĂšvres la brĂ»laient, et son regard Ă©tait si brillant qu'on aurait pu penser qu'elle avait mit des paillettes dans ses yeux. Elle n'y croyait pas. Une petite fille passa par lĂ , la main dans celle de sa maman. Elle laissa s’échapper un "Beurkk ! Wouhh les amoureux !". Cette phrase fit sourire Stella, qui regardait la petite fille avec un regard tendre. Elle Ă©tait adorable, avec ses couettes et ses joues roses. Puis, lentement, elle se raccrocha Ă  lui, se serrant contre son torse musclĂ©. Elle prit les bras de l'homme et les plaça autour de sa taille. Dis-le...» InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Lun 15 FĂ©v - 2030 Son coeur allait lĂącher d'un moment Ă  l'autre. Ou exploser dans sa poitrine, ou en sortir et partir se perdre dans l'espace. Au moins, il allait faire une crise cardiaque si son coeur continuait Ă  s'emballer comme ça. Il inspira profondĂ©ment, puis scruta le visage de Stella en se mordant la lĂšvre infĂ©rieure. Le fait qu'elle ne rĂ©agisse pas Ă©tant censĂ© vouloir dire quelque chose d'encourageant, ou au contraire qu'elle se retenait pour ne pas lui coller une baffe ? Il mĂ©ditait sur cette question qui lui parraissait ĂȘtre la plus importante qu'il s'Ă©tait posĂ© depuis plusieurs mois, quand une petite fille lĂącha un commentaire en passant. C'est vrai, quand on est petit, on pense toujours que nous, on se mariera pas, on aura pas d'enfants, que les filles ou les garçons c'est nul... Et Ă  peine plus de dix ans aprĂšs, on se retrouve sur le trottoir devant son appart Ă  essayer de retenir une brune dĂ©pressive en pyjama. Pas mal. Le blond se retint de tirer la langue Ă  la petite fille dans un geste infiniment puĂ©ril, mais il se contenta de contempler Stella qui regardait la petite blonde en souriant. HonnĂȘtement, il aurait du mal Ă  s'y faire si elle l'envoyait valser maintenant. C'est vrai quoi, tant qu'Ă  lui mettre un rĂąteau, autant ne donner aucun espoir... Alors que lĂ , il n'arrivait pas Ă  temps de rĂ©flĂ©chir Ă  tout ça, des secondes interminables, qui s'Ă©coulaient avec une lenteur insoutenable, et toujours aucune rĂ©action de la soudain, les mains de Stella emprisonnĂšrent ses poignets, plaçant ses bras de part et d'autre de sa taille, puis elle s'accrocha Ă  lui. Il enfouit son visage dans ses cheveux bruns, humant leur odeur de citron. Odeur Ă  laquelle il s'Ă©tait habituĂ© Ă  force de la sentir dans sa salle de bain. C'Ă©tait pas un parfum trĂšs courant pour un shampoing, citron. En mĂȘme temps, Stella Ă©tait pas spĂ©cialement du genre Ă  porter un shampooing genre... Ă  la fraise, comme toutes les filles. Ca allait faire sacrĂ©ment bizarre quand elle s'en irait, d'ailleurs. Juste son odeur Ă  lui, bizarre oui. Mais bon, c'est pas comme si il avait le choix. Le nez dans ses cheveux, il inspira profondĂ©ment. Lui dire ? Il voulait bien, mais fallait encore y arriver, hmm. Il avait jamais Ă©tĂ© fortiche en dĂ©clarations d'amour. Puis c'est pas comme si il en avait fait des tonnes, en fait. D'une voix presque inaudible, priant pour qu'elle l'entende, il Je t'aime Stella. Et pas seulement en amitiĂ©. MĂȘme si tu me fais avoir des crises cardiaques un peu trop rĂ©guliĂšrement. Et mĂȘme si c'est une dĂ©claration vraiment nulle, c'est pas si grave, parce que c'est ce que je ressens. releva son menton de la main gauche, cherchant un signe quelconque de rĂ©action sur le visage de Stella. Elle faisait rĂ©ellement exprĂšs de le laisser en suspens, non ? InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Lun 15 FĂ©v - 2156 Son odeur, son sourire, son regard. Cet homme Ă©tait dĂ©cidĂ©ment intĂ©gralement parfait. Rien que de croiser ses yeux bleutĂ©s peut suffire Ă  une crise cardiaque. A chaque fois qu'elle croisait son regard, son cƓur battait la chamade, menaçant de de sortir de sa poitrine. Poser son regard sur ses lĂšvres parfaitement dessinĂ©es lui donnait envie d'y dĂ©poser les siennes, et de ne plus jamais s'en dĂ©coller. Son odeur virile et Ă  la fois si dĂ©licate lui donnait des frissons, et lui faisait tourner la tĂȘte. Rien que de l'apercevoir au coin d'une rue suffisait Ă  la rendre dingue, Ă  lui donner des frissons, Ă  la faire sourire et Ă  la rendre heureuse. Rien que ça...Sans parler de son tempĂ©rament parfait. Cet homme Ă©tait-il rĂ©ellement humain, ou bien Ă©tait-ce un ange venu du ciel pour veiller sur la jeune Smith ? Question Ă  mĂ©diter. Comment quelqu'un pouvait-il ĂȘtre si patient, gentil, adorable, drĂŽle, magnifique, parfait, sans aucun dĂ©faut Ă  cotĂ© ? Ça paraĂźt tout bonnement impossible. J'sais pas, c'est pas logique. Tout le monde de normalement construit Ă  des qualitĂ©s et des dĂ©fauts, mais pas que des qualitĂ©s ! Personne ne peut ĂȘtre parfait, bon sang ! Et contre toute preuve scientifique rationnelle ou j'sais pas quoi, Matthew Baker prouvait le contraire. il le prouvait tous les jours, au quotidien. Il le prouvait en se levant le matin, en Ă©tant magnifique mĂȘme au rĂ©veil. Quand il parlait Ă  la brune, quand il lui souriait. Tout les jours, toutes les heures, toutes les minutes, toutes les secondes, toutes les micro-secondes. Tout le temps, il Ă©tait tout le temps regardait tendrement l'homme qui se trouvait en face d'elle. Ses yeux brillants scrutaient le moindre petit dĂ©tail du visage de l'homme. Elle avait dĂ©jĂ  oubliĂ© la petite fille qui venait de les interpeller, trop captivĂ©e par ce qui Ă©tait en train de se passer. Oui, quelque chose d'absolument merveilleux se passait. Quelque chose qu'aucun de deux jeunes gens ne pouvait exprimer. C'Ă©tait bien trop fort, trop... magique. Ils Ă©taient lĂ , se contemplant mutuellement, en silence. Stella avait presque la respiration bloquĂ©e, trop Ă©mue pour dire quoi que ce soit. Cela faisait maintenant pratiquement 5 mois qu'elle attendait ce moment. Il est vrai qu'il y a eu Matthias entre temps, mais ce qu'elle ressentait pour le brun n'avait rien Ă  voir avec ce qu'elle ressentait pour Matthew. C'Ă©tait tout simplement cƓur de la petite brune s'emballait, et ses lĂšvres tremblaient. Si elle continuait sur cette voie, elle finirait par pleurer. De joie, d'Ă©motion, surtout. Elle Ă©tait Ă  la fois si heureuse, et si confuse. Elle ne savait plus quoi penser, si ce qu'elle Ă©tait en train de vivre Ă©tait rĂ©ellement ce qu'elle voulait ou non. Elle aimait Matthew, oh que oui. Mais, elle avait comme une apprĂ©hension Ă  l'idĂ©e de se relancer dans une relation. Elle avait si peur de souffrir, encore. Son petit cƓur avait dĂ©jĂ  tant souffert. D'un autre cotĂ©, elle avait une confiance aveugle en Matthew, et avait du mal Ă  l'imaginer en train de la faire souffrir. DĂ©jĂ  qu'il ne faisait pas de mal Ă  une mouche, pourquoi la blesserait-il elle. Ça paraissait tellement impossible...La petite brunette serait l'homme dans ses bras, comme s'il s'agissait d'un adieu. Comme si c'Ă©tait la derniĂšre fois qu'elle le voyait. Elle savait trĂšs bien que si elle s'en allait, elle ne le reverrait plus trĂšs souvent. Cette pensĂ©e l'attrista profondĂ©ment, et elle se mordit la lĂšvre infĂ©rieure pour s'Ă©viter de verser une larme. Elle ne voulait pas le quitter... L'idĂ©e de retourner chez elle seule, sans lui, la dĂ©moralisait. Ne plus le voir le matin au rĂ©veil, ne plus sentir son odeur contre elle, ne plus voir son sourire au quotidien. Une routine s'Ă©tait installĂ©e dans la tĂȘte de la jeune femme, et cela semblait impossible d'y remĂ©dier. Elle avait besoin de lui. Soudain, le beau blond glissa quelques douces paroles Ă  l'oreille de la jeune femme. A ces mots, Stella ne put retenir ses larmes, et en laissa couler une le long de sa joue. Jamais elle n'aurait pĂ»t rĂȘver mieux. Cet instant dĂ©passait tout. Ses yeux Ă©taient plein d'Ă©tincelles, un sourire se hissait doucement sur ses lĂšvres. Les paroles que venait de prononcer le blond Ă©taient si simples, et si intenses. Comme si, en disant ces mots, il avait envoyĂ© une flĂšche qui Ă©tait arrivĂ©e droit dans le cƓur de la bonheur Ă  l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’hĂ©ro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pĂ©t’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, pĂ©yotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaĂŻlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuĂšte et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intĂ©grale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le dĂ©hanchĂ© d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beautĂ© de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du PĂšre-NoĂ«l, la fortune de Bill Gates, les transes du DalaĂŻ-Lama, les NDE, la rĂ©surrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostĂ©rone de Schwarzy, le collagĂšne dans les lĂšvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la dĂ©fonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la libertĂ©. Mieux que la vie...Ne pouvant se retenir plus longtemps, Stella se mit sur la pointe des pieds et dĂ©posa dĂ©licatement ses lĂšvres contre celles chaudes de Matthew. Elle y mit toute l'intensitĂ© qu'elle pouvait, tout l'amour, et tout le dĂ©sir qu'elle ressentait. Une fois le baiser rompu, la brunette ne sĂ»t quoi dire. Elle voulait pouvoir dire quelque Ă  la hauteur de ce que venait de lui dĂ©clarer son amoureux, mais rien ne pourrait l'Ă©galer. Je t'aime... et ce, depuis le premier jour oĂč je t'ai vu. Tu te souviens, ce fameux 17 Septembre 2009, au cafĂ©, quand t'as renversĂ© ton plateau sur moi ? Bah ce jour, je l'ai jamais oubliĂ©, et je l'oublierai jamais, crois-moi. Depuis le dĂ©but, tu me rends folle de toi. Ton odeur, ton sourire, ton visage. Quand je te vois, mon cƓur menace de sortir de ma poitrine, je pourrais reconnaĂźtre ton odeur Ă  des kilomĂštres, et ton rire, aussi. Je suis folle amoureuse de toi, Matthew Baker. Et je rĂȘve de ce moment depuis bien longtemps. Je... je t'aime. »La brune avait versĂ© quelques larmes en prononçant ces mots. Jamais elle n'avait dit quelque chose d'aussi... sincĂšre, Ă  quelqu'un. MĂȘme pas Ă  Matthias. Encore heureux. Elle le regarda tendrement, avant de le prendre dans ses bras, et de le serrer contre elle, le plus fort qu'elle le pouvait. Elle Ă©tait consciente qu'il Ă©tait peut-ĂȘtre en train d'Ă©touffer, mais elle en avait soudain, une idĂ©e lui traversa l'esprit. Matt... Et si... et si tu venais habiter avec moi ? »Oui, en effet, trĂšs bonne idĂ©e Stella. Mais en y rĂ©flĂ©chissant, en effet, c'Ă©tait une trĂšs bonne idĂ©e ! Elle ne serait plus seule, elle serait constamment Ă  ses cotĂ©s, et cette grande maison sinistre au bord de la plage serait bien occupĂ©e. Jt'en prie... Je suis seule dans une immeennnse maison au bord de la plage. Et... j'ai pas envie de... enfin comment dire. J'veux rester avec toi, quoi. J'me suis habituĂ©e Ă  ton odeur qui est maintenant pour moi plus que familiĂšre. J'ten supplie Matt, dis-oui. C'est une bonne idĂ©e... tu serais plus enfermĂ© dans cet appart ! Et puis... tu m'aimes ? » InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Jeu 18 FĂ©v - 1524 On aurait dit que Stella allait se mettre Ă  pleurer d'un moment Ă  l'autre. Ses yeux commençaient Ă  devenir immenses, Ă  mesure que ceux de Matt se remplissaient d'Ă©tincelles. AprĂšs avoir enfin annoncĂ© ce qui le "tracassait" depuis plusieurs mois, le blond s'aperçut qu'une larme coulait sur la joue de la jeune femme. Il l'essuya du Hey... Pourquoi tu pleures ?Avant qu'il put obtenir une quelconque rĂ©ponse, Stella se dressa sur la pointe des pieds et posa ses lĂšvres contre celles de Matthew. Le coeur de ce dernier manqua quelques battements, puis s'emballa Ă  une vitesse folle. Il Ă©tait dĂ©finitivement perdu, envolĂ© dans l'espace aprĂšs que la brune lui ait annoncĂ© ses sentiments. Il avait dĂ©ja eu quelques dĂ©clarations, mais aucune n'arrivait Ă  la cheville de celle lĂ , de prĂšs ou de loin. C'Ă©tait le plus beau discours qu'on lui ait jamais adressĂ©. Il avait juste envie de le publier dans un livre, de l'annoncer au dĂ©but du JT, de le crier au monde entier. Il la serra contre lui, du plus fort qu'il put, quitte Ă  la casser. Quoique, non, jamais il ne voudrait ĂȘtre la cause de sa douleur. elle lui proposa de venir habiter avec elle. Il s'Ă©carta de ses bras de maniĂšre Ă  lui faire façe, tout en lui attrapant la main. Elle Ă©tait vraiment en train de jouer avec ses nerfs, lĂ , avec sa moue de chien battu. Il allait craquer, haussa un Ca ressemble Ă©normĂ©ment Ă  du chantage affectif, ça... Elle allait vraiment se mettre Ă  pleurer ?- Seulement si Candice peut venir aussi !Il eut Ă  peine de temps d'annoncer ça que Stella lui sauta au cou. Il secoua la tĂȘte, un sourire aux lĂšvres, puis posa son front contre celui de la Quant Ă  savoir si je t'aime... Un jour la mer aura emportĂ© tout le sable. Les ocĂ©ans s’assĂšcheront, et le soleil s’éteindra. Mais quand ce jour viendra, je t’aimerai encore. Mon amour sera sourire amusĂ© naquit sur ses Je l'ai piquĂ©e dans un film. Mais l'intention y est...Il ferma les yeux et l'embrassa Ă  nouveau.[HJ Je sais, j'ai mis du temps, mais je me suis appliquĂ©e. a Puis, jpense mĂȘme que tu peux rĂ©pondre, et on arrĂȘte la ?] InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Jeu 18 FĂ©v - 1919 Stella Ă©tait toujours en face de Matthew, les yeux brillants. Jamais de sa vie elle n'avait encore vĂ©cut un moment si magique. Rien, absolument rien ne pouvait Ă©galer ce qu'elle ressentait en ce moment. ExtĂ©rieurement, ses yeux brillaient, laissaient couler de petites larmes chaudes, et devenaient rouges. Si on ne se fiait qu'aux apparences, on aurait pĂ»t croire que Matt Ă©tait en train de larguer la jeune brune. Or, l'Ă©motion l'envahissait tellement qu'elle ne pouvait retenir ses larmes. Et puis, tout le monde savait bien que Stella Smith pleurait tout le temps. Il lui suffisait d'une quelconque Ă©motion qui ne correspondait pas Ă  son programme, et hop, quelques larmes coulaient. Disons qu'elle Ă©tait trĂšs... Ă©motive. Un peu trop, mĂȘme. Alors imaginez un peu la sensation qu'elle Ă©prouvait, lorsque l'homme qu'elle aimait lui a avouĂ© les sentiments qu'il avait pour elle. Comme une bombe qui avait explosĂ© en elle. IntĂ©rieurement, elle sautait partout, criait, dansait, Ă©tait bien plus qu'heureuse. A des moments, elle avait mĂȘme l'impression qu'il s'agissait d'un rĂȘve, et manquait de se pincer pour se rĂ©veiller. Alors que c'Ă©tait bien la rĂ©alitĂ©, et que tout ce qu'il se passait, tout ce qu'elle Ă©tait en train de vivre en ce moment resterait Ă  jamais gravĂ© dans sa mĂ©moire. Elle avait du mal Ă  encaisser tout cela, elle Ă©tait tellement heureuse, contente. faisait une semaine entiĂšre jour pour jour et heure pour heure que Stella et Matthew vivaient ensemble, H/24. Vu comme ça, cela paraissait abominablement long et insupportable. Les deux jeunes gens auraient Ă©tĂ© obligĂ©s de s'arracher les yeux, Ă  un moment ou Ă  un autre. Et pourtant... pas une seule fois il ne leur est arrivĂ© durant cette semaine de se disputer. MalgrĂ© son fort caractĂšre, jamais Stella n'avait osĂ© lever le ton sur le blond. Et rĂ©ciproquement, mĂȘme si cela parait Ă©vident que Matthew ne ferait pas de mal Ă  une mouche. Il Ă©tait tellement adorable, gentil, attentionnĂ©. L'homme parfait. Et puis, Ă  la base, cette semaine Ă©tait censĂ©e ĂȘtre une semaine de "dĂ©sintoxication" pour la jeune brune, qui Ă©tait droguĂ©e jusqu'aux os. Elle ingurgitait n'importe quoi, du moment que c'Ă©tait mauvais pour elle. Elle rĂ©ussit finalement Ă  s'en sortir, le cƓur lĂ©ger. Et, en plus de lui offrir cette libertĂ© des drogues, Matthew lui offrait Ă©galement... l'amour. Oui, on peut dire ça comme ça. En plus de partir de cet appartement complĂštement sobre, Stella en sortait amoureuse. Incroyable, non ? Peut-ĂȘtre bien, mais c'Ă©tait surtout quelques minutes Ă  se contempler l'un et l'autre, Matthew remarqua la larme qui venait de couler le long de la joue de la jolie brune. Il l'essuya tendrement, lui demandant la raison de ses pleures. A vrai dire, elle n'avait aucune idĂ©e de pourquoi elle pleurait. Elle pleurait tout le temps, et pour n'importe quoi. Le pire, c'est qu'elle en Ă©tait consciente. Beaucoup trop fragile. MalgrĂ© le fait qu'elle ait essayĂ© de combattre sa fragilitĂ©, elle n'arrivait pas Ă  contrĂŽler ses Ă©motions. Terrible. Heu, ne fais pas attention, je pleure tout le temps pour un rien. Mais en ayant bien rĂ©flĂ©chi, lĂ  j'pleure pas pour rien. Je suis trop... Ă©mue. »AprĂšs ces quelques tendres mots, la jeune femme plaça ses bras autour du blond et le serra contre elle. Le plus fort qu'elle le pouvait, oui. Sauf que sa force Ă©tait tellement rĂ©duite que Matthew ne devait rien sentir Ă  tout l'amour qu'elle mettait dans son cĂąlin. Bref, lĂ  n'est pas la enfoui dans les vĂȘtements de son amoureux, et voulait que cela dure Ă©ternellement. Elle rigola Ă  la rĂ©action qu'il eut quand elle lui demanda de venir habiter chez elle. Du chantage affectif ? Hum peut-ĂȘtre... mais en tous cas, ça marchait toujours. Elle lui colla un bisou sur la joue droite, avant de lui rĂ©pondre d'une voix purement innocente. Moi ? Faire du chantage affectif ? Mais pas du tout. »Un sourire tira ses lĂšvres, avant qu'elle ne replonge dans les bras de l'homme. Elle se sentait tellement, Ă  cet instant prĂ©cis. Elle attendait sa rĂ©ponse, les doigts croisĂ©s. De toute façon, pourquoi refuserait-il ?DĂšs que Matthew eut prononcĂ© ses deux premiers mots, la brune comprit que c'Ă©tait oui. Elle se dĂ©gagea de l'Ă©treinte du blond, avant de lui sauter au cou. Tout compte fait, lĂ , elle Ă©tait hyper heureuse. Son cƓur s'emballait Ă  toute vitesse, ne pouvant s'arrĂȘter. Un soupire de soulagement se fit entendre, puis elle reprit la parole, un peu calmĂ©e. GĂ©nial !! Et pour Candice, aucun problĂšme. Oh Matthew je suis tellement heureuse, si tu savais. C'est comme si j'Ă©tais en train de dĂ©marrer une nouvelle vie. Je t'aime. »Elle avait appuyĂ© sur les deux derniers mots, le regard attendrit. Aucun mot ne pouvait illustrer ce qu'elle ressentait en ce moment mĂȘme. Tout le rendait heureuse. Et quand elle entendait les paroles que prononça son dĂ©sormais petit-ami, elle manqua de tomber par terre. Elle n'avait jamais rien entendu de si beau Ă  son intention. Quelqu'un qui l'aimait vĂ©ritablement. Elle ne sĂ»t quoi dire, et se contenta de lui adresser un magnifique sourire. Lentement, elle vint dĂ©poser une Ă©niĂšme fois ses lĂšvres contres celles chaudes de l'homme. Ce fĂ»t un baiser fougueux et plein d'Ă©motion, comme elle n'en avait jamais fait. Une fois la magie rompue, Stella se figea. Et merde Matthew, j'suis en pyjama. Bordel, qu’est-ce que je peux ĂȘtre bĂȘte ! »Un sourire gĂȘna s'afficha sur ses lĂšvres, puis elle prit le blond par la main l'entraĂźnant rapidement dans l'appartement. DĂ©sormais, sa vie allait changer et plus rien ne serait comme avant.[OMG, c’est tellement nul =OO] Contenu sponsorisĂ© Empire State of Mind Sujet Re I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE I'll never hurt you. [Stella & Candice & Matty [TERMINE Page 2 sur 2Aller Ă  la page 1, 2Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille

dela capacitĂ© d’accueil des jeunes enfants. Dans ce cadre, des progrĂšs importants ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s, au regard de la lĂ©gislation et de la rĂ©glementation pour simpliïŹ er et harmoniser les normes relatives Ă  la crĂ©ation et Ă  la gestion de ces structures regroupĂ©es, depuis le dĂ©cret n° 2000-762 du 1er aoĂ»t 2000,

PubliĂ© le 15/08/2022 Ă  0509 MĂȘme un automobiliste pressĂ©, Ă  plus forte raison un piĂ©ton, n’a pas pu passer, Ă  l’entrĂ©e du village de Montesquieu, devant le PĂŽle enfance sans remarquer et admirer les nouveaux panneaux dĂ©coratifs qui ornent la clĂŽture de la crĂšche "La BoĂźte Ă  doudous". Une fresque se dĂ©composant en sept scĂšnesRĂ©cemment installĂ©s sous les compĂ©tences de la CommunautĂ© de Communes du Val d’Albret, ils offrent Ă  ceux qui ont gardĂ© leur Ăąme d’enfant, et aux tout petits bien entendu, de quoi rĂȘver devant des scĂšnes gaies Ă©clatantes de couleurs. Cette "fresque" se dĂ©compose en sept scĂšnes. À cĂŽtĂ© de la porte, elle aussi peinte de feuillages variĂ©s, le premier panneau indique le nom de la structure et donne un indice du "jeu" qui consiste, pour un observateur attentif, Ă  retrouver les quatre petits personnages hibou, lapin, ourson, singe dans la sĂ©rie qui va suivre. Le deuxiĂšme panneau rappelle les partenaires du PĂŽle enfance, Caf, Udaf, Msa, et Albret CommunautĂ©, sous le dessin tout simple d’un chariot au sommet d’une colline verdoyante qui invite au voyage de dĂ©couverte de la suite. Successivement, nous ferons connaissance avec le singe, prĂȘt Ă  jouer Ă  la balle, avec le lapin cachĂ© derriĂšre une maison-champignon ou une maison-carotte, avec le hibou et sa grosse maison-pomme rouge
 De nombreux objets du quotidien "scolaire" des enfants sont reprĂ©sentĂ©s, livres et tableau noir, crayons, papier et apporter une touche de gaietĂ© aux petits et Ă  leurs parents Ă  l’entrĂ©e de Montesquieu, ce dĂ©cor est une jolie rĂ©ussite.
Cesdifférentes phases s'accompagnent d'un dialogue permanent qui doit permettre aux parents de découvrir les différents aspects de la crÚche. L'enfant accompagne souvent les parents lors de ces premiÚres démarches. I.2. L'adaptation : L'adaptation est un temps de présence de l'enfant et de(s) parent(s) dans la structure avant l'entrée en
PubliĂ© le 26 juin 2003 Ă  00h00 Depuis septembre 2002, les enfants de la crĂšche Ă©voluent dans des prĂ©fabriquĂ©s en attendant de pouvoir intĂ©grer les locaux flambant neufs de la Maison de la petite enfance... Ă  PĂąques 2004. L'Espace jeune a accueilli, mardi soir, une rĂ©union d'information consacrĂ©e Ă  la Maison de la petite enfance. L'occasion pour certains parents de faire connaĂźtre de vive voix leur mĂ©contentement. Depuis septembre 2002, la vingtaine d'enfants qui frĂ©quente la crĂšche a pris ses quartiers dans des prĂ©fabriquĂ©s. Aussi, lorsque Marie-France Benvegnen, adjointe aux affaires sociales, a annoncĂ© un report de l'ouverture de la Maison de la petite enfance Ă  PĂąques 2004, les parents n'ont que modĂ©rĂ©ment apprĂ©ciĂ©. Pour ces derniers, qui comptaient sur une ouverture programmĂ©e en janvier, ce nouveau retard 1 est la goutte d'eau qui fait dĂ©border le vase. DĂ©mĂ©nagement prĂ©maturĂ© ? Les travaux ne commenceront finalement que dans la deuxiĂšme quinzaine de juillet en raison d'un dĂ©passement de budget qui sera absorbĂ© par la commune», souligne Marie-France Benvegnen. Il est vrai que nous avons eu un souci concernant les marchĂ©s publics. Nous avons Ă©galement rencontrĂ© des difficultĂ©s avec le cabinet d'architecte qui a sa part de responsabilité». Un retard que les parents peuvent comprendre. Mais ce que certains ne digĂšrent pas, c'est la raison d'un transfert si tĂŽt. Ils auraient au moins pu attendre que le dossier soit finalisé», souligne Myriam Nabat. Nous ne voulions pas que cela se fasse dans la prĂ©cipitation», prĂ©cise l'Ă©lu. Une rĂ©ponse qui ne satisfait pas, loin s'en faut. La sĂ©curitĂ© en question Mais ce qui dĂ©sole ces mĂšres, c'est l'absence de confort et de sĂ©curitĂ© de cette structure provisoire». Certaines l'ont dĂ©jĂ  signalĂ© au maire par Ă©crit. Dans une de ses rĂ©ponses, Gilbert Le Bris explique ce choix par le caractĂšre immĂ©diatement opĂ©rationnel» des prĂ©fabriquĂ©s, constatant Ă©galement la conformitĂ© de ceux-ci aux normes de sĂ©curitĂ©...». Des parents ne sont pas du mĂȘme avis. Mon enfant de deux ans ouvre les portes», explique l'une d'elle. Et les griefs sont lĂ©gions un plan de toilette au lieu de quatre auparavant, une cour insupportable faute d'ombre, l'absence de store... On en a rĂ©clamé». Des mĂšres disent Ă©galement avoir demandĂ© des arbres, mais ils leur auraient Ă©tĂ© refusĂ©s. Ce ne sont que des enfants, ils ne peuvent s'accommoder d'un semi-confort», soulignent-elles. InterrogĂ©e Ă  ce sujet, Marie-France Benvegnen a rĂ©affirmĂ© que les structures Ă©taient aux normes et qu'elle voyait, compte tenu de la chaleur exceptionnelle, pour l'instant l'installation d'un prĂ©au». Personnel remarquable Mais s'il est une chose que ces parents tiennent Ă  mettre en avant, c'est le travail du personnel qui compense des conditions d'accueil dĂ©plorables». Des mĂšres en colĂšre mais rĂ©signĂ©es car, lorsque la crĂšche sera achevĂ©e, leurs enfants auront rejoint les bancs de l'Ă©cole. En attendant, ce sont eux qui subissent les dĂ©sagrĂ©ments». 1 L'ouverture dee la crĂšche Ă©tait initialement prĂ©vue au printemps de cette annĂ©e Le TĂ©lĂ©gramme du 31 mai 2002.
Commentannoncer un décÚs à son enfant ? Psychologie Abonné. Publié le 23.11.2011. Développement de l'enfant. Enfant agressé : le self-défense, une fausse bonne idée. précédent suivant. CrÚche et école. Derniers articles A la une Les plus lus Publié le 17.08.2022. CrÚche et école. Vous recherchez une activité extrascolaire sur Bruxelles ? Voilà un outil bien pratique
Le rituel des transmissions reste un incontournable de la vie Ă  la crĂšche. Ce rituel comme tous les autres mĂ©rite d’ĂȘtre questionnĂ© tant il fait partie de notre quotidien. Petite exploration de ce temps de communication quotidien entre parents et professionnels
Photo by Mike Fox On ne nous dit pas Tout »A l’accueil du matin, les professionnels attendent les transmissions de la part des familles. Les parents se prĂȘtent Ă  ce temps d’échange comprenant son importance pour un accueil personnalisĂ© de leur enfant. Cependant cette pratique fait rentrer la crĂšche dans l’intimitĂ© de la famille. En effet, les informations transmises disent quelque chose des choix Ă©ducatifs, des modes de vie, des Ă©tats Ă©motionnels
 Parfois les parents rĂ©sistent et choisissent de transmettre seulement les Ă©lĂ©ments qui leur semblent indispensables omettant certains faits ou Ă©vĂšnements par peur aussi d’ĂȘtre jugĂ©s. Par exemple, quand l’enfant dort dans le lit de ses parents
 Il arrive alors que les Ă©quipes soient dĂ©rangĂ©es par cette forme de rĂ©tention d’information le droit de tout savoir est alors revendiquĂ© pour une meilleure adaptation aux besoins de l’enfant. En Ă©quipe, on s’étonne et on reproche aux parents de cacher des choses. Mais quelle est la nature de cette demande ? Pour quelles raisons les parents devraient livrer plus que ce qui est strictement nĂ©cessaire ? N’oublions pas non plus que ces Ă©changes se font devant d’autres familles et que par consĂ©quent la confidentialitĂ© est difficilement applicable. A contrario, des parents qui en disent trop, notamment sur leurs difficultĂ©s personnelles, mettent mal Ă  l’aise les professionnels qui ne savent que faire de ces dire sur Tout Ă  Tous ?A l’accueil du soir, c’est la restitution de la journĂ©e de l’enfant. Plusieurs parents font la queue et attendent leur tour. Les familles sont toutes diffĂ©rentes avec des besoins spĂ©cifiques mais le contenu est bien souvent identique pour tous. Parfois les transmissions sont d’une redoutable prĂ©cision sur les soins, le sommeil, le repas, le transit et ce quelque soit l’ñge de l’enfant. Pourtant, les parents sont-ils tous intĂ©ressĂ©s par une description aussi dĂ©taillĂ©e ? Ne serait-il pas plus pertinent de dĂ©velopper l’item jeux libres » qui peut laisser sur leur faim bon nombre d’entre eux ? Il est aussi possible d’envisager que certaines familles n’aient pas besoin de transmissions chaque soir. Cette idĂ©e peut dĂ©ranger les Ă©quipes qui y voient un manque de respect. En effet, ne pas prendre les transmissions » peut ĂȘtre vĂ©cu comme un dĂ©faut de reconnaissance du travail menĂ© tout au long de la journĂ©e avec les enfants. Au contraire de cette idĂ©e reçue, le parent qui ne veut pas prendre les transmissions ne manisfeste-il pas en dĂ©finitive une grande confiance dans les compĂ©tences des professionnels ? Enfin, une rĂ©flexion est Ă  mener en Ă©quipe autour des transmissions nĂ©gatives oĂč sont Ă©voquĂ©es les comportements inadaptĂ©s des enfants. Pourquoi dire que Paul a mordu, a poussĂ© ses camarades, n’a pas Ă©coutĂ© les consignes ? Ne serait-il pas prĂ©fĂ©rable de valoriser les actions positives afin que les retrouvailles du soir restent un moment de plaisir pour petits et by Markus SpiskeMes suggestionsAccueillir et restituer de maniĂšre individualisĂ©e les transmissions en demandant Ă  chaque parent ses besoins les besoins peuvent Ă©voluer au cours de l’annĂ©e.Échanger avec les familles en associant l’enfant et en Ă©vitant de parler de lui au dessus de sa tĂȘte et Ă  la troisiĂšme personne. C’est de lui dont on parle !Accepter que certains parents ne soient pas disponibles tous les soirs en proposant par exemple un point hebdomadaire pour parler de leur enfant exceptĂ© fait de santĂ© important.S’interroger en Ă©quipe sur le contenu des transmissions. Qu’est-il vraiment intĂ©ressant de transmettre aux parents en fonction de l’ñge de l’enfant ? par exemple restitution d’anecdotes personnalisĂ©es.Valoriser tous les enfants sur leurs dĂ©couvertes, leurs progrĂšs afin d’éviter le piĂšge de la stigmatisation par des transmissions nĂ©gatives en Ă©quipe une maniĂšre bienveillante d’accompagner les parents qui livrent des Ă©lĂ©ments trop personnels aux Ă©quipes Ă  travailler avec son manager ou la psychologue.Anne Boulhoud
Leprix de la pension est valable jusqu’au 31 dĂ©cembre de chaque annĂ©e. Au 1 er janvier, une rĂ©vision des frais de pension sera effectuĂ©e. En cours d’annĂ©e, les parents sont tenus d’annoncer Ă  la direction toute augmentation ou diminution notable du revenu, ainsi que tout changement entraĂźnant une modification du prix de la pension.
ï»żLes professionnels de la petite enfance insistent de plus en plus sur l’importance d’accueillir l’enfant ET ses parents. Mais en dehors des rĂ©unions et des cafĂ©s des parents », il n’est pas toujours Ă©vident pour eux de s’impliquer dans la vie de la structure. Florence Bouillet, ancienne directrice de crĂšche, raconte comment elle mettait en place avec son Ă©quipe des petits ateliers pour intĂ©grer les parents dans le quotidien de la crĂšche, parfois sans mĂȘme qu’ils aient besoin d’ĂȘtre prĂ©sents. Des astuces simples mais qui peuvent changer la newsletter hebdomadaire On sait que l’accueil de l’enfant va de pair avec l’accueil de ses parents pour entretenir un bon relationnel avec les familles. Pour moi, cela commence par ĂȘtre transparent avec eux il faut leur donner un maximum d’informations pour qu’ils puissent se reprĂ©senter la vie dans la structure. Quand je travaillais en crĂšche, on envoyait chaque semaine un e-mail aux familles qui rĂ©capitulait les Ă©vĂ©nements passĂ©s et Ă  venir en termes d’activitĂ©s, d’animations, de sorties, le menu de la semaine, et oĂč l’on donnait mĂȘme des informations sur le fonctionnement de la crĂšche par exemple, une commande de jouets en cours et les mouvements des professionnels qui ne serait pas lĂ  cette semaine et pourquoi avec leur accord bien sĂ»r ! En les tenant informĂ©s de tout, les parents sont rassurĂ©s, confiants et on remarque qu’ils ont beaucoup moins “d’exigeances” avec nous petits jeux Ă  faire en quelques minutesAujourd’hui on demande aux parents de s’impliquer, de participer Ă  la vie de la crĂšche — c’est fondamental pour mieux accompagner leurs enfants. Mais ce n’est pas toujours simple pour eux de s’organiser avec leur temps de travail ou d’activitĂ©. C’est aussi Ă  nous de nous adapter Ă  eux, ce qui demande une vraie rĂ©flexion. Nous avons donc choisi, en Ă©quipe, d’observer le rythme des familles pour leur faire des propositions qui leurs correspondent. Dans ma crĂšche nous avions constatĂ© que l’heure d’affluence » avait lieu vers 8H30. On a alors imaginĂ© d’organiser une activitĂ© courte Ă  cette heure-ci, comme faire une pĂąte brisĂ©e. AnimĂ©e par une maman d’un enfant accueilli, nous avons co-construit cette animation. Les parents qui souhaitaient participer s’inscrivaient avec leur enfant. Il n’avaient ainsi qu’à venir un plus tĂŽt Ă  la crĂšche ou de partir un peu plus tard au travail. Ils pouvaient ainsi passer un moment privilĂ©giĂ© avec leur enfant Ă  la crĂšche sans devoir poser leur demi-journĂ©e ! Une autre fois, nous avions proposĂ© aux parents de chanter une chanson avec leur enfant Ă  l’accueil lors du temps de transmission, pendant qu’on les filmait. Toutes les vidĂ©os ont Ă©tĂ© rassemblĂ©es dans un DVD, c’était trĂšs tout au long de l’annĂ©e le thĂšme du mois » rassemblait le trio enfant-parent-professionnel autour d’un projet original. AnimĂ© Ă  tour de rĂŽle par chaque professionnelle en fonction de ses goĂ»ts il s’agissait de mettre en place un fil conducteur permettant d’animer la vie de la crĂšche. Par exemple, sur le thĂšme de la cuisine, une semaine Ă©tait consacrĂ©e aux fruits et lĂ©gumes jaunes, l’autre sur les herbes aromatiques. L’équipe dĂ©clinait ensuite diffĂ©rentes animations atelier du goĂ»t, peinture, lecture etcParmi les activitĂ©s organisĂ©es, il y avait toujours un jeu pour les parents. Dans ce thĂšme, deux jus bio atypique jus d’herbe et jus de choucroute! Ă©taient disposĂ©s sans Ă©tiquette Ă  l’entrĂ©e de la crĂšche. Il s’agissait de les goĂ»ter pour deviner ce que c’était, puis d’inscrire sa proposition dans un tableau affichĂ© Ă  l’entrĂ©e de la crĂšche la rĂ©ponse Ă©tant donnĂ©e par mail Ă  la fin de la semaine. Les parents pouvaient jouer dĂšs qu’ils passaient Ă  la crĂšche et ça ne leur prenait que quelques ateliers prĂ©textes aux photosNous avions Ă©galement rĂ©flĂ©chi sur comment pouvoir les impliquer dans la vie de la crĂšche mĂȘme quand ils ne sont pas prĂ©sents physiquement, c’est important pour eux comme pour les enfants. Lors d’une rentrĂ©e, on avait choisi de mettre en place le thĂšme Monsieur et Madame ». Outre les livres de cette collection et autres ateliers imaginĂ©s, on avait installĂ© un panneau dans l’entrĂ©e. Les familles Ă©taient invitĂ©es Ă  y afficher des photos de leur enfant avec ceux qui l’accompagnent Ă  la crĂšche eux-mĂȘmes bien sĂ»r, mais pourquoi pas sa baby-sitter, ses grands-parents
 Cela nous a permis de mieux identifier qui Ă©tait qui, mais aussi de crĂ©er du lien entre les familles. Par exemple deux papas qui travaillaient dans la mĂȘme entreprise ont dĂ©couvert grĂące Ă  ce panneau photos que leurs enfants allaient dans la mĂȘme crĂšche, dans deux sections diffĂ©rentes. On a aussi jouĂ© sur le thĂšme du travail, parce qu’on en parle souvent aux enfants Ton papa travaille », ta maman est au travail
 » Mais ce n’est pas trĂšs concret pour les tout-petits. On a donc proposĂ© aux parents de nous envoyer des photos d’eux pendant leur travail, un simple tĂ©lĂ©phone portable et le tour Ă©tait jouĂ© ! Nous nous chargions ensuite de les imprimer et de les afficher Ă  la les parents, toute une philosophieBien sĂ»r on ne peut pas se limiter Ă  proposer quelques activitĂ©s et rester fermĂ© sur le reste, ce ne serait pas cohĂ©rent. A la crĂšche, on proposait aussi une pĂ©riode d’adaptation ouverte pendant les deux premiers jours, les parents pouvaient venir comme ils le souhaitaient puis progressivement n’ĂȘtre prĂ©sents qu’à certains moments. Mais on gardait en tĂȘte qu’on n’accueille pas de la mĂȘme maniĂšre une maman angoissĂ©e et une maman qui n’est pas, il faut rester souple. De mĂȘme nous n’imposions pas de sĂ©paration, c’est le parent qui faisait le choix de nous confier son enfant lorsqu’il serait prĂȘt. Ca fait toute la diffĂ©rence !. Et nous Ă©tions Ă  l’écoute de toutes les demandes des parents, mĂȘme si nous ne pouvions pas toujours y rĂ©pondre favorablement. Il Ă©tait trĂšs important pour la maman d’un des enfants accueillis de lui appliquer certaines crĂšmes de marques spĂ©cifiques Ă  des moments prĂ©cis de la journĂ©e. Certes, on ne peut pas faire du cas par cas pour tout en collectivitĂ©, mais sur ce point on s’est demandĂ© si fondamentalement ça allait ĂȘtre contraignant pour nous. Il a semblĂ© que ce n’était pas le cas donc on a acceptĂ©. En rĂ©alitĂ©, cette maman souhaitait surtout ĂȘtre sĂ»r que l’on lui consacre un moment d’attention Ă  son enfant et elle a Ă©tĂ© trĂšs sereine par la co-Ă©ducation, dont on parle souvent en crĂšche, c’est aussi ça respecter ses valeurs Ă©ducatives pour son enfant Ă  travers des petites choses du quotidien. Ce n’est pas trĂšs compliquĂ©, ça ne prend pas de temps, ça demande seulement une bonne organisation. »Par Marie Desplumes, maplaceencrĂšche en partenariat avec les pros de la petite enfance.
Troisans aprĂšs l’ouverture de la micro-crĂšche de CrĂ©cy-sur-Serre, la communautĂ© de communes des Pays de la Serre finalise son projet de Marle. Pour 770 000 €, un Ă©quipement neuf qui rĂ©pond Ă  une rĂ©elle demande des parents du territoire est sorti de terre. La micro-crĂšche ne devrait pas rester vide trĂšs longtemps. dim. 21/08 VISITE FLASH LES JARDINS DE
 VISITE FLASH LES JARDINS DE LA CATHÉDRALE ET DE L’OFFICIALITÉ Visites et balades - En attendant les futurs jardins archĂ©ologiques de la cathĂ©drale, dĂ©couvrez ce lieu enfermĂ© au cƓur d'un Ă©crin
En attendant les futurs jardins archĂ©ologiques de la cathĂ©drale, dĂ©couvrez ce lieu enfermĂ© au cƓur d'un Ă©crin patrimonial cathĂ©drale, enceintes romaine et mĂ©diĂ©vale d'ordinaire invisible Ă  vos regards. Votre guide sera Lorena Salion. En attendant les futurs jardins archĂ©ologiques de la cathĂ©drale, dĂ©couvrez ce lieu enfermĂ© au cƓur d'un Ă©crin patrimonial cathĂ©drale, enceintes romaine et mĂ©diĂ©vale d'ordinaire invisible Ă  vos regards. Votre guide sera Lorena Salion. Lieu 43 Grande Rue, Le Pilier Rouge, 72000 LE MANS Horaires de 11h30 Ă  12h15 Contact 02 43 28 17 22 dim. 21/08 VISITE FLASH L’ENCEINTE
 VISITE FLASH L’ENCEINTE ROMAINE CACHÉE ET SECRÈTE Visites et balades - De la porte Saint-Martin aux jardins de la cathĂ©drale, en passant par la tour du Gros Pilier, dĂ©couvrez des parties
De la porte Saint-Martin aux jardins de la cathĂ©drale, en passant par la tour du Gros Pilier, dĂ©couvrez des parties cachĂ©es et mĂ©connues de l’enceinte romaine et leurs secrets que nous vous rĂ©vĂ©lerons. Votre guide sera Sibyl Davy. De la porte Saint-Martin aux jardins de la cathĂ©drale, en passant par la tour du Gros Pilier, dĂ©couvrez des parties cachĂ©es et mĂ©connues de l’enceinte romaine et leurs secrets que nous vous rĂ©vĂ©lerons. Votre guide sera Sibyl Davy. Lieu 43 Grande Rue, LE PILIER ROUGE, 72000 LE MANS Horaires de 15h30 Ă  16h15 Tarifs Tarif indiv. adulte de 2,00 Ă  3,00 €. Tarifs rĂ©duit -plein RĂ©duit enfants de 6 Ă  12 ans, Ă©tudiants demandeurs d'emploi, personnes handicapĂ©es, adhĂ©rents partenaire exonĂ©rĂ© enfants moins de 6 ans , journalistes et guides confĂ©renciers sur justificatif. Contact 02 43 28 17 22 dim. 21/08 LA CATHÉDRALE SENS DESSUS
 LA CATHÉDRALE SENS DESSUS DESSOUS Visites et balades - Un simple miroir Ă  hauteur de nez et tout votre univers visuel est bousculĂ©. Des perspectives nouvelles, des profondeurs
Un simple miroir Ă  hauteur de nez et tout votre univers visuel est bousculĂ©. Des perspectives nouvelles, des profondeurs inattendues bouleversent votre Ă©quilibre. Es dĂ©tails ignorĂ©s, des couleurs oubliĂ©es se rĂ©vĂšlent. Laissez-vous guider dans une autre rĂ©alitĂ©. Votre guide sera Laurena Salion. Un simple miroir Ă  hauteur de nez et tout votre univers visuel est bousculĂ©. Des perspectives nouvelles, des profondeurs inattendues bouleversent votre Ă©quilibre. Es dĂ©tails ignorĂ©s, des couleurs oubliĂ©es se rĂ©vĂšlent. Laissez-vous guider dans une autre rĂ©alitĂ©. Votre guide sera Laurena Salion. Lieu 43 Grande Rue, Le Pilier rouge , 72000 LE MANS Horaires de 16h30 Ă  18h00 Tarifs Tarif indiv. adulte de 4,00 Ă  6,00 €. Tarifs rĂ©duit -plein RĂ©duit enfants de 6 Ă  12 ans, Ă©tudiants demandeurs d'emploi, personnes handicapĂ©es, adhĂ©rents partenaire exonĂ©rĂ© enfants moins de 6 ans , journalistes et guides confĂ©renciers sur justificatif. Contact 02 43 28 17 22 dim. 21/08 VISITE FLASH L’ENCEINTE
 VISITE FLASH L’ENCEINTE ROMAINE, DU VISIBLE À L’INVISIBLE Visites et balades - De l’escalier des Pans-de-Gorrons Ă  la petite poterne, en longeant les courtines et les tours aux riches dĂ©cors,
De l’escalier des Pans-de-Gorrons Ă  la petite poterne, en longeant les courtines et les tours aux riches dĂ©cors, dĂ©couvrez l’histoire de l’enceinte romaine, candidate au patrimoine mondial de l’UNESCO. Votre guide sera Sibyl Davy du service tourisme et patrimoine. De l’escalier des Pans-de-Gorrons Ă  la petite poterne, en longeant les courtines et les tours aux riches dĂ©cors, dĂ©couvrez l’histoire de l’enceinte romaine, candidate au patrimoine mondial de l’UNESCO. Votre guide sera Sibyl Davy du service tourisme et patrimoine. Lieu 43 Grande Rue, le pilier rouge , 72000 LE MANS Horaires de 16h45 Ă  17h30 Tarifs Tarif indiv. adulte de 2,00 Ă  3,00 €. Tarifs rĂ©duit -plein RĂ©duit enfants de 6 Ă  12 ans, Ă©tudiants demandeurs d'emploi, personnes handicapĂ©es, adhĂ©rents partenaire exonĂ©rĂ© enfants moins de 6 ans , journalistes et guides confĂ©renciers sur justificatif. Contact 02 43 28 17 22 lun. 22/08 LA CITÉ PLANTAGENÊT LA CITÉ PLANTAGENÊT Visites et balades - Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de
Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de maisons en pan-de-bois et d’hĂŽtels particuliers de la Renaissance. Son enceinte romaine et ses enceintes mĂ©diĂ©vales la sertissent comme un Ă©crin. Votre guide sera Sibyl Davy du service tourisme et patrimoine. Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de maisons en pan-de-bois et d’hĂŽtels particuliers de la Renaissance. Son enceinte romaine et ses enceintes mĂ©diĂ©vales la sertissent comme un Ă©crin. Votre guide sera Sibyl Davy du service tourisme et patrimoine. Lieu 43 Grande Rue, Pilier rouge , 72000 LE MANS Horaires de 11h00 Ă  13h00 Tarifs Tarif indiv. adulte de 4,00 Ă  6,00 €. Tarifs rĂ©duit -plein RĂ©duit enfants de 6 Ă  12 ans, Ă©tudiants demandeurs d'emploi, personnes handicapĂ©es, adhĂ©rents partenaire exonĂ©rĂ© enfants moins de 6 ans , journalistes et guides confĂ©renciers sur justificatif. Contact 02 43 28 17 22 lun. 22/08 VISITE FLASH THERMES ROMAINS
 VISITE FLASH THERMES ROMAINS Visites et balades - DĂ©couvrez les thermes dont les parties techniques sont conservĂ©es dans une crypte archĂ©ologique. L'art de vivre au temps
DĂ©couvrez les thermes dont les parties techniques sont conservĂ©es dans une crypte archĂ©ologique. L'art de vivre au temps des Romains et le parcours du baigneur vous seront dĂ©voilĂ©s. Votre guide sera Sabine DELAUNAY. Inscription obligatoire Ă  la maison du Pilier-Rouge, pas de billetterie sur place. DĂ©couvrez les thermes dont les parties techniques sont conservĂ©es dans une crypte archĂ©ologique. L'art de vivre au temps des Romains et le parcours du baigneur vous seront dĂ©voilĂ©s. Votre guide sera Sabine DELAUNAY. Inscription obligatoire Ă  la maison du Pilier-Rouge, pas de billetterie sur place. Lieu 43 Grande Rue, Pilier rouge , 72000 LE MANS Horaires de 15h30 Ă  16h15 Contact 02 43 28 17 22 lun. 22/08 BATEAU SUR L’EAU, LA RIVIÈRE,
 BATEAU SUR L’EAU, LA RIVIÈRE, LA RIVIÈRE
 Visites et balades - DĂ©couvrez au ras de le l'eau, ambiance rafraĂźchissante assurĂ©e, le patrimoine naturel et historique des bords de
 DĂ©couvrez au ras de le l'eau, ambiance rafraĂźchissante assurĂ©e, le patrimoine naturel et historique des bords de Sarthe, du port du Mans Ă  la confluence Sarthe-Huisne. Portez un regard nouveau sur l'histoire de la ville. En Partenariat avec CÉNOVIA. Votre guide sera Sibyl Davy. DĂ©couvrez au ras de le l'eau, ambiance rafraĂźchissante assurĂ©e, le patrimoine naturel et historique des bords de Sarthe, du port du Mans Ă  la confluence Sarthe-Huisne. Portez un regard nouveau sur l'histoire de la ville. En Partenariat avec CÉNOVIA. Votre guide sera Sibyl Davy. Lieu Quai Amiral Lalande, Port du Mans, 72000 LE MANS Horaires de 16h00 Ă  17h30 Tarifs Tarif indiv. adulte de 8,00 Ă  10,00 €. Tarifs rĂ©duit -plein RĂ©duit enfants de 6 Ă  12 ans, Ă©tudiants demandeurs d'emploi, personnes handicapĂ©es, adhĂ©rents partenaire exonĂ©rĂ© enfants moins de 6 ans , journalistes et guides confĂ©renciers sur justificatif. Contact 02 43 28 17 22 lun. 22/08 VISITE FLASH CITÉ PLANTAGENÊT VISITE FLASH CITÉ PLANTAGENÊT Visites et balades - Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de
Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de maisons en pan-de-bois et d’hĂŽtels particuliers de la Renaissance. Son enceinte romaine et ses enceintes mĂ©diĂ©vales la sertissent comme un Ă©crin. Votre guide sera Sabine Delaunay du service tourisme et patrimoine. Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de maisons en pan-de-bois et d’hĂŽtels particuliers de la Renaissance. Son enceinte romaine et ses enceintes mĂ©diĂ©vales la sertissent comme un Ă©crin. Votre guide sera Sabine Delaunay du service tourisme et patrimoine. Lieu 43 Grande Rue, Pilier Rouge, 72000 LE MANS Horaires de 16h45 Ă  17h30 Tarifs Tarif indiv. adulte de 2,00 Ă  3,00 €. Tarifs rĂ©duit -plein RĂ©duit enfants de 6 Ă  12 ans, Ă©tudiants demandeurs d'emploi, personnes handicapĂ©es, adhĂ©rents partenaire exonĂ©rĂ© enfants moins de 6 ans , journalistes et guides confĂ©renciers sur justificatif. Contact 02 43 28 17 22 lun. 22/08 VISITE FLASH CITÉ PLANTAGENÊT VISITE FLASH CITÉ PLANTAGENÊT Visites et balades - Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de
Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de maisons en pan-de-bois et d’hĂŽtels particuliers de la Renaissance. Son enceinte romaine et ses enceintes mĂ©diĂ©vales la sertissent comme un Ă©crin. Votre guide sera Sabine Delaunay du service tourisme et patrimoine Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de maisons en pan-de-bois et d’hĂŽtels particuliers de la Renaissance. Son enceinte romaine et ses enceintes mĂ©diĂ©vales la sertissent comme un Ă©crin. Votre guide sera Sabine Delaunay du service tourisme et patrimoine Lieu 43 Grande Rue, Pilier rouge, 72000 LE MANS Horaires de 16h45 Ă  17h30 Tarifs Tarif indiv. adulte de 2,00 Ă  3,00 €. Tarifs rĂ©duit -plein RĂ©duit enfants de 6 Ă  12 ans, Ă©tudiants demandeurs d'emploi, personnes handicapĂ©es, adhĂ©rents partenaire exonĂ©rĂ© enfants moins de 6 ans , journalistes et guides confĂ©renciers sur justificatif. Contact 02 43 28 17 22 mar. 23/08 LE MANS ROMAIN LE MANS ROMAIN Visites et balades - L’histoire romaine du Mans? de la crypte archĂ©ologique des thermes Ă  l’enceinte romaine, en passant par la partie
L’histoire romaine du Mans? de la crypte archĂ©ologique des thermes Ă  l’enceinte romaine, en passant par la partie gallo-romaine du carrĂ© PlantagenĂȘt. En partenariat avec le musĂ©e Jean-Claude Boulard - CarrĂ© PlantagenĂȘt. Votre guide sera Martine Longin. L’histoire romaine du Mans? de la crypte archĂ©ologique des thermes Ă  l’enceinte romaine, en passant par la partie gallo-romaine du carrĂ© PlantagenĂȘt. En partenariat avec le musĂ©e Jean-Claude Boulard - CarrĂ© PlantagenĂȘt. Votre guide sera Martine Longin. Lieu 43 Grande Rue, Pilier Rouge, 72000 LE MANS Horaires de 11h00 Ă  12h45 Tarifs Tarif indiv. adulte de 4,00 Ă  6,00 €. Tarifs rĂ©duit -plein RĂ©duit enfants de 6 Ă  12 ans, Ă©tudiants demandeurs d'emploi, personnes handicapĂ©es, adhĂ©rents partenaire exonĂ©rĂ© enfants moins de 6 ans , journalistes et guides confĂ©renciers sur justificatif. Contact 02 43 28 17 22 mar. 23/08 ATELIER FAMILLE - DIEU PAR
 ATELIER FAMILLE - DIEU PAR DIEUX Venez crĂ©er au musĂ©e de TessĂ© une nouvelle divinitĂ© reliĂ©e Ă  des symboles de l’Égypte ancienne ! À partir de cinq
Venez crĂ©er au musĂ©e de TessĂ© une nouvelle divinitĂ© reliĂ©e Ă  des symboles de l’Égypte ancienne ! À partir de cinq Ă©lĂ©ments tĂȘte, corps, chapeau, sceptres et couleurs, ils dĂ©calqueront les formes Ă  l’aide d’une table lumineuse pour y rajouter ensuite graphismes et couleurs. DĂšs 7 ans Sur inscription dans la limite des places disponibles Venez crĂ©er au musĂ©e de TessĂ© une nouvelle divinitĂ© reliĂ©e Ă  des symboles de l’Égypte ancienne ! À partir de cinq Ă©lĂ©ments tĂȘte, corps, chapeau, sceptres et couleurs, ils dĂ©calqueront les formes Ă  l’aide d’une table lumineuse pour y rajouter ensuite graphismes et couleurs. DĂšs 7 ans Sur inscription dans la limite des places disponibles mar. 23/08 VISITE FLASH CITÉ PLANTAGENÊT VISITE FLASH CITÉ PLANTAGENÊT Visites et balades - Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de
Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de maisons en pan-de-bois et d’hĂŽtels particuliers de la Renaissance. Son enceinte romaine et ses enceintes mĂ©diĂ©vales la sertissent comme un Ă©crin. Votre guide sera Martine Longin du service tourisme et patrimoine. Le cƓur historique du Mans dominĂ© par la cathĂ©drale Saint-Julien est un tissu de ruelles, rues et places bordĂ©es de maisons en pan-de-bois et d’hĂŽtels particuliers de la Renaissance. Son enceinte romaine et ses enceintes mĂ©diĂ©vales la sertissent comme un Ă©crin. Votre guide sera Martine Longin du service tourisme et patrimoine. Lieu 43 Grande Rue, Pilier Rouge, 72000 LE MANS Horaires de 15h30 Ă  16h15 Tarifs Tarif indiv. adulte de 2,00 Ă  3,00 €. Tarifs rĂ©duit -plein RĂ©duit enfants de 6 Ă  12 ans, Ă©tudiants demandeurs d'emploi, personnes handicapĂ©es, adhĂ©rents partenaire exonĂ©rĂ© enfants moins de 6 ans , journalistes et guides confĂ©renciers sur justificatif. Contact 02 43 28 17 22 mar. 23/08 VISITE OLFACTIVE LA VIE
 VISITE OLFACTIVE LA VIE RETROUVÉE DES THERMES Visites et balades - Venez redĂ©couvrir les thermes romains du Mans Ă  travers ses parfums et ses odeurs. Au prĂ©alable, une prĂ©sentation sera
Venez redĂ©couvrir les thermes romains du Mans Ă  travers ses parfums et ses odeurs. Au prĂ©alable, une prĂ©sentation sera faite au MusĂ©e CarrĂ© PlantagenĂȘt des objets en lien avec la toilette. Votre guide sera Sofia MAZELIE. Venez redĂ©couvrir les thermes romains du Mans Ă  travers ses parfums et ses odeurs. Au prĂ©alable, une prĂ©sentation sera faite au MusĂ©e CarrĂ© PlantagenĂȘt des objets en lien avec la toilette. Votre guide sera Sofia MAZELIE. Lieu 43 Grande Rue, Le Pilier Rouge, 72000 LE MANS Horaires de 16h30 Ă  18h15 Contact 02 43 28 17 22 mar. 23/08 VISITE FLASH CATHÉDRALE VISITE FLASH CATHÉDRALE Visites et balades - En 45 minutes, dĂ©couvrez l’essentiel de la cathĂ©drale Saint-Julien, la plus vaste de l’ouest de la France. L’édifice
En 45 minutes, dĂ©couvrez l’essentiel de la cathĂ©drale Saint-Julien, la plus vaste de l’ouest de la France. L’édifice dĂ©veloppe toute l’histoire de l’architecture religieuse mĂ©diĂ©vale et renferme aussi de nombreuses Ɠuvres d’art. Votre guide sera Martine Longin. En 45 minutes, dĂ©couvrez l’essentiel de la cathĂ©drale Saint-Julien, la plus vaste de l’ouest de la France. L’édifice dĂ©veloppe toute l’histoire de l’architecture religieuse mĂ©diĂ©vale et renferme aussi de nombreuses Ɠuvres d’art. Votre guide sera Martine Longin. Lieu 43 Grande Rue, Pilier Rouge , 72000 LE MANS Horaires de 16h45 Ă  17h30 Tarifs Tarif indiv. adulte de 2,00 Ă  3,00 €. Tarifs rĂ©duit -plein RĂ©duit enfants de 6 Ă  12 ans, Ă©tudiants demandeurs d'emploi, personnes handicapĂ©es, adhĂ©rents partenaire exonĂ©rĂ© enfants moins de 6 ans , journalistes et guides confĂ©renciers sur justificatif. Contact 02 43 28 17 22 mar. 23/08 AU PIED DU MUR », LA VISITE
 AU PIED DU MUR », LA VISITE GUIDÉE NOCTURNE Visites et balades - Monument unique en Europe, l’enceinte romaine du Mans fait l’objet depuis 2017 d’une Ă©tude approfondie menĂ©e par des
Monument unique en Europe, l’enceinte romaine du Mans fait l’objet depuis 2017 d’une Ă©tude approfondie menĂ©e par des archĂ©ologues et historiens. DivisĂ©e en cinq chapitres, cette exposition est la restitution de leurs travaux. Le musĂ©e Jean-Claude-Boulard – CarrĂ© PlantagenĂȘt propose un parcours de visite en nocturne permettant d’aborder les raisons de sa construction, sa datation, l’organisation du chantier, et les modes de vie aux IVe et Ve siĂšcles au Mans. Sur inscription dans la limite des places disponibles. Gratuit moins de 18 ans, Ă©tudiants, demandeurs d’emploi. Monument unique en Europe, l’enceinte romaine du Mans fait l’objet depuis 2017 d’une Ă©tude approfondie menĂ©e par des archĂ©ologues et historiens. DivisĂ©e en cinq chapitres, cette exposition est la restitution de leurs travaux. Le musĂ©e Jean-Claude-Boulard – CarrĂ© PlantagenĂȘt propose un parcours de visite en nocturne permettant d’aborder les raisons de sa construction, sa datation, l’organisation du chantier, et les modes de vie aux IVe et Ve siĂšcles au Mans. Sur inscription dans la limite des places disponibles. Gratuit moins de 18 ans, Ă©tudiants, demandeurs d’emploi. 9qEYZSy.
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