LaProchaine fois je viserai le coeur, un film de Cédric Anger avec Guillaume Canet, Jean-Yves Berteloot, Patrick Azam, Arnaud Henriet, Douglas Attal, Pierick Tournier, Alexandre Carriere
110 minutes dans la peau d’un tueur et de Guillaume Canet Franck est en apparence un gendarme modèle, discipliné et passionné par son travail. Mais l’homme est soumis à des pulsions meurtrières qu’il ne peut canaliser. Les cadavres s’accumulent, et c’est à lui-même qu’on va demander d’enquêter sur cette série de meurtres. Alors qu’il pensait tout maîtriser, son petit jeu macabre va progressivement se retourner contre lui… Décidément, l’année 2014 est celle des retranscriptions de grandes affaires judiciaires pour Guillaume Canet. Après avoir prêté ses traits à Maurice Agnelet pour L’homme qu’on aimait trop », écrit en partie par Cédric Anger, le revoilà dans un film sur l’affaire Alain Lamare mis en scène par le second. À la fin des années 70, ce gendarme bien sous tous rapports va s’avérer être un psychopathe incapable de résister à ses pulsions meurtrières. Le jour, il est un officier modèle, passionné et méticuleux, dont le travail lui vaut les louanges de ses supérieurs ; la nuit, il rôde sur des routes désertes afin de trouver ses victimes, souvent des jeunes filles qui excitent ses frustrations sexuelles. Si ces crimes avaient défrayé la chronique et apeuré la population de l’Oise, le dénouement de l’affaire avait été bien plus gardé sous silence, en raison, bien évidemment, de l’identité du coupable. Pour le cinéma, Alain Lamare est devenu Franck, et l’histoire concentrée sur un seul hiver, où la blancheur immaculée de la neige vient contraster avec le rouge vif d’un sang qui ne cessera de couler. Au milieu de ces paysages qui se vident de leur âme et de leur substance, parabole d’un protagoniste principal qui sombre dans la démence, la caméra de Cédric Anger nous plonge dans le quotidien de ce tueur. Pas question d’essayer d’analyser psychologiquement ses motivations, le métrage se contente de nous montrer les faits abruptement, et le serial killer de rester un mystère pour les spectateurs. Nous sommes ses yeux, nous sommes ses mains, jamais l’objectif ne s’éloigne de cet homme sur lequel il n’est porté aucun jugement. Et si être dans la peau de Guillaume Canet durant presque deux heures était certainement le fantasme de nombreuses femmes, il est fort à parier que l’expérience ne sera pas celle qu’elles imaginaient. Car cette reconstitution minutieuse est terrifiante, aussi bien visuellement qu’intellectuellement, le réalisateur s’amusant à nous pousser dans nos retranchements, les spectateurs passant alors de l’empathie à une haine profonde, de la certitude d’avoir déchiffré la personnalité d’un homme dépressif qui tue pour se punir à l’incertitude totale. À chaque excès de violence, la souffrance de Franck est terrible mais alors pourquoi ne peut-il pas s’en empêcher ? La question demeurera en suspens, car le but n’est pas ici d’essayer d’apporter des explications ou de montrer la traque d’un tueur en série, mais d’inviter le spectateur à se perdre dans les névroses d’un homme insaisissable. Ce choix scénaristique n’aurait pu aboutir sans la prestation impressionnante de Guillaume Canet, d’une froideur terriblement déconcertante. Toutefois, il manque un brin de subtilité pour que l’expérience soit radicale, la mise en scène un peu trop appuyée, voire kitsch, finissant par détourner notre attention sur ses défauts plus que sur les agissements du personnage. Le rythme nonchalant et les quelques redondances viennent alors alourdir le récit, d’autant plus lorsque l’imaginaire de l’auteur-réalisateur cherche à accentuer trop lourdement les traits de caractère de son antihéros. On préférera donc au final n’en retenir la performance de Guillaume Canet. Envoyer un message au rédacteur BANDE ANNONCE
Ilenregistre le plus facile il est en fait un jeune policier timide qui mène une vie normale, sans histoire de sa brigade. Modèle agent examine ses crimes, tuant leurs cartes de voyage pour sauver. pour voir le film La Prochaine fois je viserai le coeur streaming vf gratuit cliquez ici La Prochaine fois je viserai le coeur streaming vf
Avertissement Certaines scènes de ce film sont de nature à heurter un jeune public. Sortie le 12 novembre 2014 Drame, Policier 1h52 De Cédric Anger Avec Guillaume Canet, Ana Girardot, Jean-Yves Berteloot, Patrick Azam, Arnaud Henriet Synopsis Entre 1978 et 1979, les habitants de l'Oise se retrouvent plongés dans la terreur un maniaque sévit, prenant pour cibles des jeunes femmes. Au volant de sa voiture, il blesse et tue des auto-stoppeuses choisies au hasard. L'homme est partout et nulle part, échappant aux pièges des enquêteurs et aux barrages. Il en réchappe d'autant plus facilement qu'il est en réalité un jeune et timide gendarme qui mène une vie banale au sein de sa brigade... et qui est chargé d'enquêter sur ses propres crimes. Avertissement Certaines scènes de ce film sont de nature à heurter un jeune public. Sortie le 12 novembre 2014 Drame, Policier 1h52 De Cédric Anger Synopsis Entre 1978 et 1979, les habitants de l'Oise se retrouvent plongés dans la terreur un maniaque sévit, prenant pour cibles des jeunes femmes. Au volant de sa voiture, il blesse et tue des auto-stoppeuses choisies au hasard. L'homme est partout et nulle part, échappant aux pièges des enquêteurs et aux barrages. Il en réchappe d'autant plus facilement qu'il est en réalité un jeune et timide gendarme qui mène une vie banale au sein de sa brigade... et qui est chargé d'enquêter sur ses propres crimes. Ce film n'est plus à l'affiche. Vous pourriez également aimer... Découverte UGC Voir la bande annonce Séances Inscrivez-vous dès maintenant ! Je souhaite recevoir l'actualité cinéma et les meilleures offres UGC. Renseignez votre cinéma favori pour tout savoir sur les films à l’affiche. Votre adresse email sera utilisée pour vous transmettre les emails Bons plans UGC » et à des fins statistiques, et ce uniquement par les services internes d'UGC CINÉ CITÉ et les sociétés en lien avec UGC CINÉ CITÉ pour la réalisation de la prestation. La communication de votre adresse email est facultative pour poursuivre votre navigation. Vous pouvez vous désinscrire, à tout moment, en cliquant sur le lien de désabonnement de votre email. Le responsable de traitement est UGC CINÉ CITÉ – SAS au capital de euros – 24 avenue Charles de Gaulle – 92200 Neuilly-sur-Seine – RCS DE NANTERRE Conformément à la loi n°78-17 du 6 janvier 1978 Informatique et Libertés », modifiée en 2004, vous bénéficiez d'un droit d'accès, de rectification, de suppression, d'opposition, de limitation, de portabilité des données vous concernant, ainsi que de la possibilité de fournir des directives quant au sort des données après le décès en adressant votre demande par courrier à UGC Ciné Cité, Service Client, 24 avenue Charles de Gaulle, 92200 Neuilly-sur-Seine ou par mail à l'adresse suivante serviceclient Votre adresse email sera conservée pour une durée de 48h à compter de votre demande de désabonnement aux Bons plans UGC ».. UGC Direct Toutes vos séances sont là ! UGC illimité Abonnez-vous pour profiter de toutes les séances chez UGC et dans plus de 400 autres salles en France ! Découvrir les offres UGC illimité Abonnez-vous pour profiter de toutes les séances chez UGC et dans plus de 400 autres salles en France ! Découvrir les offres
BandeAnnonce de La prochaine fois je viserai le coeur de Cédric Anger avec Guillaume Canet, Ana Girardot, le 12 novembre au cinéma.
La Prochaine fois je viserai le coeur News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 3,2 3576 notes dont 409 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Avertissement des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs Pendant plusieurs mois, entre 1978 et 1979, les habitants de l’Oise se retrouvent plongés dans l’angoisse et la terreur un maniaque sévit prenant pour cibles des jeunes avoir tenté d’en renverser plusieurs au volant de sa voiture, il finit par blesser et tuer des auto-stoppeuses choisies au hasard. L’homme est partout et nulle part, échappant aux pièges des enquêteurs et aux barrages. Il en réchappe d’autant plus facilement qu’il est en réalité un jeune et timide gendarme qui mène une vie banale et sans histoires au sein de sa brigade. Gendarme modèle, il est chargé d’enquêter sur ses propres crimes jusqu’à ce que les cartes de son périple meurtrier lui échappent. Regarder ce film UniversCiné Location dès 2,99 € VIVA Location dès 2,99 € HD PremiereMax Location dès 2,99 € HD Voir toutes les offres VODService proposé par Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce 232 Interviews, making-of et extraits 136 802 Dernières news 19 news sur ce film Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critiques Presse Studio Ciné Live 20 Minutes CNews Closer Elle L'Express L'Humanité L'Obs Le Dauphiné Libéré Le Monde Le Parisien Les Fiches du Cinéma Les Inrockuptibles Mad Movies Metro Ouest France Paris Match Première TF1 News Télé 7 Jours Télérama Voici Cahiers du Cinéma La Croix Le Journal du Dimanche Libération La Voix du Nord Studio Ciné Live Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 30 articles de presse Critiques Spectateurs "La prochaine fois je viserai le cœur", film tiré d'un fait réel pour le moins terrible et incroyable, est bien à l'image et à la hauteur de l'horreur de cette histoire, complètement hors du commun ! En dépassant le simple polar qu'il n'est pas du tout, Cédric Anger fait beaucoup plus que de relater et de mettre en scènes les événements, les faits et gestes du "Tueur fou de l'Oise" ou l'affaire Alain Lamare, car il va bien plus loin ... Lire plus Histoire tendue et particulièrement glaçante dans ses meilleurs moments qui brosse remarquablement le portrait intime d'un gendarme / psychopathe aux pulsions criminelles et imprèvisibles! Tournage serrè et petit budget! Une histoire aux couleurs sombres, basèe sur le fait divers authentique d'un tueur qui a sèvit dans l'Oise à la fin des annèes 70! Un avertissement dans la scène d'ouverture nous stipule que nous sommes bel et bien dans ... Lire plus Dans le genre du thriller / polar à la française, ce film est superbe et bénéficie d'une bonne mise à l'écran de cette terrible histoire vraie. L'histoire se déroulant dans le nord de la France dans la fin des années 70, est prenante bénéficiant d'une très bonne reconstitution de ces années-là . On est happé par le film même si l'on sait plus ou moins comment ça va se terminer, mais presser de savoir si l'histoire se termine de la ... Lire plus L'histoire est donc celle d'un tueur en série à képi qui a sévi durant la fin des années 1970. Sa qualité de gendarme était pour lui le camouflage idéal qui lui permettait de sévir en toute quiétude et sans éveiller le moindre soupçon. Il profitait ainsi de ses moments libres pour traquer des jeunes filles, les renverser en voiture, ou encore les prendre en auto-stop, afin, parfois, de les achever à l'aide de son arme à feu. ... Lire plus 409 Critiques Spectateurs Photos 15 Photos Secrets de tournage Adapté d'un fait divers Années 70. Alors que l’Oise peine à se remettre des ravages de Marcel Barbeault, le tristement célèbre tueur de l’ombre », un nouveau tueur laisse de nombreuses victimes sur son passage. Quelques mois de traque plus tard, les soupçons s’éclaircissent et se dirigent vers… un gendarme, en la personne d’Alain Lamare. L’affaire défraye la chronique et le meurtrier en série est vite interpellé. Jugé inadapté, il ne sera jamais empris Lire plus Tournage chez les cht'is Le tournage de La Prochaine fois je vise le cœur s'est déroulé dans le Nord de la France, et non l’Oise, comme on pourrait le supposer. C'est dans la région Nord-Pas-de-Calais, entre Lens et Arras que se sont rendus Cédric Anger et son équipe. Les enregistrements ont débuté courant novembre 2013 et ont duré à peine 36 jours. Retrouvailles indirectes Si Canet n’avait jusqu’alors jamais tourné sous la direction de Cédric Anger, les deux compères ont déjà indirectement collaboré en 2014, sur L’Homme qu’on aimait trop d’André Téchiné Anger participait à l’écriture du scénario et Canet y tenait le premier rôle masculin. 12 Secrets de tournage Infos techniques Nationalité France Distributeur TF1 Vidéo Récompenses 4 nominations Année de production 2014 Date de sortie DVD 18/03/2015 Date de sortie Blu-ray 18/03/2015 Date de sortie VOD 17/03/2015 Type de film Long-métrage Secrets de tournage 12 anecdotes Box Office France 483 766 entrées Budget 4 000 000 € Langues Français Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 124106 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
Pendantplusieurs mois, entre 1978 et 1979, les habitants de l'Oise se retrouvent plongés dans l'angoisse et la terreur : un maniaque sévit
SynopsisAvisBande-annonceCastingAnnée de production 2014Pays France Genre Film - Drame Durée 111 min. -12 Synopsis 1978. Franck est gendarme dans une petite ville de l'Oise. Mais sous l'uniforme se cache un psychopathe. C'est en effet lui le maniaque qui renverse des jeunes filles au volant de sa voiture et a déjà fait une victime. Ironie du sort, il fait partie de la brigade chargée de traquer le tueur. Il est même très bien vu de son supérieur. Amoureux de la nature et de l'effort, Franck se réfugie par ailleurs souvent dans les bois, où il passe parfois la nuit et entraîne dès que possible son petit frère faire des balades aux allures de parcours du combattant. Il vit seul et ne reçoit pour seule visite que celle de sa femme de ménage, Sophie, qui semble en pincer pour lui L'avis de Téléstar Tirée d'un fait divers, cette oeuvre austère, sombre et dure nous fait pénétrer dans la tête du tueur sans chercher à expliquer l'inexplicable. Quant à Guillaume Canet, il se fond totalement dans son personnage de schizophrène Bande-annonce Vous regardez La prochaine fois je viserai le coeur. Votre bande-annonce démarrera dans quelques secondes. Casting de La prochaine fois je viserai le coeur Acteurs et actricesJean-Yves BertelootLacombeAlice de LencquesaingMelissaPiérick TournierCarpentierRéalisateurScénario
FilmComplet. Photos et affiches du film Night Call. Night Call ***** - novembre 2014. Meilleur Film Policier. Film D'amour. Michel Audiard. Guillaume Canet. Télécharger Films. Girardot. Film Gratuit. Films Cultes. Affiche De Film. Photos et affiches du film La Prochaine fois je viserai le coeur. La prochaine fois je viserai le coeur **** - novembre 2014. Respire Film. Joséphine
La Prochaine fois je viserai le coeur News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Box Office Récompenses Films similaires note moyenne 3,2 3576 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur La Prochaine fois je viserai le coeur ? 409 critiques spectateurs 5 11 critiques 4 125 critiques 3 166 critiques 2 66 critiques 1 29 critiques 0 12 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés "La prochaine fois je viserai le cœur", film tiré d'un fait réel pour le moins terrible et incroyable, est bien à l'image et à la hauteur de l'horreur de cette histoire, complètement hors du commun !En dépassant le simple polar qu'il n'est pas du tout, Cédric Anger fait beaucoup plus que de relater et de mettre en scènes les événements, les faits et gestes du "Tueur fou de l'Oise" ou l'affaire Alain Lamare, car il va bien plus loin en nous plongeant littéralement dans la peau et la personnalité de ce personnage ambigu, torturé, névrosé et j'en passe tellement son psychisme semble complexe et inquiétant...Toujours réservé à propos de Guillaume Canet, trop lisse et inexpressif à mon avis, il est alors là , l'Acteur idéal au point de ne voir à travers son physique, son visage impassible, qu'un dangereux individu où toute émotion et sensation semble gommée le plus souvent de son regard... En même temps de part ce jeu glacé et distant, le mal être, les affres et les obsessions de Franck traduisent une peur et un malaise général qui envahissent entièrement le film, qui nous enveloppent dès sa présence à l'écran en donnant une tension et même une angoisse de plus en plus prégnante, comme si celle-ci émanait de tous les pores de sa peau !Que ce soit chez lui dans cet univers sordide, véritable PC de guerre, avec ses conditions de vie et ces supplices qu'il s'impose, ou dans son travail où il semble être un élément modèle, dangereux, inattendu et implacable pour ses collègues ainsi que lors de ses accès de folie qui dépassent l'imagination, ce gendarme hors norme nous tétanise !Et ceci malgré son autre facette, lorsqu'il est en communion avec la nature dans laquelle il devient tout à coup différent et sensible... Ce film dégage donc une atmosphère trouble, pesante et noire tout au long de sa durée par le héros lui-même bien sûr, et aussi par le traitement des images très grises dans une ville et une campagne d'une tristesse infinie, ainsi que par les personnages secondaires très importants pour le déroulement des faits. Ceux-ci gravitent autour de Franck, en tant que chef, collègues, et il y a aussi et surtout cette jeune femme qui fait son ménage et avec qui il a une relation difficile, pleine d'envie et de dégoût à la fois. À ce propos, l'actrice Ana Girardot rend cette fille Sophie qui croit à un amour possible, incroyablement et terriblement humaine et vulnérable, entièrement sous l'emprise des griffes de ce psychopathe imprévisible et manipulateur. Un film dur, très réaliste et âpre que nous livre là Cédric Anger, un film qui fait froid dans le dos et dont on sort avec un sentiment d'effroi doublé d'un questionnement sans réponses ! Histoire tendue et particulièrement glaçante dans ses meilleurs moments qui brosse remarquablement le portrait intime d'un gendarme / psychopathe aux pulsions criminelles et imprèvisibles! Tournage serrè et petit budget! Une histoire aux couleurs sombres, basèe sur le fait divers authentique d'un tueur qui a sèvit dans l'Oise à la fin des annèes 70! Un avertissement dans la scène d'ouverture nous stipule que nous sommes bel et bien dans une oeuvre de fiction! il a donc fallu imaginer certaines choses pour trouver des rèponses car on n'a pas vraiment d'explications sur les motivations du tueur après la projection finie! Alain Lamare a ètè internè depuis dans un asile psychiatrique et reconnu non responsable de ses actes parce qu'on n'a jamais rèussi à comprendre qu'elle ètait la folie de cet homme qui parcourt les routes dèsertes du dèpartement de l'Oise en prenant des jeunes femmes pour cible! Dans un contre-emploi inattendu et plus vrai que vrai, Guillaume Canet est rèellement habitè par ce personnage fascinant et complexe! Au point que l'acteur, mèconnaissable, a vraiment quelque chose dans le visage avec ce regard vide que ça en devient flippant! il est dans le film tel qu'il est sur l'affiche troublant! D'ailleurs, il faudra compter en toute logique sur Canet pour être un outsider sèrieux dans la quête du Cèsar du meilleur acteur 2015! De plus, les seconds rôles sont très bien dirigès et ont parfaitement rempli leurs fonctions premières, notamment Jean-Yves Berteloot et surtout la prometteuse Ana Girardot qui nous surprend par son jeu minimaliste! Sans oublier la mise en scène virtuose de Cèdric Anger qui vise au bon endroit où panoramiques et plans sèquences, travellings et mouvements de camèra se disputent la première place! Ce qui rend encore plus l'impact des images avec une musique malsaine et glauque à souhait, qui nous met bien dans l'ambiance du film! Globalement, "La prochaine fois je viserai le coeur" est donc d'un très bon niveau en atteignant pleinement son but! Une rèussite... Dans le genre du thriller / polar à la française, ce film est superbe et bénéficie d'une bonne mise à l'écran de cette terrible histoire vraie. L'histoire se déroulant dans le nord de la France dans la fin des années 70, est prenante bénéficiant d'une très bonne reconstitution de ces années-là . On est happé par le film même si l'on sait plus ou moins comment ça va se terminer, mais presser de savoir si l'histoire se termine de la façon qu'on l'espère. Le casting est très bon, bénéficiant d'excellentes interprétations des différents rôles et d’un beau jeu d'acteurs avec Guillaume Canet surprenant, Ana Girardot superbe et convaincante, Jean-Yves Bertelloot, Patrick Azam. Le métrage aurait gagné à avoir une vraie bande son dans le style sombre duquel il nous est montré car on ne peut pas dire qu'elle y soit très présente, et n'est pas de bon goût. Certaines scènes peuvent choquer cependant mais cela dit le film est captivant, bouleversant, surprenant et mérite grandement d'être vu de par son histoire choc ainsi que sur la psychologie du note !! L'histoire est donc celle d'un tueur en série à képi qui a sévi durant la fin des années 1970. Sa qualité de gendarme était pour lui le camouflage idéal qui lui permettait de sévir en toute quiétude et sans éveiller le moindre soupçon. Il profitait ainsi de ses moments libres pour traquer des jeunes filles, les renverser en voiture, ou encore les prendre en auto-stop, afin, parfois, de les achever à l'aide de son arme à feu. Manipulateur et sadique jusqu'au bout, il aimait narguer ses collègues en leur envoyant des lettres anonymes en les avisant que "La prochaine fois, il visera le cœur".Cédric Anger adapte donc sur grand écran l'histoire d'Alain Lamare, plus connu sous le surnom du "Tueur de l'Oise" qui sévit durant les années 1978 - 1979 et sema la panique dans tout le département. Franck sublimement interprété par Guillaume Canet est donc un traqueur torturé. Un personnage complexe qu'on a parfois du mal à saisir. Obsédé par sa volonté de se purifier il s'inflige souvent des flagellations et autres lacérations, il cède souvent à ses pulsions meurtrières. Ce personnage froid et méthodique fait froid dans le dos. Il pousse même le vice jusqu'à affirmer à ses collègues qu'il va choper ce psychopathe et lui fera payer ses traque au tueur, et ce jeu au chat et à la souris atteint son apogée dans la cruauté lorsque le gendarme rend visite à l'une de ses victimes hospitalisées et prend de ses nouvelles. Celle-ci totalement traumatisée à la vue de l'homme est dans l'incapacité de lui répondre. Une autre scène croustillante est celle du portrait-robot très réussi et très ressemblant, qui ne décourage pas le gendarme. Plein d'aplomb, il fait du porte à porte, avec ce portrait lui ressemblant comme deux gouttes d'eau, afin de trouver des témoins quand on pense que cette scène s'est réellement déroulée ... Glaçant.[...]Porté par un excellent Guillaume Canet, le film qui avait tout pour être excellent est au final trop mou pour nous convaincre réellement. Rythme trop lent, personnages caricaturaux, ou encore bande-son horrible ces défauts empêchent le film d'être ce qu'il aurait dû être un polar sombre et intrigant. Le côté glacial, délibéré, et la lenteur générale du film mettent quelque peu le spectateur de côté. On assiste donc froidement à un enchainement de crimes, à un semblant d'amourette, tout en n'apprenant à la finale pas grand chose sur ce tueur ou sur l'enquête elle-même. Et pour cause, le film est entièrement tourné du point de vue de ce psychopathe qui peine à exprimer quoi que ce soit, ne serait-ce même qu'un sourire. L'interprétation de Canet dans ce sens est donc impeccable, et il nous fait tenir jusqu'au bout afin de savoir enfin ce qui va lui arriver, mais on est un peu trop mis à l'écart pour s'impliquer réellement. C'est bon mais froid, bien trop froid... Remarquable performance de Guillaume Canet, dans ce thriller froid, lourd, aux tons neutres, presque sales, décrivant parfaitement le quotidien banal d'un tueur sans conscience, manipulateur et finalement pathétique. Cédric Anger a su maîtriser habilement une atmosphère oppressante, lentement mortifère qui laisse constamment planer la menace d'un danger omniprésent. Pas de course-poursuites, pas d'explosions, pas de dialogues percutants. Il faut s'immerger dans le tempo particulier du film. Le casting est remarquablement choisi, un bon point pour Ana Girardot et Jean-Yves Bertheloot. Film plat, ambiance glaciale visuellement mais aucunement dans la psychologie. Facile, trop facile, voire vide. Il y avait pourtant matière à faire ! Inspiré d'un fait divers, La Prochaine fois je viserai le cœur est un thriller qui retrace l'affaire Alain Lamare, un gendarme qui sévissait dans les années 70 dans l'Oise. On peut tout simplement, applaudir la performance de Guillaume Canet qui s'avère exemplaire dans la peau de ce gendarme psychopathe. Il impressionne dès les premières minutes, on est déstabiliser de voir ce personnage glaçant en faisant des choses atroces aux jeunes filles croisant dans la rue. Un sentiment de malaise est présent. Il est vrai, que le récit est glauque mais cela n’empêche pas que le spectateur reste embarqué dans cette affaire dérangeante. L'atmosphère est très sombre, voir étouffante au plus possible. C'est totalement maîtrisé et avec des décors glacials qui retranscrit bien les années 70. La mise scène est quand à elle, brillante. Tous les plans sont excellents, bien cadrés et bien tournés. Cependant, la bande son est parfois intéressante mais cette dernière reste passable. Les seconds rôles sont très convaincants avec Ana Girardot qui est efficace, et aussi Jean-Yves Berteloot, sobre mais satisfaisant. Néanmoins, l'oeuvre de Cédric Anger manque un peu de rythme dans son ensemble. Pour finir, La Prochaine fois je viserai le cœur est un thriller inquiétant, troublant mais vraiment captivant dans lequel Guillaume Canet est l'atout majeur de cette production française. Du très bon cinéma !! "La Prochaine fois je viserai le cœur" pourrait être un épisode du "Gendarme" qui aurait très mal tourné et qui s'intitulerait "Le Gendarme devient sociopathe et tue des midinettes, tout en menant l'enquête"... Non, il serait bête de cantonner ce film à cette petite anecdote rigolote et sarcastique entièrement de moi... Ce film, inspiré d'un fait divers étonnant qui eut lieu durant la fin des années 70, lors duquel un gendarme assassinait des jeunes fille et menait lui-même l'enquête, avait un côté vintage et original qui me plaisait pas mal. L'introduction - qui précède l'affichage du titre sur l'écran - est assez bien faite et permet d'entrer dans le vif du sujet. Cédric Anger, le réalisateur, a choisi de raconter les faits à partir du point de vue du gendarme-tueur. Enfin, l'a-t-il choisi ? N'était-ce pas sa seule option ? Ce faisant, la tension est malheureusement nulle. Montrer des évènements du point de vue d'un tueur peut être lorsque le film s'y prête une idée brillante, mais ici, ça ne fait qu'atténuer la tension... La bande-annonce promettait un film tenace et prenant, troublant aussi, mais il s'avère malheureusement plat, vain, ennuyeux. Certaines scènes ont même quelque chose de grotesque, tant elles sont désinvoltes et éloignées de l'intrigue. Comme par exemple lorsque le personnage incarné par Guillaume Canet s'auto-mutile ou se fait subir un entrainement physique extrême pourquoi ?!... Du coup, il nous est difficile en tant que spectateur de croire à tout cela, de compatir ou de prendre parti ne serait-ce que pour un personnage du fait de ce manque de nuance, de ce pessimisme jusqu'au-boutiste. Le film patine. Et la photo, trop grisâtre, trop terne, n'arrange rien... Et comme si ça ne suffisait pas, la mise en scène de Cédric Anger, pleine de travellings-avants aussi impromptus qu'incongrus, est vraiment ratée. Seul Guillaume Canet, froid, glacé et glaçant !, tire son épingle du jeu, et tient peut-être son meilleur rôle ou du moins, celui qui lui convient le mieux. Le mercredi 8 octobre, nous étions présent à l’avant-première niçoise de La prochaine fois je viserais le cœur, en présence de Guillaume Canet et Cédric Anger, le réalisateur. Les deux hommes ont tenu un débat avec les spectateurs presque une heure, chose très rare pour être notée, dans une ambiance conviviale malgré la salle pleine à craquer. avec une réelle Sur sa lancée, Anger continue à étoffer sa filmographie policière. Le scénariste-réalisateur livre un polar sombre à la réalisation classique et soignée. Le film est inspiré d’une enquête policière ayant fait grand bruit en 1979, celle du tueur de l’Oise. C’est le deuxième rôle de tueur pour Canet cette année, après L’homme qu’on aimait l’hiver 1978, Frank Guillaume Canet qui incarne, sous ce pseudonyme Alain Lamare est gendarme. Le jeune homme timide et rempli de toc fréquente sa jeune femme de chambre, Sophie Ana Girardot, qui tombe éperdument amoureuse. Le gendarme mène l’enquête sur un tueur en série qui assassine des auto-stoppeuses. Comme nous le savons, le gendarme et le tueur ne font qu’ Canet, répondant aux questions du public, avoue avoir été fasciné par le personnage et avoir pris un grand plaisir à l’interpréter, notamment car le caractère schizophrène de Frank lui a permis de jouer tout l’éventail des sentiments. Il prend le temps d’expliquer la difficulté d’incarner un tueur encore vivant dont les familles des victimes vivent encore le drame comme une plaie ouverte. C’est cette ambiguïté que Cédric Anger a décidé de mettre en scène. Frank est à la fois un monstre et la victime de sa propre maladie mentale. Après son arrestation, Alain Lamare avait été déclaré irresponsable de ses actes. Il est détenu en hôpital psychiatrique depuis lors. Ce qui revenait souvent dans les questions est révélateur de l’esprit du film N’avez-vous pas eu peur de rendre l’assassin attendrissant ? » La prochaine fois je viserais le cœur prend le parti de ne pas suivre l’enquête de la police judiciaire mais prend celui d’épouser le point de vue du gendarme, au plus près de sa folie. Le film s’ouvre et se ferme sur une reproduction d’une œuvre de David Hamilton qui siégeait sur le mur de l’appartement de Lamare, le signe de son obsession pour les jeunes filles. Cette jeune femme, objet de ses fantasmes, le juge, témoin de sa décrépitude. L’homme, à qui l’on a refusé toutes les demandes de promotion vers des unités d’élites, est un frustré en mal de virilité. Il vit comme une humiliation les refus de sa hiérarchie. Lamare déclara qu’il avait commis ses meurtres pour redorer le blason de la gendarmerie ».Grandement aidé par la musique angoissante de Grégoire Hetzel sonnant au rythme des battements de cœur de Frank, la réalisation soignée d’Anger réussit à tenir en haleine le spectateur pourtant au courant du dénouement. Canet est tout simplement éblouissant de vraisemblance. Il interprète la folie de Frank avec justesse. Tour à tour sont mis en scène les troubles obsessionnels convulsifs du gendarme, sa maniaquerie et ses coups de sang injustifiés. Ana Girardot est terriblement émouvante, pauvre victime de cette homme qui devient de plus en plus exécrable. Dur, rigide et frigide dans sa vie privée, rigolard et franchouillard en patrouille, il se met à pleurer lorsqu’il tire sur ses victimes. On en revient aux explications de Canet et Anger, La prochaine fois je viserais juste rend compte de la folie d’un homme dont personne ne soupçonnait les envies meurtrières et qui trompa longtemps jusqu’à ses collègues de travail. Au point de pouvoir aller présenter dans le quartier des victimes, un portrait robot de l’agresseur diablement ressemblant sans que personne ne s’en rende compte. Pour rendre encore plus forte cette impression de folie lancinante, Anger n’hésite pas à le mettre aussi parfois à son avantage. Cet assassin, ce meurtrier, ce sociopathe passe certaines nuits à la belle étoile pour observer la voûte céleste et le ballet des cerfs venant s’abreuver dans les douves d’un vieux château. Sentant son arrestation proche, il confie la forêt à son petit frère qui doit la des procès-verbaux de l’enquête, des témoignages de son entourage et de ses collègues, la majorité des moments évoqués dans le film sont véridiques. La justesse du jeu d’acteur de Guillaume Canet donne au personnage de Frank de la densité et de la complexité. Anger nous offre un film à la beauté glaçante. On est loin des tueurs dénués de passions humaines des slashers américains et des polars français s’orientant autour de la traque héroïque de tueurs impitoyables. La prise en compte de l’humanité d’Alain Lamare dans ce qu’elle a de plus glauque rend le film encore plus fort et le personnage plus lire nos autres critiques sur Une Graine dans un Pot Je n'ai pas aimé le dernier film de Guillaume suspense on sait déjà qu'il y joue un sous officier de gendarmerie, tueur en sérieAucune empathie le réalisateur Cédric Anger tourne le dos au psychologisme et ne cherche pas à expliquer les actes de son hérosAucun dégoût même la froideur avec laquelle Canet/Lamare commet ses meurtres maintient le spectateur à distance Le deuxième long-métrage de Cédric Anger est un polar de bonne facture, assez éloigné des films du genre. "La Prochaine fois je viserai le cœur" vaut surtout pour son personnage principal, complexe et passionnant. On se demande d'abord si le tueur de l'Oise n'est pas schizophrène, un doute longtemps maintenu par Anger, avant que ce dernier n'en fasse un personnage uniquement manipulateur. Si la révélation peut être sur le coup décevante car elle empêche un trouble qui aurait pu être vertigineux, à savoir le flic qui irait jusqu'à s'arrêter lui-même, elle n'efface pas le fait que Franck magistral Guillaume Canet reste parfois insondable de par ses contradictions hygiène, intimité, elles-même en opposition avec une certaine cohérence nervosité dans ses gestes et son langage. Et si le film est quelque peu terni par des lourdeurs de mise en scène, que ce soit la caractérisation caricaturale de certains personnages ou l'utilisation trop marquée de la musique, il reste singulier, bien rythmé et offre quelques images malades qui, à défaut d'être originales, restent perturbantes et surtout trop peu présentes dans le cinéma français. Un bon polar qui vaut surtout par l'interprétation époustouflante de Guillaume Canet, de tous les plans, clairement dans le meilleur rôle de sa carrière. Si le film souffre d'un certain manque de rythme, le personnage de Canet n'en reste pas moins fascinant et insaisissable jusqu'à la fin. Super sujet pour un traitement très est glauque et va dans le même sens la musiqueles décors, la météo. A force de noirceur on s'ennuie très viteet on regrette un bon Faites entrer l'accusé du dimanche assure, tout en intériorité, mais hélas ça ne suffit pas. L'Oise venait à peine de sortir de l'angoisse née des méfaits du "Tueur de l'ombre" Marcel Barbeault - sa traque dura 7 ans de 1969 à 1976 - que débutait une nouvelle affaire de tueur en série, celle du "Tueur fou de l'Oise" une petite année durant. de mai 1978 à avril 1979. Aucun suspens - dès l'affiche - avec "La Prochaine fois, je viserai le coeur", 3e "long" de Cédric Anger, on sait à quoi s'en tenir quant à l'identité et la qualité de l'assassin un seul homicide réussi, et cinq tentatives Alain Lamare rebaptisé, par nécessité, Franck Neuhart, un gendarme appartenant à une brigade du PSIG Peloton de Surveillance et d'Intervention de la Gendarmerie, participe avec un beau zèle - masochiste aux investigations concernant ses propres crimes ! Ce qui intéresse le scénariste adaptant un récit romancé de l'affaire, "Un Assassin au-dessus de tout soupçon" et réalisateur, c'est l'approche psychologique "dans la tête du psychopathe" Lamare sera reconnu irresponsable, car atteint d'une forme rare de schizophrénie - ordonnance de non-lieu en 1983 - et est toujours interné. Cette ambition n'est qu'incomplètement accomplie dans ce film frisant les 2 heures - il s'agit d'une esquisse de "profil", par la présentation de l'environnement familial, sentimental et professionnel de l'intéressé, principalement. On regrettera que le passage à l'acte soit plus montré longuement, et sur un mode monotone que démontré..... Tout repose sur Guillaume Canet, la quarantaine, devant incarner un jeune psychotique de...22/23 ans.... Encore un casting irréaliste, donc. De plus, GC n'est pas plus convaincant, nonobstant l'âge du personnage, en Lamare/Neuhart qu'en Agnelet chez Téchiné. 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Regardezla bande annonce du film La Prochaine fois je viserai le coeur (La Prochaine fois je viserai le coeur Bande-annonce VF). La Prochaine fois je viserai le coeur, un film de Cédric Anger
cinéma 107 min 2014 réalisé par Cédric Angeravec Guillaume Canet, Ana Girardot, Jean-Yves Berteloot, Alice de Lencquesaing, Jean-Paul Comart, Alexandre Carrière, Cédric Le Maoût, Laura Giudice Franck est un jeune policier timide et effacé qui travaille dans l'Oise. C'est en fait un dangereux psychopathe qui se met à assassiner des jeunes filles rencontrées par hasard. Il les renverse avec sa voiture ou alors les prend en auto-stop et commet ses crimes. L'action se passe en 1978, et cela fait plusieurs mois qu'il agit. Sa hiérarchie le charge de mener l'enquête. Il va faire en sorte de brouiller les pistes. Il continue à tuer et se rend parfaitement compte qu'il est fou. Il se flagelle pour expier ses fautes et pratique la méditation. Il doit gérer ses démons quand la jeune Sophie, de dix ans sa cadette, tombe amoureuse de lui... nous contacter aide et contact contactez-nous par téléphone, courrier, email ou facebook. du lundi au vendredi de 09h00 à 18h00. Télécharger l'application France tv
4août 2021 - Découvrez le tableau "Movies seen in 2014" de Matthieu Morelle sur Pinterest. Voir plus d'idées sur le thème film, affiche film, cinéma.
Sûr qu’il convient de saluer le travail de Guillaume Canet, de louer sa volonté d’explorer d’autres horizons et de gommer les tics et les trucs constituant d’ordinaire son quotidien d’acteur. Publié 12 Novembre 2014 à 09h24 Temps de lecture 1 min D’éloges, on ne tarira donc pas sur le Canet nouveau, atone, adepte d’un jeu intériorisé du plus bel effet, attentif à se marbrer le visage d’un masque glacial de samouraï sadomaso. Sans doute peut-on y déceler ces zones d’ombre, ces gouffres au bord desquels vacilla l’acteur, l’an dernier, alors que le public boudait son Blood Ties. Dans le rôle du tueur de l’Oise qui terrorisait la région entre 1978 et 1979 et se terrait sous les traits d’un gendarme modèle, l’acteur-réalisateur surprend et ne prête pas à rire. Au-delà de cette aube nouvelle, La prochaine fois, je viserai le cœur n’en constitue pas moins un film pataud, glauque et déplaisant, harnaché à un ramassis de clichés dignes d’une série télé de basse-fosse. À quoi bon se vicier l’esprit avec un tueur solitaire, éjaculateur précoce, qui s’inflige des sévices corporels, vomit la vermine et vénère l’innocence telle que l’entend David Hamilton !
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la prochaine fois je viserai le coeur film complet